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derniers poèmes |
Poème de
Mamanbidou
Inceste
Papa papa ! je t'en supplie ne
fait pas ça !
Souviens toi ! c'est ton enfant que tu meurtris là !
Ton visage n'est plus le même,
Quand tu me touche, que tu me dis je t'aime,
Tes yeux qu'est ce qu'ils deviennent ?
Quand tu mets ta bouche sur la mienne ?
Tes belles mains qui m'ont bercée,
Alors que je n'étais qu'un bébé,
Sont devenues honte et dures,
Impures et blessures;
Mon corps, mon coeur ne sont que souffrances,
Mon désespoir est immense,
Tu m'as volé mon enfance,
Voilé mon adolescence,
Plus rien n'est à sa place,
Ni le " i " ni le " o "; du voile
Pas même mon image dans la glace,
Rien qu'un suaire de toile.
huguette.juen@wanadoo.fr
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Poème de
Sabrililine
Tristesse... à
toi le bonheur
Mal être
Envie de disparaître
Le coeur lourd
En manque d'amour
La vie soudain horriblement
N'est plus à la mesure du temps
Malheur, désespoir
Tu ne vis plus que dans le noir
Si seulement tu pouvais avoir un peu d'air
Juste pour que tu puisses y voir plus clair
Partout où tu te tournes
La tristesse y séjourne
Toutes tes ingrates douleurs
Se forment d'heure en heure
Le temps passe
A toi de faire que jamais tu ne t'en lasses
Croire en la vie et au hasard
Tu peux il n'est pas trop tard
Guérir de ce mal de vivre
De la vie tu ne peux en être ivre
Aller au-delà de tes angoisses et de tes frayeurs
Une richesse qui vaut bien plus que de l'or
L'âme en peine
Souviens-toi que je t'aime
Serre toi de toutes tes larmes
Comme des armes
Ne leur laisse pas le temps de prendre de l'avance
A toi de vaincre, crois en ta chance
Soule toi au bonheur
Surtout n'en ai pas peur
Trace ton chemin
Il te mènera vers de meilleurs lendemains
Laisse les médicaments
Au lieu de cela prends du bon temps
Cette guerre tu va la gagner
Contre elle tu vas lutter
Victoire et réussite
Vont arriver vite
A toi d'y voire
D'emprunter le bon couloir
A l'intérieur de toi tous tes poisons
N'empêcherons pas ta guérison
Fais moi confiance
Crois en ta chance
Sur toi veille un ange
Rien ne fera que ça change
A la vie !!!
Tu dois en avoir envie
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Poème de
Katherine
Je suis là, couchée sur le lit à
côté de toi.
tu as l'air paisible étendu là.
Je prend le risque de me confier à toi.
Mes peurs et mes angoisses tu ne les écoutes pas.
tu ne m'entends pas, tu me prends pas comme je suis.
tu vois mes peurs et mes angoisses vis-à-vis toi comme de la
provocation.
Je suis là, assise à côté de toi.
J'aimerais tellement être une autre à une autre place.
mes peurs et mes angoisses grandissent, j'ai besoin d'avoir confiance en
toi, malgré tes mauvais coups que tu essaies de me cacher, je veux te
comprendre et non te rabaisser. Je te demande la même chose, de
comprendre ma peur.
Je suis là, gisant par terre près de toi.
Tu t'en veux, tu veux revenir en arrière... tu as réalisé que tu étais
allé trop loin qu'enfin de compte tu t'avais emporté par la colère. Mais
il est trop tard car je suis là, morte, près de toi.
minoukatoo@hotmail.com
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Poème de Dark
Angel
Avez-vous vu?
