Poèmes sur la vie, page 4

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Poème de Goldgus

Loin de ma prison

A tes côtés ou à Nuremberg dans un camp,
Assis sur une marche, demain dans un rang,
Des gens tombent, d'autres marchent au pas,
Des gens succombent, d'autres n'entendent pas.

Je t'écris le début, je ne connais pas la fin,
Les lignes de ma main sont entre leurs mains.
Plus d'honneur ni d'uniforme pour me consacrer,
Demain, peut être,  me serais je incliné ?

Comment va mon petit gars ? Petit intrépide,
Dis lui que  je lui ramène une cartouche vide,
Dis lui que je l'aime, que son père est digne,
Que l'histoire entraîne les hommes à la guigne. 

L'absence forge les doutes de nos silences passés,
L'absence clef de voûte, de mes pensées brassées,
Et,  je pense à toi, à chaque pas à chaque larme,
Si souvent je les goûte, pour que coule mon arme.

Méfie toi de nos amis, de ceux qui changent,
Ceux qui s'habillent en noir tous les dimanches,
Leurs prières vont envers et contre mon nom,
Leurs lettres arrivent toujours à destination.

A mon retour, je m'imagine, sentir ta présence,
Tu viendras me parler de banales confidences,
Loin de ces écrits, nos mots s'entremêleront,
Loin de ce sursis, nos vies se confondront.

A tes côtés ou à Nuremberg dans un camps,
Sur la même marche, je pense à toi souvent,
Assis sur ma survie, je pense à notre maison,
Prostré face à ma vie, je maudis ma  prison.

nantelgurvan@wanadoo.fr
 

 

 

Poème de Yoyo

Un monde meilleur

je regarde le ciel et je pense
je m'évade et m'envole dans le plus grand silence
voir un monde meilleur sans guerre,sans peur
le rêve fait imaginer que le bonheur

sans challenge,ni concurrence,ni vainqueur,ni vaincu
voir tout le monde ce sourire,et aucun être déçu
regarder les enfants,courir,sauter,s'amuser
sans que la maladie viennent les faucher

l'amour de deux personnes sans quelle soient jugées
ni se mentir,ni faire infidélité
aimer toujours aimer quoi de plus beau
sans le dire on peu le montrer,quel joli cadeau

une société sans corruption,sans prison
il n'y a que l'amour et l'amitié pour nous donner la raison
que tous ensemble nous nous tenions la main
et la nous produirons toute l'énergie dont nous avons besoin

un nuage vient troubler ma pensée
ce ciel ci bleu vient de ce voilé
le retour à la réalité quel dommage
tout ceci n'était qu'un rêve,une pensée,un mirage.....

lionel.bouveret@wanadoo.fr

 

 

Poème de Sphiela

Poussière de la Terre

Cela apporte tant
d'être dit survivant
cela se fait comprendre
au milieu de ses cendres.
Non je ne parle pas de la mort humaine
mais de celle qui coule dans mes veines.
ce que je suis se fait définir par la haine
c'est ainsi qu'il va falloir que je comprenne
c'est moi qui détruit ma vie, mes envies
prendre conscience sa fait de la peine.
J'ai détruit tout ce que j'ai aimé,
tout ce que j'aurai du aimé.
ma vie n'ai qu'un chemin innocent
dans un paysage de regrets.
elle est devenue ce que j'en ai fait
même si ce n'ai pas ce que j'ai souhaité
Un jour au milieu de cette sphere
nommé planète Terre
une petite graine disparaîtra
sans laisser trace de son éclat
un grain de sable glissera de sa dune
n'ayant fait aucune fortune

**********************

Le destin

Le destin, je ne sais pas si il faut y croire
Du moins je ne sais pas si il va le valoir
Valoir au moins le mérite de mon seul pouvoir
Celui qui me fera gagner la gloire
Qu'elle soit lumineuse ou dans le noir
Que je ressente espoir ou désespoir
Cela n'a pas autant d'importance
Que ce que va m'apporter la chance
Ce je ne sais encore quoi
Tant qu'elle est le fruit de ma vie
Celui qui m'aide à la survie
Celui auquel je doit y croire
Même dans les moments de désarrois
Il va bien le falloir
Mais pour sa j'ai besoin de toi

sarahrubinocci@hotmail.fr

 

 

Poème de Deby

Soleil

Où te caches-tu depuis si longtemps ?
Sous ton ombrelle vêtue de blanc,
Quand vient surgir le printemps,
Le vent s'en va à pas furtif,
Et le soleil tout craintif,
Nous fait revivre ses moments,
De ses rayons de mille feux.

