Poèmes sur la conscience et être

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Nos derniers poèmes

 

Poème de Annita

J'ai envie de rêver

J'ai envie de rêver
A l'amitié sans borne
Face à celle tronquée
Par les scies d'intérêts
Et les coins ténébreux
De ces coeurs théâtreux

Caméléons perfides,vêtus de faux semblants
Ils déambulent en haut de l'échelle pourtant
Et démolissent sournoisement "les petites gens"
Les sommant de se taire sur leur manigance

J'ai envie de rêver
A tant soit peu de justice
Face à celle masquée
Par maints artifices
De noblesse de cour
Empêtrés dans les plis
De mensongers discours

Bûcherons saccageurs dans la forêt des mots
Ils élaguent sans souci de la sève montante
Les richesses intérieures d'une vie hurlante
A  la reconnaissance de ce qui fait son moi

J'ai envie de rêver
Simplement à la vie
La vie de tous les jours
Sans entrave et sans heurt
Et non à la survie
Que nous fabrique
Cette horrible machine
De l'espèce dite "humaine"

 

 

Poème de Le loup solitaire

États d'être

Un monde:
Dans un monde je vois tout le monde
Qui s'écroule  qui s'inonde
Je me vois moi-même
Entrain de s'accroché dans un travail et passé a un autre
Pour garder l'image mais je me trouve toujours en chômage
Je vois les amis qui veulent mon conseil
L'un me confie un secret l'autre veut des solution pour ces problème
Et moi on souriant un sourire avec des larmes prisonnières de mes yeux
Je vois le temps qui passe mes jours qui se casse
Je monte dans la montagne de mes rêves
Pour s'éloigner de ce monde qui s'écroule
Je me protége avec les souvenir de mon enfance
Je vois les gens qui ont existé qui sont devenu juste un mensonge
Je me souviens de leur sourire de leur geste de leur situation qui change
De leur soutien de leur amour qui dans le passé plonge
Puis le bouclier de mes rêves se casse 
Et moi toujours à la même place
Dans un monde ou je vois tout le monde
Qui s'écroule qui s'inonde.

aliali_104@hotmail.com
 

 

 

Poème de Magdalena

Merci

Je ne cesserai jamais de dire merci
Toi qui représente presque tout pour moi
Tu remplaces ma famille
Tu as tout fait pour me rendre heureuse
Ton coeur est pur
Tu ne m'as jamais refusée
La vie n'est pas aussi facile
Car les vraies amies comme toi sont rares
Même si un jour tu n'es pas là pour me donner tout
Mais moi je ferai le mieux pour te remplacer
Car ta famille a fait grande chose pour moi
Je ne vous oublierai jamais
Si tout le monde pouvait avoir une amie comme ils feront moins de bêtises car les mauvaises influences leur jettent à la poubelle.
Merci pour tout Sister
Tu resteras toujours dans mon coeur.
Merci
Je n'ai personne dans ma famille qui a pu faire autant pour moi
Mais toi et ta famille vous avez fait de moi votre soeur et votre enfant
Merci pour tout.
 

 

 

Poème de Nafsie

Je porte-voix

'écris au nom de tous ceux qui n'ont plus de voix
j'ai pris acte de tout ce qui a entaché leurs voies
j'exprime la souffrance ressentie par nos trois
je déprime car chassé par mes proies

j'analyse les raisons du pourquoi
j'enlise mon âme et je le noie
je suis conscient que, ne peut pas me sauver, la croix
je fuis l'arbitraire et je tombe sur le toit

j'attire les maux qui annihilent le poids
j'aspire incarner le jour, la foi
je prétends connaître, peut être, l'émoi
je prends cause de mes corps qu'on broie

je dramatise, certes, mais il faut sauver elles et toi
je canalise ma douleur, mon envie de froid
je pense à la minute de l'octroi
je lance mes yeux dans le néant et je reçois

j'affirme que nombre de fois
j'affine mes habitudes devant le Courtois
j'ouvre ma droite j'accueille la joie
je couvre le Beau de baisers pour ses courroies

je remercie celui qui fait que tous les mois
je prie pour qu'on se voit lui et moi
 

 

 

Poème de Lulu

Non à l'oubli

L'herbe verte et jaunie
Image du présent
De grands bâtiments gris
Carcasse de ce temps.
Quelques vieux miradors,
Barbelés électriques,
Les restes d'un décor
D'une époque hitlérique
Ou des corps amaigris
Allaient comme des fantômes
Sous les coups des kapos,
Dans les cris, les injures
Sous les regards nazis,
Finir en fumée jaune,
De Auschwitz à Dachau
Traités en pourriture

Nuit et Brouillard
Un vrai cauchemar
J'ai froid dans l'dos,
Mal à mes os.
Envie de vomir, de crier
Ça me fait frémir et pleurer.

