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Poème érotique

 

Poème de Loulou

Douce sauvageonne

Mes yeux croisèrent votre regard sur une simple photo, mais ô combien saisissante.
Mon coeur s'arrêta de battre quelques instants, et cette belle sauvageonne sortie de
cette image, tellement je la trouvai belle... une chevelure d'un noir-bleuté magnifique,
des yeux a faire rêvés et une bouche a vous faire salivé... Moi, courtisane que je suis,
vous imagine et m'émerveille devant cette beauté sauvage, intrigante, mystérieuse et invitante.
S'il m'était donné la chance de courtisé une telle enchanteresse, je me ferai une telle joie
d'assouvir vos moindre désirs, Madame!

Je serai vêtue de mes plus beaux atours et vous de même, j'ose espérer. Je monterai l'escalier
irai vous rejoindre a votre chambre, le coeur battant la chamade de désirs et d'allégresses.
J'ouvrirai la porte et, l'enchantement prit place. Vous étiez la, allongée sur ce magnifique
Baldaquin, garni de satin bleu, qui vous va a ravir, près de la fenêtre, la tignasse au vent,
et la lumière du jour dévoilant le visage d'un ange et la douceur dans les yeux, Ouf!
Un vent de fraîcheur juste vous contempler, je cru défaillir, tellement votre beauté me coupa le souffle. Or, dès cet instant, je compris pourquoi j'avais a peine a contenir ma fougue de vous prendre sur le champ. Je pris tout mon courage et m'avançâmes vers vous tout doucement afin de savourer chaque instant. Je caressai cette chevelure a l'odeur de pomme et de rose, je m'approcherai en vous susurrant a l'oreille combien je vous désir, vous sentiriez mon souffle sur votre cou, mes lèvres effleurant votre visage, déjà vous frissonnez, et, atteindre cette bouche sensuelle et au gout de miel. Tout doucement ma langue effleura vos lèvres charnues, une a une, et vous gourmande que vous êtes, ouvrît la bouche et saisissiez ma langue d'une tel ardeur... je ne vous croyais pas si féroce. Je me retirai un moment et vous contempla dans toute votre splendeur.

Sous votre chemisier, je découvris votre poitrine ô combien invitante. Ah! Que c'est beau!
J'arracherai ce dit chemisier et alla y déposé ma tête entre vos seins pour m'enivrer de votre
odeur, du pur bonheur! Je caresserai votre peau aussi douce qu'une pêche fraîchement cueillie,
descendrai mes mains le long de vos hanches, votre corps réagira sous mes caresses, mes mains devenues baladeuses vous fit sursauté, je vous sentais tellement vivante,que tout mon corps se mit en ébullition. L'animal en moi fit surface, tellement je voulu vous posséder et vous faire mienne. Vos seins m'invitaient a nouveau, je l'ai mordillai tendrement, je léchai ces mamelons déja très dur. Mon clitoris me faisait mal tellement vous m'excitiez, vous entendre gémir légèrement, résonnai musique en moi. J'entrouvris vos jambes quelque peu tremblantes et y fit glisser ma langue le long de vos cuisses, vos mains m'agrippa le dos, et de vos ongles effilés m'arrachiez la peau. Je vous scrutez du regard, et vos yeux m'imploraient pour que je goûte enfin a ce jardin de plaisir, mais je vous fît patienté, je jubilai... je pris quelques plumes et frôlai a nouveau vos cuisses jusqu'a l'entre jambe, je vous sentais impatiente et fiévreuse de désir, la sève monta en moi, tout comme un volcan prêt a jaillir, me laissai emporter vers ce bouton de rose déjà tout gonflé de plaisir, j'oserai a peine l'effleuré, et d'un coup de langue vous transporterai vers le summum de l'extase.... Oh! Malheur! Je m'éveillerai, car ce n'était qu'un rêve... et tout ça, n'est que poésie...!!!

 

 

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