La petite fille qui marche dans la rue
Regarder-la passer
Elle va bientôt nous quitter
Malheureusement vous ne voyez pas
Les marques le long de ses bras
Les grandes ailes dans son dos
Qui veulent l'emmener si loin là-haut
Ecoutez un instant
La prière qu'elle vous adresse silencieusement
Son message muet
Et ultime souhait
Aidez-la avant qu'elle ne fasse le mauvais geste
Que la lame ne s'approche de son poignet
Puis qu'elle le regrette
Juste après qu'elle l'ai fait
Il est trop tard
Tout doucement tombe le noir
Les larmes coulent de ses joues
Mais pour finir où?
Maintenant qu'elle est morte
Lui tournerez vous le dos pour prendre la porte
Si c'est le cas, alors votre souffrance
Sera sa délivrance
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Poème de Angelmimi99
Mutilée
Le sang s'écoule de mes veines,
Lorsque j'ai de la peine.
Ce mal être psychique,
Devient alors physique.
Je peux sentir et pleurer,
Cette douleur qui me fait si peur.
Les marques sur ma peau,
Peuvent me trahir et faire hurler,
Les gens ou même mes parents.
Ils ne comprendraient pas,
L'utilité, le mal dissimulé,
Au fond de mes pensées,
Ils ne les verraient pas.
Les larmes s'écoulent de mes yeux,
Et de mon bras, tremblant... du sang,
Mon âme est remplie de voeux,
Mes meurtrie par ces blessures,
Ces déchirures,qui ralentissent,
Et qui, à chacun de leurs pas,
Ecorchent plus que déjà,
Je vis pour mourir,
Je meurs pour ressentir
Ma peine à travers mes veines,
Je suis blessée, automutilée.
missmarine.t@hotmail.fr
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Poème de
Lilia
La guerre
Avec elle une arme de guerre il
ferait
Mais moi je serais changer les choses pour le bien
Je serais l'ange gardien,
de tout les gens qui meurt de faim,
Ceux qui perdent de jour en jours,
des gens si présent, si important.
Pour éclairer la nuit des enfants qui pleurent leur père,
Je serais une étoile qui brille au quatre coins de la terre
Comme abri je déposerais des pétales de roses,
Qui serviront de drap de tendresse
Et enveloppera les gens en détresse.
Ceux qui semblent si loin, ceux dont les larmes me ronge
Ceux dont chaque jour, la peine se prolonge
Enfin, J'écrirais un livre sur l'histoire de ses mots,
Pour que ce récit, a jamais soit écrit
Mais malheureusement, pour le moment,
L'histoire de cette vie si paisible, reste illisible,
Mais si par chance, Vous réussissez à la déchiffrer,
Lisez la tout haut,
Chantez la,
Crier la,
Et enfin peu être j'aurait changer quelque chose
lil_crazy99@hotmail.com
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Poème de
Angelmimi99
Je vois... la
guerre...
Je te lègue mon coeur mais je ne
veux pas que tu pleures
Quand je serais partie, loin d'ici, au paradis.
J'espère ne jamais rencontrer Lucifer, le maître de l'enfer.
Je cris la pluie et Satan rie
Mais maintenant, la lumière vit, soudain je souris.
Mon coeur aperçoit une lueur qui me fait assez peur.
C'est juste de la chaleur, je suis noble de coeur.
Je vois sur ta joue, une marque de larmes
Mais pourquoi sur cette lame, je vois que tu es doux?
La guerre est à nos trousses et tu es mort de frousse.
Je vois dans tes yeux, que tous les amoureux,
Te paraissent innocents et qu'ils te blessent comme le temps.
Tu rêves d'amour, de chansons d'Aznavour.
Dan ses veines, tu n'as aucune haine.
Pourquoi pleurer, se lamenter?!
Dans ton sommeil tu te réveilles,
Et tu penses à tous ces gens, ces changements...
