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Texte de Noël

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Texte de Sam

Connaissez-vous l’histoire d’ALI et de FET-NAT ?

C’est l’histoire, de deux jeunes issus de Marseille, en France.
Il s’agit d’ALI et FET-NAT. Nous somme, en 1969, jour de l’annonciation.
Au début des vacances de pâques, un certain GABRIEL, est descendu de Paris, pour passer des vacances, dans les calanques méditerranéennes.
Bien que FET-NAT, ne sorte pas le soir, avec GABRIEL, ils sont allés tous les deux, en boite de nuit.
Les vacances de pâques finies, GABRIEL est reparti à Paris.
Toute joyeuse FET-NAT en parle à mamy ELYSA.
Nous somme à la Pentecôte, ALI aime beaucoup FET-NAT, FET-NAT vient de découvrir qu’elle est enceinte, elle craint des représailles, plus de libertés par sa famille, elle s’inquiète, va-t-elle être rejetée par ALI.
Après lui avoir fait part de ce qui c’est réellement passé, elle se sent béni de DIEU, à cause de la réaction d’ALI, qui pardonne et accepte d’assumer cette paternité.
ALI, au terme de la grossesse de FET-NAT, au mois de décembre, décide avec l’accord de FET-NAT, de monter rejoindre de jeunes parents oubliés et éloignés sur Paris. Pour ne pas subir les monopoles parentaux.
ALI et FET-NAT, avec une simple valise, partent, quelques jours après la fête d’Abraham, tous les deux, avec très peu de bagages, en stop, en plein hiver, pour s’épouser, là-bas, et faire sans contraintes leur vie.
Arrivés dans la capitale, tous les amis d’ALI sont occupés à la fête, la célèbre fête dite de noël, car nous somme le 24 décembre.
ALI et FET-NAT errent dans les rues.
Pour FET-NAT les douleurs arrivent, tous les deux ne savent pas où crécher, l’inquiétude les gagne, Paris est un désert pour tous les deux.
Les hôpitaux ne veulent pas d’eux, leurs documents ne sont pas en règle, ils sont tous les deux mineurs. À moins de retourner à Marseille, sous les coupes des parents, ils sont tous les deux considérés comme des sans papiers.
Eux, d’une commune décision, ne veulent pas subir l’emprise de leurs familles. Ils veulent vivre cette naissance et leur amour, rien que pour eux deux. ALI et FET-NAT repartent dans les rues.
FET-NAT est à bout de force. ALI et FET-NAT se réfugient dans une entrée de métro. C’est là, que FET-NAT, perd les eaux. ALI ne sait plus quoi faire.
Autour d’eux, à cette heure là, il n’y a que des prostituées et des sans abris.
C’est avec eux, qu’ALI et FET-NAT partagent, l’abri, la nourriture, les solitudes, et toutes les offres, que ceux-ci leurs proposent pour se rendre utile.
FET-NAT, grâce à ces femmes dites de mauvaises vies, met au monde un joli garçon. C’est grâce à ces mêmes femmes, que FET-NAT en compagnie d’ALI, peut être acceptée aux urgences. FET-NAT reçoit les soins exigés, par ses assistantes ou plutôt par cette famille d’accueil, sans formalités et sans ne rien avoir à payer.
ALI et FET-NAT, décident d’appeler leur beau petit garçon, «NO-EL ». NO EL, peut-être aussi à cause du jour de sa naissance ? Dieu seul sait pourquoi ! Pour eux deux c’est NOTRE LUI. Toujours avec cette nouvelle famille, et leurs fameux papiers administrativement insuffisants, ils le font exister à l’état civil.
A l’hôpital, les bruits de couloirs vont vite, de tels scoops intéressent les médias. ALI, FET-NAT et NOEL furent l’événement qui tombe du ciel. Ali refuse les photos qui pourraient trahir leur anonymat, un autre miracle du ciel, les médias respectent ce souhait de noël.
Nombreux sont les anonymes, qui prennent de leurs nouvelles. Des anonymes qui veulent apporter des formes de réconforts. Des anonymes qui veulent leur offrir l’hospitalité, dés qu’ils auront quittés les établissements sociaux.
Une chaîne de solidarité s’établi. Tout le monde en parle. Les soucis de certains n’existent plus.
Un sans abri, ancien professeur de philosophie, de langues et d’ethnologie, promet d’assurer la culture de NOEL, dés que celui-ci sera en âge.
Un avocat, souvent désigné d’office, promet de reprendre ses études, pour pouvoir former NOEL, aux divers droits et devoirs, le moment venu.
MOI ce journaliste qui suit cette affaire, je promets, si Dieu accepte de me porter aide, de l’aider plus tard, médiatiquement.
Puis, l’euphorie du scoop, et le temps s’écoulant, nous avons tous et très vite, perdu la trace de ce trio.
N’est-ce pas généralement vers la trentaine, que l’avenir, d’un individu, trouve son essor ?
De ce qui entour ce NOEL, ce qui m’intéresse le plus, c’est ce qui n’est pas écrit dans le texte. « Où, sentir la présence de Dieu ? ».
GABRIEL, n’est pas nécessairement un dégelasse. A t-il été informé de ce qu’il a semé ? Dieu avait-il besoin de lui, pour faire exister le reste ?
NOEL, a eu de nombreuses chances incroyables ;
Dieu, lui a permit de vivre.
Dieu, lui a permit de naître dans de telles circonstances.
Dieu, a permit de ne pas envisager l’avortement, ou de fausse couche.
Dieu, a permit de mener cette grossesse à terme, avec pourtant les fatigues du voyage, le froid sur la route, le manque de soins aux moments opportuns.
Dieu, leur a permit de rencontrer cette merveilleuse famille d’accueil.
Dieu, a permit à NOEL d’avoir comme vrai père, ALI, qui sans l’aide de DIEU, n’aurait peut-être pas eu le courage d’agir comme il l’a fait.
Pour ce qui est de cette notion « de faire leur vie », Dieu n’a t-il pas offert, Noël, comme catalyseur, à beaucoup plus de gens, que nous puissions l’imaginer ?
Sous une certaine forme, ces trois mages, ont-ils pu rester conscients, sollicité, dans leur amour propre, pour pouvoir offrir ce qu’ils avaient promis ? Dieu cette entité, cette disponibilité de l’esprit pour toutes ces choses, pour toutes ces actions, ces savoirs offerts sans contraintes, ces quantités d’énergies, qui furent et qui ont été nécessaires, pour que tout ça, puisse exister ou puisse devenir.
DIEU les a t-ils visité, sous une forme voilée ?
Dans un sens, Dieu les a exaucés, (ALI, FET-NAT, NOEL.) en les noyant dans l’anonymat.
Mais quant même, trente ans ?
Espérons que Dieu ai eu des projets à longs termes !
A moins, que cela soit, ce qui est aussi notre lot… Sommes-nous, ceux que Dieu veut utiliser comme scoop ou comme moyen d’amener le scoop ?

