Récit fantastique

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Récit

 

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Récit de Safsof

 

A un matin d'hiver, notre école à organiser une visite dans le grand château de M. Jean Pierre, qui est connu par sa richesse et son caractère étrange. Tous les élèves étaient passionnés d'éclaircir le mystère de cet homme.


A notre arrivée, on voyait un très grand château, entouré que des arbres et à coté d'une rivière, il était seul dans le coin car il n'y avait aucune maison d'à coté. Lorsque nous sommes entrés tout le monde était surpris par le charme et la beauté de ce château. Tout était propre et bien rangé. Pendant que nous visitions le château, le prof nous expliquait ce qui caractérisait son propriétaire, il disait qu'i était très étrange et qu'il voulait tj être seul. Ce qui l'a rendu très connu c'est la légende qui disait qu'il se transformait chaque nuit à un vampire, et qu'il se nourrissait sur sang humain.


Mais certaines choses nous montre que la légende est vrai, car le rouge était dans tous les coins du château, tout était bien meublé rien ne manquait à ce château. Et enfin ns voilà devant sa photo il avait un look très bizarre en le regardant aux yeux j'ai senti qu'il veut dire quelque chose d'après son regard, il avait l'impression du coller et du mal à son aise.


Au couché du soleil, on se préparait pour revenir à la ville lorsque le chauffeur nous déclare que le transport est tombé en panne et qu'il ne pouvait pas appelait du secours à cause du tonnerre et puis il n'y avait pas du réseau à l'endroit ou nous somme. Le seul moyen pr s'en sortir, c'était de passer la nuit là bas en attendant le chauffeur qui reviendra jusqu'au matin avec du secours, car il était obligé d'aller à pieds jusqu'à la ville. En attendant tt le monde était assis près du cheminée, le tonnerre déchirait le silence, les portes s'ouvraient et se fermaient toutes seules tous le mondes étaient terrifiés petits et grands. Moi je me concentrais sur la photos de Jean Pierre lorsque soudain, j'ai vu ses yeux et sa bouche bougeait et puis il s'est transformait à un vampire et sortit de la photo, j'ai poussé un grand cri qui a attiré l'intention des autres, tout le monde étaient coincé ne savant rien faire et dans cette instant la lumière s'éteint, il n'y avait que ses yeux rouge qui brillait dans le sombre, tout le monde poussait des cri Lam ma meilleure amie qui est  très intelligente avait une torche dans sa poche l' allumait très rapidement et la fixa droit dans ses yeux, la force de la lumière avait un effet sur lui ce qui l'a ralentit un moment, moi j'ai courut derrière lui, pris sa photos et l'a cassé en pièce, à ce moment là il commençait à se détruire devant nos yeux et disparut. tout le monde était choqué il y en a même ceux qui ont perdu conscience, après un instant le chauffeur est revenu avec de l'aide et nous transporta dans nos maisons. Personne n'a pu fermé ses yeux cette nuit mais le lendemain on a eu une bonne récompense moi et mon amie puisqu'on a sauvé la vie des autres, et le château, on l'avait détruit et construit à sa place un parc de jeu.
 

 

Oublie de te souvenir !

De Karine Wone et Achille Charrier-Zaparucha

 

Comme chaque matin, j'allumai mon ordinateur pour lire mes e-mails, l'écran s'éclaira. Que des publicités ! Je me préparai à tout supprimer quand un des messages attira mon attention... Bizarre, il n'avait pas de sujet. Je l'ouvris pour découvrir un e-mail blanc. Sans doute une erreur ou bien quelqu'un voulait me faire une farce. Mais dans mon coeur, quelque chose me disait que non. Vite, je fermai le message et éteignis l'ordinateur comme si le malaise allait disparaître avec; et bizarrement, il s'arrêta. Je partis au bureau comme d'habitude. Je montai à Mont-d'est et je descendis à la gare de Lyon. J'étais en train de trier des dossiers quand mon malaise revint brusquement. Livide, sans savoir d'où venait cette sensation, je regardai dans tous les coins de la pièce, jusqu'à ce que mon regard se posa sur la porte... La seconde d'après, on frappa.

