Poème de Marine
L'unique oublie
Ai-je
vraiment réalisé d'avoir tout perdu,
Je semble oublier de vous avoir tant connu.
Pourquoi aucune larmes ne coulent sur mes joues ?
Pourtant je vous vous aime et vous aimerez toujours.
Je suis triste, la nuit, que vous ne veniez plus ;
Tellement triste, de vous savoir si loin de nous.
Mais la tristesse ne provoque pas les larmes,
Les larmes ne prouvent rien que de la tristesse.
Et moi, je suis là, évoquant tout nos souvenirs,
Nos peines, nos ennuis, nos regrets et nos folies,
Oubliant tout ces pleurs qui nous ont fait si mal
Et j'en conclus quelque chose de très banal
C'est que...
Dans la vie, on ne peut, on ne peut qu'oublier
Oublier seulement, oublier de pleurer
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