Une suite est en train de germer, pour NO.EL à 30 ans. Mais créer une fiction qui puisse heurter des sensibilités, sur des vécus virtuels, des fantasmes de SAM, ça peut devenir contestable.

 

 

Texte de Sam

Un coup dur

Cette année…
MARIE a fait une fausse couche.
MARIE voulait avorter.
DIEU ne l’a pas voulu.
DIEU en est très déçu.
Elle est bizarre cette société.
Où plus rien ne touche…
Ce refus de s’engager…

DIEU a dispatché.
GABRIEL en furie est descendu.
Faire un recadrage à JOSEPH.
JOSEPH qui y était pour bezef.
D’un bras d’honneur a répondu.
D’aller se faire empapaouter.

La crèche est vide.
Le recensement en compte un de moins.
Les bergers se sont déplacés pour rien.
Cette joyeuse fête est un bide.

L’étoile est voilée,
Sans lueurs, en berne.
Les commerçants du temple
Sont dans la rue très irrités.
Demandant une indemnité,
Pour ce manque à gagner.
Ne pourrait-on pas envisager…
Un autre JESUS d’une façon plus ample,
Pour tous ceux que l’événement concerne,
Et que les ressources puissent tomber.

Un JESUS d’intérim ?
Parmi tous ces chômeurs nouveaux nés…
DIEU n’a pas encore formulé,
Ce qui sera BEAU, BIEN, BON, JUSTE…
Pour pouvoir lui rester juste.
Dans cette pagaille organisée,
Juste pour cette année,
C’est pour lui un événement intime.

Oh ! Je vous sens choqué.
On ne plaisante pas avec ce genre de chose.
Pour ceux qui crèvent… y a-t-il quelque chose ?
Qui puisse les soulager ?

Pourquoi la MARIE de ce poème,
A-t-elle voulu agir ainsi ?
La mondialisation ? Elle s’est actualisée ?
La honte … une si jeune fille mère ?
Avec un gosse ne plus pouvoir rien faire ?
Maintenant pour se marier …
Les écritures, certes, mais elle… est-ce qu’on l’aime ?

C’est un poème sur l’égoïsme ?
Avant de crier aux blasphèmes…
Et de mettre ce poème au placard,
L’adultère apparent c’est bien ?
Obliger JOSEPH à être un cocu complaisant.
Sans pour lui être reconnaissant ?
Dans de telles circonstances elle en a le droit.
Toutes les autres le font bien ?
Autour de vous avez-vous le même regard ?
Cet embryon pourtant elle l’aime.
Les rumeurs sont pleines de cynismes

Alors, comment lire ce poème ?
Pour traiter ce genre de thème ?
L’acte est commémoratif n’est-ce pas ?
La naissance réelle n’est pas là ?
A quoi ces quelques lignes vous font-elles penser ?
C’est la vie, et il faudrait oublier ?

 

 

Texte de Mélissa

Noël est la plus belle journée que je connais déjà. Si on n'est sage juste qu'a Noël on peux recevoir beaucoup de cadeaux. J'aime Noël pace que on décor le sapin avec des boules de Noël et des guirlande de Noël.
 

 

 

       

 

Mise à jour ; 12 mars  2005   Copyright © 2004, Les éditions Mélonic