Mes mots ne s'ront pas assez durs
Pour dire ma haine à ces bourreaux
Pour condamner toutes les ordures
Qui osent tenir certains propos
Je ne peux que simplement dire,
Faites attention, ouvrez les yeux
Voyez comme l'homme peut se conduire
Comme il peut être monstrueux
Prenez garde à certains propos
Paroles au premier plan raciste
Tenus par d'anciens collabos
Servis sous le drapeau fasciste

flinoli@free.fr
 

 

 

Poème de Lulu

Témoin du temps

Le voile du printemps s'est posé,
Sur le procès de Klaus Barbie
C'est  un homme aux petits yeux gris,
Dans lesquels rien ne transparaît,
Ni les remords, ni les regrets
D'une violence du passé.

Des gens qui ont eu de la chance,
Dans leur malheur, viennent témoigner
Viennent narrer leur survivance
Malgré les coups, malgré le fouet
Viennent conter ce qu'ils ont vu
D'où d'autres ne sont pas revenus.

Ils restent droit dans leur souffrance,
Dans les restes de ce séjour
Remplit de haine et de démence
Et ils nous content leur parcours

Comment cet homme, bourreau nazi
Prenait plaisir à faire souffrir,
Jouissait en entendant le brut
De leur os, ça le faisait rire

Des hommes et des femmes,
Des vieillards, des enfants,
Combien ? Tous innocents
On périt dans les flammes
Ou dans les chambres à gaz
Installées dans les camps.

Pour tous les innocents
De ces déportations,
Les quelques survivants
De ces générations
A travers les années,
Malgré le temps qui passe
Il faudra raconter
L'histoire que l'on nous trace
Ne jamais oublier
L'histoire de ces départs
Dans des wagons plombés
Pour les Nuits et Brouillards.

flinoli@free.fr
 

 

 

Poème de Roni

Réflexion d'une demande à Dieu

J'avais demandé à Dieu la force pour atteindre le succès.
Il m'a rendu faible, afin que j'apprenne humblement à obéir.

Je lui avais alors demandé la santé pour faire de grandes choses.
Il m'a donne l'infirmité pour que je me satisfasse de mon bonheur sur cette Terre.

J'avais demandé le pouvoir pour être apprécié des femmes.
Il m'a donne la faiblesse, pour que j'éprouve le besoin de Dieu.

J'avais demandé une femme afin de ne pas vivre seul.
Il m'a donne un cour, pour que je puisse m'aimer d'abord.

J'avais demandé des choses qui puissent réjouir ma vie.
J'ai reçu la vie, afin que je puisse me réjouir de toutes les  bonnes choses.

Finalement, je n'ai rien reçu de ce que j'avais demandé.
Mais j'ai reçu tout ce que secrètement, j'avais espéré.
Presque en dépit de moi-même,
Mes prières informulées ont été exaucées.
 

 

 

Poème de Maé

Sauvez la terre

Dans cet univers où tout tourne à l'envers
Nos repères comme des fous sont déroutés
Désespoir, ils supplient, sauvez la terre
Ouvrez les yeux avant que meurt l'humanité

Vous croyez que le jeu en vaut la chandelle
Détrompez-vous, c'est un pacte de suicide
Des actions irréversibles et mortelles
Seulement pour calmer vos envies perfides

Désespoir, ils supplient, sauvez la terre
Sauvez la terre

*******

"Aimer"

On dit que le verbe aimer prend parfois un air d'imparfait
Surtout quand en nous,  le doute est installé
Que nous eussions aimé le défi est de le conjuguer
Jamais trop tard, faut juste essayer

On dit que le verbe aimer n'est pas simple ni singulier
Pourtant,  il peut être si facile à expliquer
Nous aimâmes. il est presqu'à votre portée
Pourquoi vous hésitez,  donnez-lui la clé

Entre vous et moi, il est impératif
Apprenons la vraie conjugaison
Aimons et  aimez. 
Aimez et aimons.

On dit que le verbe aimer au présent n'est qu'indicatif
Combien de fois l'avons-nous morcelé?
Nous aimons. c'est devenu une pure banalité
Beaucoup trop utilisé, il s'est abîmé

On dit que le verbe aimer est toujours conditionnel
Souvent chargé de promesses empoisonnées
Nous aimerions. et quel en sera le prix à payer
Pour que mon cour puisse le porter?

