Poème de douleur, page 4

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Nos derniers poèmes

 

Poème de Arnaud

Feux éteints

Dis moi jeune et jolie fille
Pourquoi mouilles-tu le sable de tes larmes ?
Et dis moi pourquoi ainsi tu me regardes ?
J'ai l'impression que tu le sais : Tu me charmes
Mais ta tristesse m'affecte et me rend malade

Suite... Feux éteints

 

 

Poème de JF sans Qualités

Sans Titre

J'ouvre le dictionnaire pour rechercher le sens
De tous ces maux
J'ouvre le dictionnaire pour chercher ce que je pense
Ne pas dire : "C'est faux..."

Suite... Sans titre

 

 

Poème de Redouane

Une mère récompensée... !

Après les terribles peines de l’accouchement
Après des longs ans de dévouement
Mille soins et autant de tourments
Auprès de mes enfants

Suite... Une mère récompensée

 

 

Poème de Redouane

Arrête de pleurer sur le passé

Mon ami
Ça suffit
Arrête de pleurer
Sur un passé
Qui ne reviendra
Jamais !

Suite... Arrête de pleurer sur le passé

 

 

Poème de Niyonizigiye Célestin

Quand on est hors de soi

Quand on est hors de soi on est autre que soi :
La vue se brouille et l’on suit ce qu’on aperçoit,
On voit l’échelle des valeurs se renverser,
Et la bonne conscience ne peut plus percer

Suite... Quand on est hors de soi

 

 

Poème de l'Ange noir

Regard de mes pensées

Assise là; les yeux dans le vide;
Contemplant le néant; tout près;
Qui va tellement loin; l'infini;
L'infini néant de mon regard;

Suite... Regard de mes pensées

 

 

Poème de Vanessa

Help me

Toi et moi on est ami
Tu crois me connaître par cœur
Tu vois en moi une gentille fille
Sans un soupçon de douleur

Suite... Help me

 

 

Poème de L'ange noir

Vide

Dans le vide
Je suis dans le vide
Sans fond ni plafond
Juste quatre murs invisible
Auxquels je me cogne trop souvent

Suite... Vide

 

 

Poème de Youla Alpha

Le pardon

La colère grogne,
Le ciel pond des éclaires,
La haine crache le tonnerre,
Les ombres de la trahison s’inondent dans l’ivresse,
Le mal ronge l’innocence,
Les branches de l’arbre se rétrécissent,
La fin est proche, le pardon apparaît,
Malheureusement il est trop tard.

alphardo@hotmail.fr

 

 

Poème de Youla Alpha

Trahit

Mes yeux apeurés de larmes de trahison,
Mon cœur éclate en sanglot dans la douleur,
Mon âme meurtri vie dans la mortification,
Ma vie endeuillée ! Ce mal être me fait souffrir.
Causé par celle avec qui j’ai partagé cet anneau,
Dans une journée ensoleillé d’hiver,
Aujourd’hui seul ! Avec ma bouteille de vin de bordeaux,
Pour noyé mes chagrins des plus attristé, dans chaque verre.
Estompé l’hémorragie qui vide mon corps de son essence,
Adieu ses yeux apitoyant sur mon sort,
Avec le temps cette gigantesque plaie ce cicatrise,
Certes je suis déçu, mais debout, fort,
Pour affronté les ouragans du destin,
Car tans que cet organe rouge bat, l’amour ne sera jamais en déclin.

alphardo@hotmail.fr

 

 

Poème de Youla Alpha

L’absence du bonheur

Une absence de douceur bouleverse mes nuits,
Ma force intérieure diminue.
La certitude d’être un mal aimé me rend triste,
Je trouve ça injuste car je suis une personne altruiste.

Suite... L'absence de bonheur

 

 

Poème de Youla Alpha

Au bord d’archive

Visage amoindri par la routine,
Murmurant des mots isolés qui son inaudible,
Km après Km les efforts sont encore fané,

Suite... Au bord d'archive

 

 

Poème de Youla Alpha

Coeur envolé

Un goût d’acidité orne mes lèvres,
Ma peau par la saleté de tes doigts emplis de poussière,

Suite... Coeur envolé

 

 

Poème de Céline Martins

De l'amour à la haine...

On s'est rencontré, puis aimé...
On s'est fiancé puis marié...

Suite... De l'amour à la haine

 

 

Poème de Rosa Negra

Vermillon

Écris tes péchés sur mon âme blanche,
par mon sang, que tu fais couler
Vermillon sur tes doigts, une arme blanche
vermillon souille ainsi l'immaculé.

Suite... Vermillon

 

 

Poème de Kokoriko

Incompréhension

Pourquoi tant de souffrances?
pourquoi tant de différences?
La vie a toujours été un mystère,
comment comprendre?
pendant que certains vivent dans des situations rêveuses
d'autres par contre n'ont droit à rien, eux ils vivent dans situations piteuses
Qui pourra m'expliquer ce recto verso de la vie?
en même tant qu'elle est belle,merveilleuse et même féerique,
elle n'a aucune pitié pour les démunis.
On ne peut comprendre la vie,elle est intouchable
nul ne peut mettre un terme à ces fables
si ce n'est que suivre son cours.