− Une lettre et un coup de téléphone pour toi, m'annonça Claude, mon coéquipier.

− Allô ? dis-je.

J'essayai de faire trembler ma voix le moins possible, mais il n'y avait pas de réponse. J'entendis juste le bruit d'une respiration sifflante en fond qui faisait : «  chuuuh, chuuuuuuh ». Je raccrochai le plus vite possible le téléphone et déchirai l'enveloppe, elle était blanche. Je m'évanouis. Je me réveillai et jetai un coup d'oeil à l'horloge: trois heures moins dix. Comment se faisait-il que l'on ne m'ait pas réveillé ? Je sortis dans les locaux, il n'y avait personne. « Ils m'ont oublié », me dis-je pour me rassurer mais la même voix au fond de moi me disait que non. En panique, je sortis en courant dans le froid de l'avenue Daumesnil. Un silence total régnait. Quoique... Il me semblait entendre un bruit, oui, en me concentrant j'entendis un bruit de pas ! A nouveau, je courus mais les bruits s'intensifiant semblaient venir de tous les côtés ! Je m'arrêtai, à bout de souffle. Les bruits de pas s'étaient tus. Ce que j'entendis à ce moment-là me terrifia: le silence, le même que dans les lettres et au téléphone... Tout à coup, je sursautai. Un souffle m'effleura. Ce n'était pas le vent, il n'y en avait plus. « Où êtes-vous ? Que voulez-vous ? »

Je tombai à genoux et sanglotai en marmonnant: «  Pourquoi moi, pourquoi moi ». Je m'arrêtai, un autre bruit que mes pleurs me parvint. Une respiration... Une respiration sifflante. Je voulais me lever et courir jusqu'à ce que mes jambes ne puissent plus me porter, mais elles étaient paralysées. Je voulais me couper la langue pour mourir et ne plus être là mais je ne contrôlais plus rien... alors j'attendis.

Puis, je me réveillai et n'entendis à nouveau plus rien. Sans doute mes oreilles me faisaient défaut. Un instant, même une dizaine de secondes plus tard, je ressentis un vertige. Je me dis: « Oh non ! Pas encore ! ». Mais, je ne m'étais pas évanoui. En réalité, il y eut une sorte de vide dans ma tête : en une fraction de seconde, je ne me souvenais plus de rien. J'essayai de me rappeler des souvenirs, mais en vain. Serait-ce une séquelle de mon malaise ? Oui, peut-être. J'étais convaincu que ce n'était pas cela qui m'avait vidé de mes connaissances, de mes souvenirs...

Je me relevai et marchai dans la rue en essayant de me rappeler des souvenirs de la journée précédente. Je réfléchissais lorsque j'aperçus du coin de l'oeil, un vieil ami à moi. J'allai le saluer et m'approchai de lui mais il me dit qu'il ne me connaissait pas. Etonné, je poursuivis ma route et croisai ma soeur. A nouveau, elle me dit qu'elle ne me connaissait pas non plus. Désespéré, je retournai chez moi, essayant de comprendre toute cette histoire. Arrivé dans ma chambre, j'entendis des voix. Je sentis une respiration derrière mon épaule et je me retournai brusquement. Soudain, mon ordinateur et l'écran s'allumèrent tout seuls. Des e-mails blancs s'ouvrirent petit à petit. J'en eus assez et commençai à devenir fou. Je pris ma batte de baseball et tapai sur mon ordinateur, si bien qu'il passât à travers la fenêtre et s'écrasât dans mon jardin. Je me dis : « enfin ». j'allai dans mon jardin pour jeter mon ordinateur. Stupeur, il était toujours allumé. Sur l'écran, je voyais se dérouler tous mes souvenirs y compris ceux de ce jour-là.. Soudain, je vis ma course poursuite... Et le visage de l'esprit qui me poursuivait. Je poussai un hurlement strident, je ne sus pourquoi, ce visage me pétrifiait de terreur, et je m'évanouis encore...