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Douce pensée

Il est des instants dans une vie
Où la philosophie devient conflictuelle
Et nous soumet au jugement perpétuel
De la consécration infinie
A l'abnégation partielle
Rien n'est tout  rose rien n'est tout gris
Les intimes convictions de l'infime variation
Oscillent entre le tout et le néant
Qui engendrent la mort et amplifient l'exaltation
Des excès en tout genre décuplant l'instabilité
Entre le yin et le yang
Et dans cette immense folie
S'exhibent d'intenses rêveries
Que nous portons dans notre moi interdit

Là réside l'incommunicabilité avec autrui
Le bien et le mal se livrent à la prosodie
De la lucidité, essence même de l'inspiration
Le bonheur est au bout de l'éternité par opposition
La mort devient donc une douce pensée.
 

 

 

Poème de Malo

L'éveil à la vie

Regarde la beauté du matin qui se lève sur la vie
Admire la fleur qui fleurit à la vie
Apprend à donner l'amour que tu veux que l'on te donne autour de ta vie
Ecoute le chant mélodieux des oiseaux dans le matin bleu c'est la vie
Prend le temps de vivre le moment présent comme un don que l'on te donne autour de ta vie
Ainsi tu apprécieras la vraie nature de la vie qui s'offre à toi à l'infini
Et tu lui diras merci chaque jour de ta vie  

 

 

Poème de Opale

Dans le vide

Dans le vide je me sens poussée
Poussée par tout mes péchés
Je tombe dans le ciel ombragé
Emportée par le vent enragé
Sauve-moi de ton regard
Rattrape-moi dans tes bras
Remonte-moi ou attends-moi en bas
Eclaire ce ciel noir de ton sourire
Même le soleil m'a abandonnée
Je suis privée de lien
Rattache-moi à toi
Rassemble les nuages pour n'en faire qu'une épaisse couche
Pour pouvoir amortir ma chute
Prête-moi tes ailes pour m'envoler
Réduis ma peine pour m'alléger
Mon ange, retiens-moi de sombrer
Entoure mon corps de tes plumes dorées
Délivre mon âme apeuré
Calme mon coeur emballé
Par le tien si apaisé
Emmène-moi avec toi
Loin, là-bas.

la-line18@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Galatée

Le passé

Quand je me sens seule
Les souvenirs viennent à moi
M'entourent et m'en veulent
De vouloir oublier la douleur et les émois
Qui ont bâti mes jours, mes mois et mes années
Alors consciente de ce brusque écart de temps
Je me serre entre mes bras entrelacés
Je frissonne de ces tourments
Je pleure de ces larmes versées
Et au-delà des vagues du passé
La tristesse, les joies, les sanglots enterrés
Viennent agresser cette vie malheureuse
Qui a vogué si longtemps sur les eaux marécageuses
Des anges aux visages joufflus regardent de là haut
Mon visage contracté par les ravages de l'hier
Cette pâleur, cette peur ne peuvent nier
La douleur, le désespoir de cette âme si jeune
Mais soudain le minois s'éclaire
D'une sérénité soudaine
Et son expression devient comme une eau claire
Comme si la vie l'avait souffleté
Je pris conscience de ce qui m'entourait
J'ouvris les yeux et je souris
A une vieille femme stupéfaite et l'air confit
De voir une jeune fille au cour si meurtri
Ainsi va la vie
Faite de douleurs mais aussi de merveilles
Telle un bouquet infini
De sentiments dont une abeille
Butine le cour et ne laisse
Dans la bouche qu'un goût amer
Celui d'un fruit mûr dont le jus s'abaisse
Pour ne devenir que fadeur et amertume
Qui ne résume qu'une chose et seulement une
Le parfum de la vie
Car oui !
Malgré toutes nos belles paroles
L'on ne vit que dans le passé
Pour le passé
Comme par lui et pour longtemps l'on est jugé
Alors je vis, nous vivons, tous
Afin de nous construire
Un autrefois différent
Et de cette manière détruire
Celui qui est l'objet de nos tourments
Jusqu'à ce que sérénité règne
Et le cour ne saigne
Comme à ce bref instant
Où je pris conscience de mes blessures
Je sus avec certitude
Que c'était le début d'une longue fin d'une vie de servitude
Dédiée aux douleurs du passé confondu avec l'avenir
Un avenir qui me fera souffrir, haïr
Et marquera sur mon vieux mais pourtant si jeune visage
Des rides douloureuses nullement dues à l'âge

hind_galatee@hotmail.com
 

 

