Poèmes d'enfants, page 2

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Poème de Mingolove

Les enfants des rues

Quand les rayons dorés du soleil tropical
Saluent le nouveau jour d'un baiser amical
Déjà ils sont là à leur point de référence
Leur visage marqué du sceau de l'indigence.

A tous les coins de rues, on les voit en haillons ;
Sous l'oeil brillant, mais inconscient de l'horizon,
Seul témoin permanent de leur vie de galère,
Ils quémandent du pain pour subsister sur terre.

A l'heure du dîner, ils sont souvent à jeun
Et attendent toujours le moment opportun
Où, voyant leur sort et touché par leur rengaine,
Un bon samaritain soulagera leur peine.

Quand leurs cris lourds de faim se perdent sans écho
En plein cour du néant, toujours sourd à leurs mots
Le fils de X, jette pourtant  la poubelle
La moitie de son  délicieux plat de sarcelle

Souvent le soir quand au creux de leur intestins
Survient l'âpre révolte acharnée de la faim
Chez les gens fortunés, dénués de mansuétude
Même les chiens mangent jusqu'à la lassitude.

A force de penser à leur pénible vie,
Ils passent bien souvent des nuits d'insomnie
Les yeux noyés de larmes, affamés, désespérés
Tout, ici-bas, leur fait regretter d'être nés.

Grandissant sans acquérir le pain du savoir
Ils  survivent du peu qu'ils ont en leur pouvoir
Et pour ne pas céder à cette vie affreuse
Certains se font portefaix ou bien prostitueuses.

Ils sont souvent des enfants sans père, ni mère
Qui se voient, hélas, dans les bras de la misère,
Grandir en tendant quotidiennement leur main
Et mourir dans le regret, l'orgueil et la faim.
 

 

 

Poème de Chonnette

Tout te donner pour ne rien recevoir,
t'aimer pour n'avoir rien en retour,
te vénérer alors que tu te moques,
voir ton avenir et tomber de haut.
Descends de ton piédestal enfant Roi !!!

 

 

Poème de Nina

Souvenirs

Lorsque certains nous content, comme si c'était hier,
Tous les moments heureux vécus dans leur enfance,
Je reste très pensive, car, par quel mystère
N'ai-je donc aucune image ? Et pourquoi cette absence ?

Mon enfance ne fut ni rose, ni pailletée,
Je mentirais aussi en disant qu'elle fût triste,
Elle fut ce qu'elle fut, dans un monde ouvrier,
Avec ses interdits, son éducation stricte.

Mes premiers souvenirs naissent dans le Mâconnais,
Une odeur de café chatouille ma mémoire,
Nous vivions au Château, ainsi qu'on le nommait,
Une demeure ancienne, aux balcons blanc ivoire.

Etait-ce un marronnier ce grand arbre dehors ?
Et la grille du parc austère en fer forgé.
Un pré de marguerites et puis de boutons d'or
Dont nous faisions des tresses au pied de l'escalier

L'odeur de ma grand-mère me revient en mémoire
Lorsque je l'embrassais sur ses joues si flétries,
Mais si douces. Je voyais une silhouette noire
Marchant toute courbée, écrasée par la vie.

Les autres souvenirs mes soeurs me les content,
Si bien que je ne sais si je les ai vécus,
Tout se mélange un peu dans ce livre de contes,
Peut-être que c'est moi qui n'en ai pas voulu.

Je suis comme un oiseau, qui va de fleur en fleur,
Pépillant ici, là, quelque bon souvenir
Rescapé des chagrins, des tumultes et des pleurs,
Je préfère oublier et choisis l'avenir.

Ainsi que dans la Bible, ne pas se retourner,
Au risque de finir en une statue de sel,
Le passé est derrière, il faut savoir tourner
Les pages de notre livre, vivre dans le réel.

Le meilleur de la vie qui stimule l'existence,
Ce sont les bons moments qu'il nous reste à goûter,
Quoi de plus merveilleux que d'avoir cette chance
D'être maître de soi pour bien lancer les dés ?
 