Je me réveillai dans mon lit. C'était le matin. Ce n'était qu'un horrible cauchemar. Jusqu'à ce que je vis cet e-mail sans adresse d'expéditeur; je l'ouvris. Il y avait marqué : « Ce n'est pas fini, je reviendrai te vider de tous tes souvenirs, souvenirs, souvenirs... ».

Je ne savais pas quoi faire, mais j'étais convaincu que ce n'était pas fini. Mon cauchemar était entré dans ma vie.

 

 

 

LE COMPLOT

De Clémence Da Costa et Catherine Phoutavong

 

Je me levai à 6h30, stressée car je venais d'arriver dans la ville. J'allais découvrir mon nouveau collège. Je pris mon petit déjeuner et partis à 7h30. Je pris le bus. Quand j'arrivai, je me dirigeai vers le bureau de la CPE. Souriante, elle me dit:

− Alors, c'est toi qui arrives dans le collège. Comment t'appelles-tu ?

− Clara Duval, lui répondis-je.

− Tu vas intégrer la 4°7.

Elle m'emmena dans la classe, en cours de maths.

-Voici Clara Duval, elle vient de Marseille. Elle est nouvelle à Paris.

Un garçon brun lança :

− Wesh, ch’suis pour l’OM !

Puis un grand blond s’écria :

− N’importe quoi, PSG en force !

Le cours se passa bien. A dix heures, je retournai voir la CPE pour qu'elle me donne mon carnet, quand soudain, j'entendis des voix à travers la porte :

-...la créature...

Puis un rugissement grave. La CPE ouvrit la porte qui était restée entrouverte. Quand elle sortit, elle me fit un sourire mauvais. J’étais paralysée, je ne savais plus quoi faire. Paniquée, je m’enfuis en courant dans le couloir pour aller m’enfermer dans les toilettes. Je repris mes esprits et décidai de sortir, mais le verrou était bloqué et les portes étaient en fer. J’étais piégée. Une odeur étrange envahit la pièce. Je commençai à suffoquer et je m’effondrai par terre et m’endormis malgré moi.

            Je me réveillai à l’entrée des toilettes et je me levai. J’arrivai dans la cour déserte et je vis qu’il faisait nuit ? J’entrai dans le collège désert et sombre. J’avais peur. Mais je me résignai quand même à marcher. Aussitôt après avoir fait quelques pas, je le regrettai. Des ombres monstrueuses et noires se dessinaient sur les murs. J’étais effrayée. Pour comprendre d’où elles venaient, je regardai entre le mur et la lumière de la pleine lune à travers la fenêtre. Mais rien, à part moi. D’où venaient ces ombres ? Peut-être était-ce tout simplement moi qui en bougeant formait ces ombres ? Mais non. Impossible. Je ne ressemblais en rien à ces ombres. Où peut-être était-ce une branche d’arbre ? Aucun arbre. Ou…Soudain, une idée effrayante me traversa l’esprit : était-ce la créature ? Sans plus de temps et toujours sans rien voir, je sentis un bras me projeter à terre. Me cognant contre le mur, je m’évanouis.

            Je me réveillai allongée. En essayant de me relever, je m’aperçus alors que j’étais ligotée et bâillonnée. Soudain, la porte s’ouvrit sur la CPE, qui entra dans la pièce avec son habituel sourire mauvais. Je reconnus alors son bureau et constatai qu’il faisait toujours nuit. Puis, une voix caverneuse et grave s’éleva dans la pièce d’à côté qui était occupée par l’infirmerie :

− C’est l’heure, Dolorès, amène la fille, Lucifer l’attend…

Le sourire diabolique de la CPE alias Dolorès s’évanouit, laissant place à la crainte. Moi, j’étais effrayée ! Effrayée à l’idée que l’on m’offre au Diable en personne. La CPE me délivra de mes liens et, d’une force insoupçonnée, me porta dans l’infirmerie. L’ombre noire était là, haute d’au moins trois mètres.

