Poème de Sam
Mon aimée
Je suis numismate de toi.
Des divers cotés en toi.
Sans être une médaille frappée,
Tu m’as frappé, j’ose t’aimer.
Tu m’es médaille, mon trésor.
Comme JANUS, aux deux visages,
Coté pile, coté face, sages,
Je rêve de toi, quand je dors.
Je te fantasme, oui c’est vrai.
Le plus dur c’est le réveil,
Car d’en moi, tu disparais.
Le soir, pour te re rêver,
Je ferme les yeux, là tu veilles,
Sur notre amour, mon aimée.
Oh, si tu ressens la même chose que moi… est-il nécessaire que nous nous
étendions sur ce que ces mots nous laissent sous entendre ? Non,
n’est-ce pas… alors, relis-moi le plus souvent possible, même si je ne
le sais pas, des ondes venant de toi viendront jusqu’à moi… et j’en
serais irradié, c’est bien ce que tu veux ?
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