Poème de Sam
Moi et Bonomo
Mon coté BONOMO,
Cette présence de tendresse,
Que font vivre ces partages,
Donnent vie à cet adage…
Du moins je le confesse,
Vivant, là dans ces mots.
Où se vénère la gêne,
Des plaisirs endormis,
Les projections aussi,
Dans des pensées sans vies,
Sont bien là… et parties…
Les non faits se promènent.
Sans ne penser qu’à ça,
Un petit restaurant,
C’est mieux qu’une cuisiné,
Même à deux, préparée,
D’habitudes oubliant,
Ce qui n’existe pas.
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