− Pourquoi faites-vous ça ? Je ne comprends pas ! criai-je au désespoir.

L’ombre noire me répondit :

Dolorès a fait un pacte avec le Diable, elle lui a promis une jeune âme pure en échange de vivre encore cent ans sur terre. Or l’heure est venue et tu vas aller en enfer, sans pouvoir jamais en ressortir.

− Mais pourquoi moi, et pas elle ? répondis-je désespérée et terrorisée.

− Crois-tu que Satan prendrait l’âme de sa sœur ?

La réflexion me laissa de glace. La main noire m’empoigna et m’emporta dans un trou noir sans fond.

C’est à ce moment là que je me demandai si tout cela était réel ou un simple cauchemar et si je me réveillerai le lendemain matin à 6H30 dans mon lit…

 

 

 

Les Kiriganes

De Loïc Dederen et Erwan Beauchamp

 

Sur terre, le 23 décembre 2006, Tony Brand alla chercher sa fille de 17 ans, Stéphanie, au Lycée de Los Angeles, pour l'amener à son cours de natation à la piscine de sa ville. Sa fille étudiait l'art moderne et lui, travaillait à la NASA en tant que chercheur. Pendant ce temps, des astronautes américains en contrôle autour de la terre, détectèrent un satellite qui ne répondait pas à leurs appels pour les identifier. Ils transmirent leur rapport à Tony.

Stéphanie, après son cours de natation, alla dormir chez une de ses amies, tandis que Tony dormit au bureau. Il se réveilla souvent avec une impression bizarre, il avait le pressentiment qu'il allait se passer quelque chose, puis se rendormait brusquement. Au petit matin, il se remit à travailler en pensant à cette nuit où il avait mal dormi, pourtant il n'arriva à se rappeler de rien, un grand flou !

Un peu plus tard dans la matinée, Stéphanie se réveilla en compagnie de ses amies et elles découvrirent dans le jardin un énorme cercle qui avait l'air assez profond ! Elles allèrent voir de plus près, on avait l'impression que le sol avait été brûlé, elles s'approchèrent du centre du cercle où un trou tout droit avait été creusé par on ne sait quelle machine... Comme elles étaient toutes seules à la maison, elles commencèrent à paniquer. Stéphanie proposa d'appeler son père pour qu'il vienne et les rassure sur cet étrange trou. Elle appela chez elle mais personne ne répondit, puis elle se dit qu'il était peut-être à son bureau. Elle appela, mais pas plus de réponse. Sa panique augmentait. En dernier recours, elle téléphona chez ses grands-parents qui lui dirent qu'il était en balade avec des collègues et lui donnèrent son numéro de portable. Rassurée par les dires de ses grands-parents, Stéphanie composa le numéro et son père répondit avec son habituel « Allô ». Rapidement la situation lui fut expliquée. Il ne pourrait arriver que dans une heure. Pour des raisons incompréhensibles, un énorme bouchon s'était créé, il lui fallu deux heures pour arriver.

Une fois arrivés, ils allumèrent la télévision mais... Stupeur, elle resta éteinte? Ils n'arrivèrent pas à l'allumer. Les collègues de Tony et lui-même prirent des pelles et creusèrent autour du trou pour voir ce qu'il pouvait bien y avoir au fond. Ils y découvrirent une chose ronde, comme un ballon de football, noirâtre, scintillant de vert, une chose étrange, encore jamais vue sur la terre.

