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Le rapport Quintal

 

Nouveauté littéraire d'octobre 2010

Livre le Rapport Quintal

Titre

Le rapport Quintal

Une réflexion pour désamorcer les critiques sur l’éthanol et l’utiliser davantage au Québec

Auteur

Frédéric Quintal

Pages

322 pages

Catégorie

Social-économique

ISBN

978-2-923727-33-2

Éditeur

Éditions Melonic

Coût

25,00 $

 
  Ebook

ND

 

Lancement

Mercredi 10 novembre 2010 à 18h00

William Resto Bar Lounge

295, rue St-Charles ouest, Longueuil

Plus d'information

 

Résumé du livre

 

L'usine de Éthanol Greenfield à Varennes est la première… et la dernière à produire de l'éthanol à partir du maïs au Québec." Voilà ce que le ministre des Ressources naturelles du Québec avait clairement exprimé le 11 novembre 2007.

Cette déclaration du ministre, c’était quoi au juste? C’était déjà mentionné dans le Plan vert de juin 2006. Peut-être était-ce passé trop inaperçu la première fois? Quand on remarque ce qui se fait ailleurs, il en ressort une certaine impression d’être en retard ici au Québec. Le Brésil a développé sa filière de l’éthanol de canne à sucre en 1974 en réponse à un contexte économique étranglant. La France a réorienté ses surplus de betterave à sucre vers l’éthanol suite en partie à la réforme du marché du sucre de 2006. Les États-Unis invoquent l’indépendance énergétique, mais les Corn Growers Associations du pays ont interprété ça avec une frénésie de buffet à volonté et ont généré un débordement exponentiel sur leur superficie agricole.

La recherche d’une alternative à l’essence est nourrie avec des intentions nobles d’améliorer le bilan environnemental. Mais il y a un débordement sur de la désinformation.

Et quoi de plus convaincant qu’une déclaration percutante exprimée par une personne qui occupe un poste clé, pour semer le doute sur l’efficacité de l’éthanol. Entre autres un président de la multinationale Nestlé, qui avait fait cette déclaration à un journal suisse en mars 2008 : « Si l'on veut couvrir 20 % du besoin croissant en produits pétroliers avec des biocarburants, comme cela est prévu, il n'y aura plus rien à manger.» Je réponds à cette affirmation gratuite que si on maintient la consommation de pétrole pour le transport à son niveau actuel, on n’aura plus rien à respirer. Le statu quo ne peut-être envisageable. La lecture de ce livre devrait vous permettre de désamorcer quelques-unes de ces critiques opposées à l’éthanol, et ce, en mangeant et en respirant en même temps.

 

Frédéric Quintal

 

 

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