 

 

Poème de Delphine33076

Je ne veux pas que tu sois peinée,
Je ne veux pas que tu sois triste,
Simple et facile comme la vie,
Spontanée, joyeuse,

Donnes-moi si je suis trop égoïste cette immense joie,
D'entendre encore tes rires,
De partager avec toi les grosses qualités humaines,
Oublier enfin la violence du monde,

Saches que dans tes bonheurs je suis là,
Si tu laisses toutes tes fenêtres ouvertes,
J'aimerais te donner une joie encore plus immense,
Toi petite fille de la fraîche prairie,

Tu danses dans les fleurs,
Et avec les anges que même la nuit ne bloque pas,
De sagesse tu es faite et de joie cristalline tu chantes
Rendant à un monde bien plus de belles couleurs qu'il ne lui a jamais été donné de connaître,

Même si de temps en temps tu te sens seule,
Le destin atténue par l'amour que les gens te promettent,
De tourner la clé et t'autoriser à la célébrité,
Après t'être débarrassé de la négativité,

Puis tu te dis « je suis comme toi »,
Ce que je veux que tu te souviennes :
Tiens, tes rêves fort dans la paume généreuse de tes mains
Puisqu'il y aura toujours moi qui te feras voir le bien et le positif.

 

 

 

Poème de Candice

Mes filles

Comment vous dire le fierté que
     j'ai d'être votre maman.
Mon coeur est comblée chaque jours
 de vos sourires,vos joies
   de votre tendresse.
Vous la plus belles réussites de ma vie.
 La plus belle aventure de la vie nous l'avons
vécu ensembles.
   Vous avoir portés dans mon ventre je vous est
désirez l'une après l'autre,la joie de vos
  naissances et de vous voire à présents pleines
d'amours,d'innocences et de vie.
Quand mon coeur est triste un seul regard se pose sur vous
          et tout redevient bonheur.
              Mes bébés vous serez toujours,
           mes plus beaux rayons de soleil.
Votre maman qui vous aaaaaaaaadore plus que tout.
 

 

 

Poème de Corine

Pour notre tata préférée

Toutes les familles du monde ont leur petite fée,
Dans la notre aussi: elle est une vraie poupée.

Elle fait des gâteaux et pleins de gâtées,
Et pour nous comprendre, elle est très douée.

Elle est si gentille c'est un cour sucré,
Elle ressemble un peu a une princesse enchantée.

En ton jour de fête on est la en pensée,
Chère "Tata Nancy" c'est toi notre fée!

Tes petits neveux d'Australie
Aidan Cian
 

 

 

Poème de Chantal

Jordan mon fils

 J'en ai passé des nuits a pleurer
 Pour toi mon petit amour
 Que le ciel m'a envoyé avec les yeux fermés
 Sache que je t'aimerai toujours

 Mon coeur est rempli de tristesse
 Et tu es là, doux comme une caresse
 Tu as changé ma vie
 Grâce à toi j'ai mûri

 Tu ne me verrais pas
 Mais pour toi, toujours je serais là
 Pour te guider vers les chemins
 Tu trouveras mes mains
 Pour apaiser tes peurs
 Je t'ouvrirai mon coeur

 Grandis dans la joie
 Ais la foie
 Mon petit bonhomme
 Peut-être qu'un jour
 Quand tu seras un homme
 Le destin de retour
 Exaucera mes prières
 Que je faisais hier

chantalnabt@orange.fr
 

 

 

Poème de Angela

L'enfant

Je n'aime pas les grandes personnes !
Dans leurs têtes je suis sur ça déconne...
Je n'aime pas lorsqu'elles me disent :
"T'es trop petit pour faire à ta guise !"
"T'es trop grand fait pas l'enfant !"
Mais moi je sais bien que je suis géant !
Lorsque, juché sur le mur du jardin,
En pirate, une épée à la main,
Je brave et pourfends le vent.
C'est moi aussi le plus fort !
Sous mon lit j'ai des tas de trésors !
Et je suis sacrément malin...
Les lézards et les grillons le savent bien !
Je n'ai pas peur ! Je suis rapide !
Maman me le dit "Mon petit intrépide !"