 

Poème de Rachel

Le Piton de la Fournaise, un trésor de volcan

Quand tu te réveilles soudainement en pleine après-midi,
Pour nous offrir une soirée incroyablement animée,
Même sous une pluie battante, tes admirateurs sont à tes côtés,
Pour profiter de ta beauté et ils sont pleinement épanouis.

Sans retenue, tu déverses des torrents de lave pour le plaisir de nos yeux éblouis.
Ta rivière de feux n'en finit plus de briller et se reflète dans le ciel rouge, orangé.
Une flamme jaillit de tes entrailles à la surprise des invités,
Tel un feu d'artifice où lumière et chaleur ravivent les coeurs endormis.

Du haut de ta montagne, tu règnes en maître absolu, tout le monde est à tes pieds,
Tu décides de nous barrer le passage pour nous retenir jusqu'au bout de la nuit.
Ta force et tes éclats nous fascinent et c'est inouï,
Ton spectacle nocturne nous a fait frissonné au rythme des coulées dorées.

Lorsque les interdits seront levés,
Nous irons à ta rencontre par l'autre côté,
Afin de contempler ton cratère béant et vidé,
Et se remémorer les instants passés et observer le paysage modifié.

Feu le Dolomieu, l'île s'est agrandie.
 

 

 

Poème de Angelmimi99

Le SIDA

Une création qui est devenue relation,
Avancer d'un pas,aller vers le SIDA
En tirer une conclusion,
N'avoir plus aucune pulsion,
Un amour si triste,
Un avenir qui glisse,
La mort aujourd'hui
Ou la mort demain?
Ne jamais reprendre le train,
Ne jamais se redire "oui",
Où est ce devenir,
Que l'on s'était imaginé?
Comment peut-on se mentir
Quand on connaît la vérité?
Ni les souvenirs, ni les sourires,
Ne pourront te guérir,
Tu ne pourras... que mourir
Car... tu es condamné à perpétuité.

missmarine.t@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Leila

Nos couleurs

Ta peau est noire,
Je le vois bien,
Elle est comme le soir,
Qui précède au matin.

La tienne est blanche,
Comme l'aube au réveil,
Qui donne une petite chance,
De découvrir le soleil.

La mienne dorée,
Comme le début du jour,
Quand le soleil est monté,
Haut dans le ciel de toujours

Ta peau est jaune comme le soleil,
Celui qui à tout moments éclaire nos vies,
Qui nous offre ses merveilles,
Et attend patiemment que vienne la nuit...

La nuit passe au matin,
Comme le début à la fin,
L'un sans l'autre, ne tient,
Car sans les autres, on ne serait rien!
 

leila_lune@hotmail.com
 

 

 

Poème de Flamêche

Tant de beautés,
tant de merveilles,
tant de sérénité,
et tant d'étincelles,
qui brillent comme des étoiles dans le ciel,
ainsi les rayons du soleil,
on l'odeur du miel des abeilles,
et par ces chaudes caresses,
je sens monter une grande ivresse,
mon coeur à envie de rigoler,
et tout autour de moi tout semble briller,
mon corps se met à vibrer,
et une musique commence à m'emporter,
est ce que les autres ont compris?
ce que la vie m'a appris?
c'est qu'il y a des joies,
et de grands malheurs parfois,
pourquoi doit on forcément savoir quoi faire,
lorsque tout autour c'est l'enfer?
je ne crois pas qu'il faille tout anticipé,
car nous ne ferions plus partis de l'humanité,
pourquoi faut il savoir réagir,
lorsqu'une douleur se met à surgir?
nous ne sommes que des humains,
nous ne connaissons pas notre destin,
nous faisons tous des imbécillités,
mais elles n'étaient pas forcément préméditées,
il faut vivre au jour le jour,
car sans arrêt peut surgir l'amour.
 

