Poème-6075

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Poème de Nadeo, France

 

Toi, seulement toi


Au fond de ce long couloir je t'aperçois,
Tu es si loin de moi je m'approche de toi,
Je désire te toucher, te prendre dans mes bras,
Le temps devient long tu es si belle je suis las.

Ta silhouette se dessine, dessinée par les anges
Une Ouvre, de doigts de fées, sculptée par Michel-Ange.
Mon Cour, mon cour s'enivre de ta douce odeur
Et tes yeux me transpercent de leurs éclairs brunâtres.
J'ai peur de ne plus te plaire, d'une peur blanchâtre

Et mon cour incessant ne cesse de t'attendre,
Sa flamme s'embrase de notre amour brûlant.
Tu arrives avant qu'il ne se consume en cendres,
M'embrasse, Je t'aime, ton Amour, je n'existe sans.

 

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Mise à jour ; 12 mars  2005   Copyright © 2004, Les éditions Mélonic