Mais ce que vous ne savez pas, vous les grands,
Qu'est-ce que c'est fatigant d'être tous les jours un enfant !
 

 

 

Poème de M-France

Pour mes enfants

Vous m'avez comblé ma vie
 de joie,de peine,de crainte.

Je suis la plus heureuse des mamans
Vous m'avez appris "l'amour"

Cet amour,j aurai aimé le connaître
mais voilà,le destin avait décidé le contraire.

Vous  êtes mes rayons de soleil,
vous avez réussi à illuminer mon coeur

Les années ont passées
vous avez grandis,mais pour moi
vous serez toujours mes petits anges
 

Je vous aime 
 

 

 

Poème de La fille à l'enfance gâchée

Mon enfance, mon enfer

Tu n'as jamais changer
Toujours parti,
Et quand tu revenais tard le soir
c`est là que l`enfer commença
Tu a fait des menace de mort
La carabine souvent sortie
Et ma mère terrifier
Aucune chance de te dire non.

Moi si protectrice, je la protèges
Devant elle je me plaçais
Pour te pousser à mon tour
Et je n`avais que 3 ans
 
 
Ma petite soeur qui a peur
De tout tes gesse de violence
Ma petite soeur ne comprenais rien
Elle qui étais traumatiser par tout les hommes

Tout les soirs des cris de mort
Hantais notre maison
Mais moi je comprenais ce qu`il se passais
Et j`avais que 4 ans

Quand tu étais fâché,
Je comprenais que l`inexplicable pouvais arrivé
j`emportais ma petite soeur ce caché
Moi qui avais une grande maturité.

Quand je fermais mes yeux
Je te voyais
Et quand je les ouvrait
j`étais sur mes gardes

À un moment de frustration
En ferment la porte
Tu à dit a mère de partir pour de bon

Très inquiète,
Je vais voir ma mère
Pour la consoler
Et je lui dit que c`est fini
Et que nous allons vivre chez grand-mère
Je venais de délivré ma mère d`un enfers qu`elle croyais interminable
Et je n`avais que 5 ans

Malheureusement tout ne s`arrête pas là
Pendent 3 mois tu m`appelas pour me parler
Et quand j`attendais ta vois
Le film d`horreur tournais encor dans ma tête
Et je l`ansais le téléphone au bout de mes bras
Moi qui avait tout juste 5 ans

Ton avocat gagnas à la cours
Et je suis obliger d`aller te voir une fin de semaine sur deux
Tu fais comme si rien ne s`étais passé 
Mais moi un jour je vais te faire payé
Pour mon enfance gâcher

J`ai maintenant 13 ans
Tu nous raconte des histoire sur notre enfance
Et après je te fait peur en te dissent que je sais la vérité
 Et pourtant je n`avait que 5 ans


Je suis la fille d`un pauvre vendeur de drogue
Je suis une petite fille au passé qui la hante
Je suis la grande soeur d`une petite fille traumatiser
Je suis la fille qui a délivré sa mère d`un enfer de malheur
Je suis la petite fille qui avait que 5 ans
Mais un jour papa...
Je vais te faire payé!

 

 

Poème de Sandrine Pellegrino

 

Clément

Clément c'est le prénom qui t'était destiné
La vie tu l'attendais, la désirais
Et le jour de ta naissance
Mon coeur a compris avec aisance
Enfant tu es adorable et bienveillant
Nous savons que tu seras clément
Ton surnom "mon petit bouddha"

Pour toi mon fils tu es mon cadeau, celui qui restera à jamais le plus beau,
je t'aime de tout mon coeur et de toute mon âme, à l'infini allé retour sans jamais s'arrêter

 

 

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