 

 

Poème de la Moipopofanth

Lame

La lame frôle ma peau
Pour l'instant je ne ressent rien
Puis tu entres
Tu avances
Et tu frappes
Se coup si
La lame s'enfonce en moi
La douleur est présente
Ce n'est pas la lame qui me la procure
C'est toi
Tu ris
Je crie
Je pleure . . .
Dans ce monde
Je me sent a l'étroit
Je me sens possédée par la haine et la souffrance
Les larmes et le sang
Font maintenant partie de ma vis
ma vie ,  ce cauchemar que je vie éveillée
Je ne peut pas en sortir
Car il est beaucoup trop tard pour ça
Tu aurais pu m'aider
Mais tu m'as enfoncé
Je m'en suis rendue conte
Quant j'ai commencé à saigner
Et a pleurer
Pour ce que venait de se passer . . .
Tu n'as jamais été là pour moi
Tu n'as jamais séché mes larmes
Tu n'as jamais empêché mon sang de couler
Mais aujourd'hui je ne peut plus te le dire en face
Car la mort m'a emportée
Elle a pris mon âme
Depuis le temps que je la suppliais de le faire . . .
Il faut bien dire qu'elle n'est pas rapide
Elle nous laisse le temps de souffrir
J'aimerais qu'elle t'emporte toi aussi
Non pas pour te retrouver
Mais pour que tu sois punis
De tout ce que tu m'a faire subir.

moipopofanth@hotmail.fr

 

 

Poème de Bubbr 1vic

Son innocence
Tu lui a volé
Tu sais qu'elle était heureuse dans son enfance ?
Maintenant son âme est brisée

Sa vie est rouge et noir
Quand elle se regarde dans le miroir,
Elle espère ne plus se voir,

Quand elle revoit le passé,
Sa vie devient écarlate,
Quand on lui parle de ça,
Elle parait ennuyée,

Tu lui as volé son innocence,
Tu lui as volé son enfance.
 

 

 

Poème de Wolverine

Elle est l'extrême dans une réalité
Elle s'accroche là ou ne peut la déloger
Pas un cri, juste un regard hagard
Qui se perd sans plus de sonar
Un froid glacial qui glisse petit à petit  dans les veines
De part sa folie elle s'enroule telle des chaînes
Enserre le peu de réflexion à l'étouffer
S'évader comme une course effrénée
Trouver l'issue sans implorer dans l'essentiel
Une barricade, et malgré tout s'émerveiller devant l'existentiel
Les tempes battent de plus en plus fort
Le cour s'emporte comme dans un effort
Les jambes lâchent sous le poids 
La tête tourne comme enivrée du désarroi
Les mains tremblent en frénésie
Les paupières battent de plus en plus vite comme pour retenir sa propre faiblesse
Les lèvres se tordent sous la peur dans sa détresse
Assise on sent les suées incontrôlables
Des gouttes perlent sur le front, immuables
Du chaud au glacial le corps s'affaiblit
Il s'affale sans plus de contrôle de l'esprit
Une seconde, des heures. On ne sait .
La frayeur envahit sans plus de notes, sans plus le chant de la liberté
Au bord du malaise vous vous devez encore de rester là sans tomber
Ensuite vous fuyez, où ? Personne ne le sait .
Et d'un coup vous sombrer..
Elle est là rien n'y fait..
Le dégoût remonte jusqu'à vos lèvres sans décibels
Les nausées vous assaillissent en rebelles
Vous sentez comme une main qui serre de plus en plus fort votre cour
Le manque d'oxygène vous donne la pâleur

Et vous tomber dans l'idéale torpeur.
Tout en sachant qu'il faut vous relever dans l'honneur..
Juste un instant, juste un moment..
Le souffle court elle vous emporte dans l'enfermement.
Elle est l'extrême dans une réalité
Elle s'accroche là ou ne peut la déloger
 

 

 

Poème de Dejanire

Les chaînes de la honte

1er couplet
Débarqués comme des bêtes, animaux apeurés,
Les chaînes aux poignets et les pieds entravés,
Sur une terre bleue, se disant Liberté,
Que leurs frères à peau rouge avaient tant irriguée,
Par un peuple trop pâle, dont les couleurs ocrées,
Ne touchaient pas leur cour, insensible aux beautés. 

REFRAIN
C'est vrai qu'ils étaient beaux quand ils chantaient leur peine,
Mêlant leurs peaux cuivrées aux fleurs couleur de lait,
C'est vrai qu'ils étaient fiers, quand ils taisaient leur haine,
A leurs geôliers de maîtres qui ne chantaient jamais.

2ème couplet
Et dans la chaleur moite, soudain une voix monta,
Plus pure qu'un diamant, elle paraissait divine,
Que des milliers de voix, reprirent ici-bas,
Pour l'amener au ciel, afin qu'il s'illumine,
C'est le chant des esclaves, offert à l'Eternel,
Un chant plein de langage, qui se nomme le Gospel.