Entre vous et moi, il est impératif
Apprenons la vraie conjugaison du verbe aimer
Aimons et  aimez.
Entre vous et moi il est impératif d'aimer

 

 

 

Poème de Popo

Mon âme

le jour ,la nuit
mon intérieur me suis
l'ombre de mes joies
assombrie ma vie
seul dans mes pensées
je vais y arriver,me libérée
s'accrocher a la vie
voila c,est sa vivre
on a toujours le choix
s'arrêter, continuer
si le temps pourrait s'arrêter
au pouvoir de la pensée
alors juste la s'arrêteront mes pas
si mon âme me reviens
je retiendrai de mes erreurs
pour la suite de mon chemin
 

 

 

Poème de Impératrice

La peur

Quand la peur s'empare de tout mon être
Les veines se resserrent, l air ne passe plus.
Mon corps tout entier devient un carcan
Pour très longtemps
Alors l espace d'un instant tout devient noir
Tout n est que douleur, souffrances,
Je voudrai rester au calme et oublier,
Je  sais qu'il n'est pas bon de nier!
Mais la réalité est parfois si pénible
Quand elle devient nuisible.
Quand la peur s'installe subrepticement,
D'abord un long frisson, un tremblement
Le corps tout entier se consume,
La tête  s'emballe et fume.
Tout devient sombre et pale a la fois à
Je sais! Ce n'est pas toujours évident
Peur de la maladresse,
Peur de l'amour,
Peur de la vie,
Peur de la maladie,
Peur de la mort.
OUI c'est cela la peur.

tatajojo77@wanadoo.fr
 

 

 

Poème de Diane

Quelques mots à l'oreille

Si tu crois le sentir bouger
Au fond de ton ventre te chatouiller
Comme une vague dans l'océan
Tu l'sentiras malgré l'immensité


Si tu crois le sentir vivre
Même tout petit comme une bille
Tu compteras les jours et les mois
En te disant qu'il te semble si fragile, si fragile

Et quand tu le tiendras dans tes bras
Tu verras la magie
De la vie     

Si tu ressens qu'il est prêt
Prêt pour l'aventure, le grand voyage
Aucun orage grondant le ciel
Te privera de voir enfin son visage

Tu sais que rien ne se termine
Malgré le temps et les années
Parent pour l'éternité
Parent dans l'immensité, l'immensité

Et quand tu le tiendras dans tes bras
Tu verras la magie
De la vie     
 

 

 

Poème de Crokmignon

Prière de corbeau

Je crois au silence paisible
Aux éclats de joie partagée
Aux enfantins babillements
A la rage de se soulever
A l'incroyable bonté
A l'amour retrouvé.
Je crois au temps qui passe
Aux bons souvenirs que l'on ressasse
Au train qui emporte
Le chagrin très loin.
Je crois aux formes fantasques
Des nuages dans le ciel.
Je crois à l'instant présent.
Je crois aux idées,
Celles qui nous transforment
Nous élèvent et nous apprennent
A vivre ensemble.
Je ne crois pas ,
Aux mensonges des milliardaires.
Je crois au vent bienveillant
Qui emporte les oiseaux
Qui emporte les marins
Je crois aux rivages,
Aux merveilleuses rencontres.
Je crois aux belles histoires.
Je crois à la révolution,
Qui changera le monde.
Je crois au sourire sincère
Qui éclaire les visages.
Je crois à la force vibrante
D'une action collective.
Je crois à l'amour scintillant
Qui illumine les jours
Même les plus tristes.
Je ne crois pas à l'amour comptable.
Je ne crois pas au désespoir
qui dure toujours,
A dieu au singulier
Aux dieux au pluriel,
Aux singuliers prophètes
Du, j'ai toujours raison.
Je ne crois pas à la paix
Gagnée avec les armes
Je ne crois pas à ceux
Qui dans les magazines
pleurent la bouche pleine
Je crois en toi,
A l'humanité qui partage.
Je crois aux mots qui soignent
Aux caresses qui guérissent
Je crois que l'on peut
A chaque instant changer
Je crois à la dignité du peuple.
Je crois à la science
quand elle est humaine.
Je crois à un futur
Meilleur que le présent
Je crois à la fin,
Ma fin biologique
Je crois que ma fin
N'est pas la fin de tout
Je crois que finalement
N'existe pas vraiment.

crokmignon@caramail.com

 

 

Poème de Calife

Murmures orientaux

L'orient est une ombre ambulante
Que nul ne pourrait saisir
Franchissant les seuils de portes
Dressées par ordre des Vizirs

L'orient est un long gémissement
Emprisonné dans les gorges païennes
Sur un lit où gisent deux amants
Reflet d'une lame draconienne

L'orient est un cri de douleur
Emanant d'une femme châtiée
Sur une toile nuancée de couleurs
Qu'un peintre ne saurait marier

L'orient est un regard vide
Il est d'un noir intense
Meublé de longs cils et de rides
Sur une calligraphie de silence

L'orient est un keffieh embrasé
Portant le feu d'une colère légitime
Sur un poème aux vers écrasés
Témoignant d'un massacre de rimes

L'orient est un livre damasquiné
Renfermant des récits apocryphes
Formules et louanges condamnées
A la gloire de leur calife

L'orient est tout simplement l'orient
Où l'homme est un riche joaillier
Dont la femme est le bijou voilé

khelifa@hotmail.de
 

 

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