Poème de Sam
Oui j'y pense
J’avais un mari fidèle
Oui, un mari bien à moi,
Et comme il n’était pas de bois,
Une autre ÈVE le pris pour elle.
Je l’ai su par délation,
Une vengeance bien féminine.
Ou plutôt deux destructions.
Mon amour, et ma copine.
Maintenant ils sont classés,
Dans les visions douloureuses,
Impossible à oublier.
Il me faudrait pardonner ?
Pour redevenir heureuse ?
C’est un calvaire à penser.
|