mariethereselenoble@hotmail.fr

 

 

Poème de Vincent Moreau

mes envies
mes joies
mes peines
mes rêves
mon avenir
mon passé
mon savoir
mon ignorance
mon dieu
ma haine
ma tristesse
ma colère

Dans mon monde, il n'y a plus que moi
Je ferme les portes et les scelle à tout jamais
Je suis enfin redevenu moi même
 

mo.alain@wanadoo.fr

 

 

Poème de Paillounette

Avortement

Le ventre comme un ballon,
Sentiment d';impuissance,
Je ne suis plus que larmes,
Pourquoi moi? A quinze ans...

Mon ventre comme un ballon,
Plus personne autour de moi,
Délaissée par ma famille,
A qui le dire? Et comment...

Je l'ai dit...
Le ventre est partis,
Le bébé aussi...
 

 

 

Poème de Camille

Une merveille du monde

La campagne, source de lumière et de bonheur
Avec ses plaines verdoyantes et ses belles fleurs
Chaque endroit et pré de ce magnifique paradis
Des cris de joie résonnent et attirent les souris

La nuit, on rêve devant un bon feu de cheminée
Le bruit des criquets endort la belle campagne
Ensuite, on se plonge dans la douceur des draps
En se demandant à quoi on peut jouer dans le futur

Les balançoires grincent, les ballons rebondissent
La campagne s'éveille après une profonde torpeur
Autour d'un repas de roi, les enfants se nourrissent
Les chiens aboient et courent après le facteur

Des balades à bicyclette ou sur le bord de la rivière
On a l'agréable impression de flotter sur un nuage
Puis, revenant sur terre, on coure et danse encor
Quel plaisir que cette campagne chaleureuse !
 

frederique.lazare@orange.fr

 

 

Poème de Juliette Cardinal

Dans tes bras alourdis,
Dans la mort il se languit
Au cour de la Terre,
Qui de tout homme est la mère ;


Ton âme immortelle ;
Ton corps sensuel.
Amours infidèles !
souvenirs sensoriels !


L'amour qu'il te donnait
Celui que tu lui portais
Par sa mort s'achève
Son plus beau rêve
 

 

 

Poème de Valérie Bergmann

Mise au point de suspenson

D'avoir entrouvert  trop de livres
D'entrevoir comme essaim  une épitaphe en gros titre
J'ai excavé le verbe « aimer »
Le vrai, pas le figuré
Car si d'enfants je n'eus pas en ce bas  monde
 Grâce à une divergente  nature féconde
Le déploiement des mots se fit combat
Et ma plume en état d'alerte
Ne cherchât au fond qu'à être.
Seuls les écrits séculaires
Exhibent ma vie sur l'estuaire
Où subsiste l'essence de mes insomnies
Ils n'y a de place que pour mes écrits
Humblement je calmai mes tourments
Et me voilà au clair du firmament :
La lune si lumineuse  m'a ouvert ses quartiers d'été
Et en papillon je fus changé
J'ai volé ces quelques notes avant que le temps ne les emporte

Puis  faite éphémère
J'ai butiné le long des courants littéraires
Et des figures de style  linéaires.
Mes allégories sont faites  pour vous plaire.

 

 

Poème de Karola

La main

J'aperçois au loin un nuage de désespoir.
Inconnu dans une immensité blanche.
En cette solitude froide de vie silencieuse.
Une ronde de toutes races toutes les couleurs.
La paix, c'est deux hommes qui se serrent la main.
        Si la vie a des ailes alors l'amour est l'ange qui les portent.
La force de tendre la main.

carolem.vachon@videotron.ca
 

 

 

Poème de Do

Rêveur du temps

C`est un rêveur du printemps
Il s`éveil,nouveau venu
C`est le soleil d`un autre temps
Il voit le monde d`une autre vue
Il dépeint les obstacles de la peur
Car des deux mondes naîtra l`union
Son manque n`est pas de l`extérieur
Sache qu`il n`est pas une exception

L`univers suit une loi
Un ordre dans le temps
vit dans le soleil
la lumière qu`il y a en toi

Seul les êtres changent l`avenir
Car le temps,lui,reste le même
Et que chaque jour pour y devenir
le meilleur de soi-même

Née de la métropole de l`au-delà
Il voit le ciel par dessus temps
De sang bleu comme ceux d`en bas
C`est un rêveur du printemps
Son génie s`inspire du vide
De l`espérance d`un enfant
Son âme, cadence limpide
C`est un nouveau rêveur du temps
 

donkeybabyblue@hotmail.com

 

 

Poème de Karola

Le soleil

c'est le soleil qui nous offre ses aspects les plus purs et les plus intenses avec l'harmonie nous devenons  plus vivant et plus expressif !