Soit plus violent, plus vigilent,
Et défends-toi, fais-le pour moi.
missmarine.t@hotmail.fr
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Poème de
Angelmimi99
Un venin
Mes larmes sont des armes
Un rempart dans le noir
Une faiblesse quand vient la tristesse
Le coeur sans âme soeur
Une émotion ,une nouvelle invention
Une douleur qui peut prendre tant d'ampleur
Une femme n'a qu'une seule âme
Les nuages ne sont pas si sages
Un baiser, qui en peut être qu'amitié
le feu, c'est qu'entre deux
Du sang lié aux sentiments
Demain, se remettre sur le bon chemin
Quand je me retrouve dans la pénombre
Je ne fais en réalité aucune différence
Un goût de la vie assez rance
Vivre en un "sombre"
Une conquête que je prête
Un homme qui me résonne
Une énorme erreur c'est la peur
Pour une blessure, il faut une armure.
missmarine.t@hotmail.fr
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Poème de Une
fille désespérée
Voleur d'enfance
Une larme s`est versée
J`arrive plus à oublier
Le cauchemar éveillée
Dans lequel tu m`as plongé
Seule dans le désespoir
Sans personne pour me croire
Sans personne pour m`écouter
Mon enfance, tu m`as volée
Tu as profité du moment
Où naïvement
J`ai crue te faire confiance
Mais tu m`as plongée dans un pur silence
Tu étais si attentionné
Pourtant je n`ai rien vu arrivée
Toutes les preuve étaient là
Mais moi je ne les voyais pas
J`avais confiance en toi
Mais toi tu te foutais de moi
Alcoolique, violent et drogué
Voilà ce qui est resté gravé
Un matin, je me suis réveillée
Je t`ai trouvée à mes côtés
Tu étais tout près de moi
Mais je ne comprenais pas ce que tu faisais là?
Tu n`est qu`un simple souvenir du passé
Qui essai d`être effacé
Mais il restera dévasté
Par la douleur que tu m`as livré
Jamais cette sensation ne guérira
Car tu resteras au plus profond de moi!
Danyka Gagné, 14 ans
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Poème de
Christine
Poison
Cher amour et cher ange
Tu causes ma perdition
Je me noie dans tes langes
Encore une injection
Pourquoi me plaire autant ?
Attiré par les maux
En mon cour palpitant
Tu passes jusqu'au cerveau
En moi tu deviens roi
D'un royaume implorant
Ton trouble et ton effroi
Je deviens ton mendiant
Depuis bien trop longtemps
Mon corps est décharné
On me prive de tes dents
Je veux crever damné
Je t'en prie viens en moi
Prostituée et crevure
Entre en mon sein : j'ai froid
Je me fous de la censure
J'ai atteins tous les fonds
J'ai coupé toutes les routes
J'ai bu tous les flacons
Seul, pendu à ma poutre.
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Poème de
Sabatiny
Tant de rêves
(poème autobiographique)
Les années se transforment en
jours
Mais les jours restent sombres,
Rêvant d'une vie comme les autres
Un peu d'amour.
Ma vie si compliquées,
Des rêves inachevées
Des rêves jamais réalisés
Et pourtant tant espérés.
Ma vie me pousse à écrire,
Jamais eu l'octroi de sortir
Enfermée dans ma maison
Comme si j'étais dans une prison.
Certains actes sont irréparables,
Les jours sont semblables,
Personne ne m'entends,
Personne ne me comprends.
Des souvenirs qui inondent mes pensées,
M'empêchant d'avancer,
Marre de souffrir,
Envie de mourir.
Tant de larmes,
Les larmes qui coulent sur mon visage,
Mon coeur qui fait naufrage,
Je n'ai aucune force de retenir mes larmes.
Je suis assise ici,
triste et solitaire
Plus envie de me taire
Je ne veux plus de cette vie.
Au fond de mon regard,
On peut lire la douleur,
Je souffre de mon malheur,
Ma vie est comme de l'art.
