Poème de sun5252
Toi que j’aime
Que ma prison soit ma solitude.
Puisque ton amour ne puisse être mienne.
Ô toi ! que j’aime, je m’y noierais d’incertitude.
Quoi qu’il advienne, je serais ta bohémienne.
Jour et nuit ne seront que peine.
Comme une épave rejetée de la mer.
Dans mes veines coule une douce folie humaine.
Je m’inclinerais devant l’amour avec un goût amer.
La douceur du vent me rappelle ton effleurement.
Péché d’amour, yeux gris m’ébahissent.
Loin de moi l’amertume d’un douloureux moment.
Ô mon amour, je m’ennuie de nos délices.
sun5253@hotmail.fr
|