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Poème de Sam
C’est bien vous ?
J’aurais tant aimé,
Être l’élu choisi,
Qui là aujourd’hui,
Pourrait être comblé.
Les censures sont telles,
Que même dans mes rêves,
Une petite voix brève,
Susurre des mortels.
Mortels qui effraient,
Toutes sortes de pulsions,
Oui, celles qui viendraient…
Là, pour perturber,
Sans aucune raison,
Ma tranquillité.
Seriez-vous celle-ci,
Ou cette dimension,
Pour hanter ma vie.
N’étant pas l’élu, du moins c’est ce que je crois percevoir, ces mortels
auraient fort bien pu être un paradis… maintenant comment le saurais-je
?
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