REFRAIN
C'est vrai qu'ils étaient beaux quand ils chantaient leur peine,
Mêlant leurs peaux cuivrées aux fleurs couleur de lait,
C'est vrai qu'ils étaient fiers, quand ils taisaient leur haine,
A leurs geôliers de maîtres qui ne chantaient jamais.

3ème couplet
Les maîtres sont tombés, d'autres sont apparus,
Fanatiques cagoulés, à l'esprit trop confus,
Pour comprendre le sens de ces chants plein d'espoir,
Et pour les honorer, au nom du peuple noir,
N'oublie pas leur souffrance, qui pleure dans les chansons,
Elle vient de la Louisiane et des « chants » de coton.

REFRAIN
C'est vrai qu'ils étaient beaux quand ils chantaient leur peine,
Mêlant leurs peaux cuivrées aux fleurs couleur de lait,
C'est vrai qu'ils étaient fiers, quand ils taisaient leur haine,
A leurs geôliers de maîtres qui ne chantaient jamais.
 

 

 

Poème de Bubb1rvic

Souffrance

Les larmes de mes yeux,
Couleront lentement,
Car ce que tu veux,
Me touchera fatalement.

Je ne pourrais vivre sans toi,
Et connaître encore cette fin de mois,
Je préfère partir avec toi,
Que de revivre ça par amitié pour toi.
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Vienne la délivrance

Ils affirment être révoltés
Contre l'intolérance, l'iniquité
Que la lutte est contre les dictateurs
Pour libérer le monde des oppresseurs
Que le peuple a droit à la liberté,
La justice dans un climat de fraternité.
Pour achever votre lutte sacrée
Avez-vous le droit en toute impunité
De saboter, kidnapper, torturer, tuer
Tous les opposants à votre volonté.
Le sang doit-il continuer à couler
Au nom de votre lutte pour l'égalité
Vous faites du mal à vos frères
A toute l'humanité, cet enfer
Que vous avez crée de fer, de feu
De barbarie pour les malheureux
Entre vos mains couvertes de sang
Doit prendre fin. Acceptez sans
Délai ce message de justice inscrit
Redonner à vos otages la vie.
Assez à la tragedie, la souffrance
Revienne la tolérance, la délivrance.
 

 

 

Poème de Océane

Il donne une impression d'absence
    ou plutôt une impression d'innocence
    il veut dormir tout simplement
    fatigué de subir le temps
 
il a le visage ridé et le corps vide
un teint extrêmement livide
mais personne ne s'inquiète pour lui
je pense que c'est ça qui le détruit

    soudain,il se lève d'un bond
    pour pouvoir rejoindre le pont
    sur le rebord il se balance
    il va mettre fin à cette souffrance

chaque personne le regarde
mais aucune ne le voit
triste il se tient a la rambarde
et pris une dernière fois

    "Oh Dieu!chaque homme sur terre a sa chance
    pourquoi est-je subi tant de souffrance?
    je ne pose même plus la question
    si tu nous l'impose,nous la méritons...""

mais son jour n'est pas arrivé
une jeune personne s'est penchée
pour pouvoir le réceptionner
avant qu'il n'est eu le temps de sauter

    nous l'avons sauver grâce à toi
    vingt-cinq vers que tu penses à lui
   aujourd'hui, Adam a un toit
    et a finis par prendre goût à la vie
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

La douleur

Tu nous prends soudainement
Le plus souvent insidieusement
Tu ignores nos souffrances
Parfois vient la délivrance
Certainement pas de tes mains
Mais de celles des médecins
Qui te donnent des points
De un a dix. Sans aucun soin
Tu persistes jours et nuits
A nous faire mal, tu nous poursuis
Et affecte notre âme et corps
Ô toi douleur, tu sembles à tort
Ou à raison, vouloir nous faire peur
Et te réjouir de notre malheur.
Comme un serpent aux aguets
Tu injectes ton venin son arrêt.
Pour pouvoir vivre en paix
Et se débarrasser de tes méfaits
Il faut sans pitié te tuer.
 

 

 

Poème de Val

Mon corps

la nuit tombe laissant une jeune femme,
A demi nue, et dans son regard plus de flamme .
Comment regarder se corps ? 

Siège du désir de l'homme sans remord ?

Ce corps haineux, sali par le viol, sexe impur,
Ce corps honteux qui subira toutes les blessures .
Je suis devenu mon propre bourreau,
Humilié, il subira la force de mon courroux .

Lentement, doucement, prenant tout mon temps,
Mes formes voluptueuses s'effaceront avec le temps,
Afin de détourner le regard des hommes,
A travers ma chair, des os saillant se forment .

Protéger mon esprit se libère,
Et contemple ce corps amaigris mais fière .
Il ne possède plus ce que dame nature lui a donné,
Il s'est transformé comme cette jeune femme l'a désiré .
 

 

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