Dans l'après-midi, la télévision s'alluma toute seule et un flash info débuta. Le sénateur de la Californie annonça qu'une pluie de petites météorites s'était écrasée sur la région de Los Angeles. D'après des scientifiques, les météores devaient passer à plusieurs milliers de kilomètres de la terre, mais à cause d'un satellite mal placé, une déviation de leur trajectoire fut provoquée.

Tony, ayant quelques connaissances de l'espace puisqu'il travaillait à la NASA, pensait fortement à une autre explication, il ne savait pourquoi, mais il était sûr que c'était cela...

Ces météorites étaient différentes de toutes celles qu'il avait vues auparavant : noires, scintillantes de vert ! Mais Tony se demandait quant même quelque chose : d'où venaient-elles ? L'après-midi même, Il alla au bureau et fit des recherches pour trouver l'origine de ces météorites mais ne trouva que des légendes sur des dieux possédant une pierre d'une immense puissance et aux pouvoirs illimités.

Quand Tony se pencha sur cette histoire irréaliste, il s'aperçut que cette fameuse pierre était identique à celle trouvée dans le jardin. Cette nuit-là de noël, un phénomène étrange se produisit; un orage terrifiant éclata au-dessus de Los Angeles et coïncidence ou phénomène paranormal, chaque pierre ou météorite fut touchée par un éclair mais aucune d'elle ne fut détruite.

Le matin du 25 décembre, Tony, au lieu de trouver des cadeaux sous son sapin, découvrit une pierre, la même que celle qu'ils avaient trouvée dans le jardin. « Peut-être Stéphanie l'avait-elle apportée ? se demanda-t-il. Tony décida de l'étudier et tout en l'analysant, il entendit à la radio que toutes les pierres avaient été bizarrement frappées par la foudre, toutes sans exception sauf une seule, celle qu'il avait sous les yeux. « Coïncidence ! » se dit-il... La sienne n'avait rien subi a priori. Mais en regardant de plus près, il découvrit une petite tache blanche. « Blanche ? Bizarre sur une pierre noire, pensa-t-il ». Quand il la toucha, une lumière blanche sortit si forte qu'il ne voyait plus rien. Et elle s'éteignit brusquement...

Le noir, voilà la seule chose que Tony voyait et des bruits étranges résonnèrent dans ce noir. « Où suis-je ? Se demanda-t-il ». Et là, une voix retentit qui disait : « massacre, mort, trahison! ». Tony comprit à ces mots qu'il n'était pas le bienvenu dans cet endroit, il demanda à ces voix : « pourquoi ? Que voulez-vous dire ? ». Et, à ce moment-là, une voix retentit à nouveau disant : « Je vais t'expliquer la vérité. Nous sommes un peuple appelé les Kiriganes. Nous vivons sur une planète qui a été attaquée par un missile interplanétaire, un nom était inscrit dessus : NASA. Nous nous sommes informés et avons envoyé notre contre-attaque... La prochaine sera bien pire: un astéroïde de la taille de votre lune ! ».

Tony répliqua : « Mais non, enfin, je ne sais comment vous expliquer ce malentendu?. Ce n'était pas un missile mais un satellite dont nous avons perdu le contrôle. »

Après quelques dizaines de minutes, la voix lui répondit d'un ton posé : «  Nous allons te donner la possibilité de revivre les deux semaines passées. Tu ne te souviendras de rien mais j'espère que cette fois cela n'arrivera pas. »

Et sans même pouvoir répondre, une autre lumière blanche apparut, et lui fit perdre connaissance.

Cette bonne odeur du matin, qui réveilla Tony le fit prendre conscience qu'il avait un terrible mal de tête. Mais aujourd'hui, 11 décembre 2006, il avait une étrange sensation : avoir déjà vécu cette journée...

 

 

 

 

 

Auteur

Région

Récit

Sébastien Cristol France recit-6002
     
     
     

 

       

 

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