Et peu à peu l'estime et l'amour des autres, car la vie est la seule chose que les humains recherchent car nous avons peur de mourir !


Et c'est une vérité terrible nous ne voulons pas quitté ceux qu'on n'aime et ceux qui nous aime mais on meurent tous un jour !


Et cela est la seule justice dans ce monde mais l'inconnu fait peur pourtant nous partons vers un lieu majestueux et d'amour.
 

carolem.vachon@videotron.ca

 

 

Poème de Theolaura

O bleus, las des amours aquarelles
Des nuits, ciel! blanches à mourir à deux
Eaux bleues, miroir des rouges querelles
Qui glacent les rides des lacs hideux.

O rouges, las des ires mortelles
Aux horizons d'eaux les fauves soleils
Des canons les feux sourds qui martèlent
Les terres creusées de sillons vermeils

O verts, las des saisons ces cruelles
Ivre naufragé d'un bateau, il dort
Dans un trou de verdure éternelle
Où se versent en pluie des rayons d'or.

O jaunes, las des puantes couleurs
Quand se jettent aux abîmes des gouffres
Des esclaves aux pieds nus dans le souffre
Des corps courbent sur des terres en douleurs.

theolauracard@orange.fr

 

 

Poème de Leila

J'écris pour me vider
Car j'ai une grande peine
Que je n'arrive pas à consoler
J'ai une haine qui me blesse
Tant de rancoeur
En même temps une grosse chaleur
Que c'est avec ardeur
Que j'écris ces quelques lignes
Qui pour moi sont dignes
Cette vie vaut une fortune
Mais une chose est sûre
C'est qu'au fur et à mesure
Nôtre âme ne fera qu'une.

leilazz95@hotmail.fr
 

 

Poème de Fanchon

Fruit d'une union
Qui fut une passion
Vous quatre furent mes cadeaux
Je l'avoue m'êtes beaux.
Mon premier, tu m'es un fils,
D'un doux prénom je choisis
Ah! mon Marvin, mon fils.
C'est un amour qui jaillis.
Un jour bébé, un jour un homme.
Deuxième cadeau de la vie
Elle a le caractère du midi
Elle m'est précieuse comme son prénom
Car Jade tu te prénomme.
Lumière dans la nuit
Ta beauté rejaillie.
Et puis c'est un amour de garçon
Qui arrive en troisième
Être sensible et naturel
Je t'ai prénommé Dylan
Comme ce chanteur Bob l'éternel !
Mon cour fond pour ses yeux
Sourires ravageurs qu'ont les filles
D'une beauté accordée par les cieux
Attention au futur joyeux drilles
D'un prénom oriental
Laisse deviner la chaleur de ton cour
Ma Shanna tu es du pur bonheur !!!
Vous êtes mes quatre réussites
Amour parental se quitte
Mais,  fruits de mon ventre
Je vous aime
Enfants de ma chair vous êtes mes emblèmes
 

cortianas@yahoo.fr

 

 

Poème de Étoile

L'oiseau s'est posé sur ma main
et m'a regardé en silence
son chant mélodieux et intense
a traversé mes lendemains

il chantait l'amour du prochain
il m'apportait ses espérances
et en l'écoutant, j'espérais
qu'il chantait vrai

l'oiseau s'est sur mon coeur
et a posé sa tête rouge
près de mon coeur qui bouge
et à chantonner en douceur

Il célébrait l'amour de l'homme
il m'offrait le pardon
et en le regardant ce fut comme
un monde de révélation.

L'oiseau s'est posé sur ma vie
et revient quant désenchanté
je veux rejoindre le monde de l'oubli
comme moi ! écoute l'oiseau chanté
 

 

 

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