Je suis perdue,
Ma misère me tue,
Je pleure de mon sort,
Tout ce qui me vient à l'esprit est la mort
Du mal à retrouver le sourire
Plus envie d'écrire
Tout est fini
Marre de vivre ici
J'ai longtemps rêvé de ce jour où il y aura une fin,
Où je tendrai ma main,
Je veux vous faire souffrir
Autant que j'ai pu souffrir.
Everybody really hurt me
I Don't trust to the true life
In a paper, i'm writing » help me «
It's the last message of my life ...
A force de m'ennuyer,
Personne ne pourra me réveiller,
Il y a aucune porte
Je suis morte.
****************
Tout est flou
(poème autobiographique)
A force de me punir,
J'ai décidé de faire ce qui me fait plaisir,
Tout ce qui me passent par la tête.
Où fuir? Que faire ?
Encore! Toujours les mêmes problèmes
Encore! Soumise à la peur
Vivre est ma peur,
La vie m'aime?
Tout me semblent pas très claire.
J'ai au fond de moi une blessure,
A l'intérieur, tout est obscure.
Peu de mot pour exprimer cette peine
Je ne sais où elle m'emmène.
Trop de soirée à tourner en rond,
Trop de rêves, trop d'imagination,
Perdue dans mes pensées,
Trop de mal à tout accepter.
Je n'arrive pas accepter le monde tel qui l'est,
Un brouillard assombrit mes pensées,
Tout me paraît sombre,
A présent, je ne vois plus que mon ombre.
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Poème de Nath
Fin de printemps
77
Les souvenirs de mon difficile
réveil
Restent sur les manoeuvres par la dame en blanc,
Des tuyaux suspendus à mon lit de torture
Pour les glisser dans mes narines révoltées.
Après, sur la soif. Là, les lèvres craquelées rayent
La langue sèche ; Humectées d'un coton blanc,
Les crevasses imposent la douce brûlure.
Deuxième supplice, à ma mémoire, gravé :
L'enlèvement des fils à la chair refermée.
Les Vadrouilleurs de la boursouflure vermeille,
Ces cinq bourreaux, à mes mains et pieds, crochés,
Sont, à la besogne, attelés. Tourment, sommeille !
Ces noirs rappels se dessinent en une esquisse
Face à la glace reflétant la cicatrice.
cousinnathalie@msn.com
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Poème de Valérie
Bergmann
Absolitude
Dans un silence hurlant
De solitude
L'Absurdité des habitudes
Prend les devants
Nous laissant pour joyau
Le rythme lancinant des mots
Plus de peur que de rêves
Plus d'erreurs que de trêve
Pour un silence de trop
La force de nos défauts
S'immisce et condamne
La vacuité de nos sens
Indigènes de l'absolu néant
Évictions de terres inconnues
Attention enfer reconnu
Plus de mal que de reflux
A marée haute
Les sables mouvants
Du divin hasard
Vont et emportent
Ton cour mourrant
De lassitude dévorée
Comme l'ab solitude
N'exister que dans la vérité
De la naissante absurdité.
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Poème de
Ombrenoire
Toi la douleur
Douleur, ce nom, cette ennemie
qui a si souvent partagée ma vie,
Qui a pris possession de mon corps et de ma mélancolie,
qui durant des heures entières à alimenté ma douce folie,
Et qui de lueurs morbides est venu hantées mes nuits.
Tes appels sans cesse interrompaient mes rire,
Et, dés que ton nom s'effaçait dans un sourire,
Ta sève revenait inlassablement parcourir et pourrir
Mon être fragile, lui faisant émettre un énième soupir.
Combien de fois en silence j'ai espérer.
Demandant ton départ, rêvant de t'effacer
De mes songes et d'enfin échapper à tes lois,
Si contraignantes, dérisoires et si noires.
Mais je ne sens plus rien, voila que tu t'en va .
Douleur tu étais devenu mon amie, comment vivre sans toi ?
Mon âme était trop faible, mon cour était à toi,
tu m'as quitté et je n'ai plus personne pour guider mes pas .
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