Achat de livres

Achat de livres

Saviez-vous que lorsque vous faites l'achat de livres neufs dans une librairie, la part du libraire est de 35 à 40 % ? Alors pourquoi sur Internet et dans les salons du livre, les tarifs ne sont pas plus bas (car il n'y a pas de libraire) ? Simplement que les gens ne sont pas conscients de cette information et alors les diffuseurs et éditeurs cherchent à faire plus de profit. Aussi, pourquoi les libraires ont 40 % et pourtant ils n'investissent pas dans l'impression et placent les livres selon leur choix ? Où est la responsabilité et les risques ici pour eux ?

Les librairies ne vendent pas de livres, ils vendent des noms d'auteurs et d'éditeurs. Pourquoi ne pas faire la rotation des livres en évidences au lieu de placer les livres d'auteurs connus ou d'éditeurs importants en avant ? Pourtant les auteurs des régions de la librairie ont un taux d'achat plus élevé que les auteurs d'ailleurs qui sont célèbres !!! Ceci se nomme des traitements de faveur, donc elle est la cause de l'injustice. Pourquoi consentir aussi des subventions importantes quand on voit ces faits directement ? De plus, on attend des choses comme "on encourage la culture d'ici ".

Chez Éditions Melonic, nous partageons avec l'acheteur le 40 % de rabais obtenu par l'élimination du libraire. Vous épargnez 20 % sur l'achat de livres au prix de détail et nous faisons 20 % de plus (partagé avec l'auteur).

Ainsi en librairie, un livre qui vous coûte 25 $ ;

• 10 $ au librairie

• 5 $ au diffuseur/distributeur

• 10 $ à l'éditeur (sur ce montant, il faut payer l'impression, 5 $ environ et 2,50 $ à l'auteur)

Avec l'achat direct avec nous, un livre de 25 $ vous coûte 20 $ ;

• 0 $ au librairie

• 5 $ au distributeur ou livreur

• 15 $ à l'éditeur (sur ce montant, il faut payer l'impression, 5 $ environ et 5 $ à l'auteur)

Consultez nos listes de parution à gauche pour l'achat de livres livrés chez vous. Vous avez le choix, continuer à engraisser les poches des riches par habitude ou vous faire du bien à vous, à nous et au créateur du livre. L'avenir n'est pas dans les intermédiaires car ils sont de trop et augmentent les coûts tout en nous faisant croire qu'on a besoin d'eux.