Poèmes érotiques, page 2

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Nos derniers poèmes

 

Poème de B.G.

Ode à tes seins

Sans tes  deux seins alanguis
Faons jumeaux parcourant la plaine
Qu'est-ce donc que la vie ?
Soudain sans amour ni haine

Mon cour à son tour s'endormit,
Sans jamais tel un oiseau perdu
De ta chair douce aimer le fruit !
Non ce n'est point le fruit défendu

Mais plutôt la tendre moiteur nue
Qui a finalement vaincu mon âme
A l'issue d'un doux combat perdu
Et j'ai rendu ainsi les armes.

Dans la vallée perle une délicate rosée
Que ma langue viendra cueillir au matin
Et sans que jamais je ne l'ose rêver
Mes sens se perdront entre tes seins.

Comment ainsi voir renaître de son nid
L'oiseau qui se pâme et reste étourdi
C'est de l'amour le symbole nourricier
Mais comment pourrais-je m'en passer ??

Yves-MARTIN@jubii.fr
 

 

 

Poème de Redouane

je te voix de loin....et de près.
mes yeux tombent sur tes yeux...
mon corps tombe sur ton corps...
nos lèvres rapprochent.....
des mots d'amour et de joie...
chérie... ne me quitte pas.
offre moi ton coeur,je suis là..
toi mon amour cache....
je ne peux rester loin de toi.....
dans tes bras je suis bien....
mes doigts sur ton corps... cherchent un mots d'amour...
je ne quittes pas mon lit.. .mon corps a besoin de toi....
je plantes une fleur sur tes lèvres..
l'odeur de ton corps tremble mes jambes....
viens doucement et embrasse moi.....
je frottes tes joues......et je craques tes doigts....

elbeyredouane@yahoo.fr

 

 

Poème de Pericles

La supplique sexuelle

il y a des jours où seul ton sourire me suffit
où seule ta présence me rassasie
mais ça ne peut pas être ainsi toute la vie
ça ne saurait être ainsi pour la vie
toutes tes caresses aiguisent mon appétit
et petit à petit font grandir mon envie
oh darling i'm gonna be sick
j'ai besoin d'amour physique
aides-moi à assouvir ce désir
cela me ferait énormément plaisir

quand nous nous enlaçons
quand nous nous embrassons
je ressens comme un frisson dans mon caleçon
c'est la sentinelle qui fait son action
et quand soudain du décides de faire interruption
j'éprouve une grande frustration
et je répugne cette situation
surtout lorsqu'elle devient répétition
lady j'ai besoin d'une guérison
tu n'as pas besoin de réflexion
pour y trouver une solution
que ce soit à califourchon
où dans quelle autre position
ce qui importe c'est que nous le fassions

mon désir est à son acmé
ma souffrance a atteint son apogée
ne me retiens pas
tu sais comme j'ai besoin de ça
tu vois comme j'ai besoin de toi
je n'ai qu'un choix je te veux toi
offres-toi à moi
je n'ai de préférence ni de pose ni de lieux
apaiser cette soif c'est tout ce que je veux
j'y mettrai toute ma dextérité
surtout si tu le fais de ton gré
 

 

 

Poème de Smile

Dans tes draps rouges

Après notre nuit de folie
je te vois nue dans notre lit
cela me donne des idées pour cette nuit
tu dors encore et je te souris

pendant ton sommeil tu m'en demande encor
je balade mes doits sur ton corps
puis mes lèvres sur ta poitrine
mes mains sur tes hanches sublimes

je sent monter la chaleur
j'entends les battements de mon coeur
ne pouvant plus résister a ta douceur
je te fais l'amour pendant des heures

da_smile_92@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Colombe

Nuit étoilée

Allongée sur la plage par une nuit étoilée,
La brise chaude vient embraser mon corps dénudé
Ma main lentement commence à caresser
Mon bouton d'or gonflé

Mes cuisses doucement vont s'écarter
Mes doigts accélèrent le mouvement avec agilité
Je sens l'excitation monter
Mes idées sont  brouillées

Seule avec mes rêves érotiques
Ma main me conduit à un plaisir magique
Allongée sur la plage par une nuit étoilée
Je me suis caressée, j'ai aimé
 

 

 

Poème de Goldgus

Onze octobre et quelques rires après,
Peu m'importe la date, le jour tombait.
Puisque nos yeux étaient d'eux pour eux,
Puisque nos « oui » vers les septième cieux.

Pourtant quelqu'un s'encombre,
De souvenirs heureux,
Dérisoires soupirs, il se raconte,
Les ébats d'amoureux.

Dans ton lit les draps étaient défaits,
Quand nos habits aussi les imitaient.
Nus l'un pour l'autre, l'instant d'un aveu,
Dans le noir, les intimes sont peureux.

Pourtant quelqu'un dans l'ombre,
Jouit autant qu'il peut,
Chaque soir, quand le désir monte,
Aux mirages dans ses yeux.

Aussi vierge, pucelle à tes débuts,
La peur de voir se lever un inconnu.
Vous devinerez ce que je ne dirais plus,
La première fois, au moment voulu.

Pourtant quelqu'un sans ombre
S'endort à petits feux,
Quand la nuit le désir retombe,
Après le jet des adieux.

Quand il entend les cris de joies,
De sa bouche, amer goût d'autrefois,
Quand le délice d'un autre que soi,
Au plaisir qu'un jour elle manqua.

Pourtant quelqu'un de sombre,
Rêve de ton corps.
A ta fleur au milieu des contes,
Et qui y pense encore.

Pourtant quelqu'un dans l'ombre
Rêve de ton corps,
A tes seins quand ils tombent,
Juste après les efforts.

nantelgurvan@wanadoo.fr
 

 

 

Poème de Nipher

Par les lacis interminables,de la ville active
qui grisonne dans la lumière douce du soir.
Tu te promène ,vague ondulante, lascive ,
Vénus aux longues jambes gainées de noir.

Ton sourire éloigne les langueurs,
tes yeux roidissent les mâts infidèles
de tous ces bateaux migrateurs.
Le vent de tes effluves charnelles

gonfle les voiles de la concupiscence.
Laisse glisser sur l'onde moite et lubrique
les amoureuses âmes en quête de jouissance.

Laisse les venir dans l'entre de tes hanches,
déposer dans leurs ultimes  assauts phalliques
ces gorgées de semences qui s'épanchent.

jeanpaul.28@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Cindy

sous la voûte céleste
ce soir, je suis ta déesse
fait de moi ce que tu veux
pour moi ce n'est qu'un jeu
pendant une nuit d'ivresse
être ta maîtresse
rends toi heureux
prends mon corps si tu le veux
prends le temps de me faire rêver
prends le temps de m'embrasser
montre moi que tu es un homme
n'ai pas peur je ne suis pas nonne
je vais gémir sous ta tendresse
je vais jouir sous tes caresses
avec douceur sur mes seins
avec ardeur entre mes reins
traite moi en princesse
vas-y avec adresse
car dans le sexe
tout est délicatesse
 

ludo-cindy-les-inseparable@hotmail.com

 

 

Poème de Angela

Licenciement

Monsieur, est-ce que j'ose vous dire ?
Je n'entends plus vos mots ! Je vous respire...
Votre douce odeur me grise et m'attire,
Et votre chemise entrouverte m'invite à tous les délires.
J'imagine mes mains lentement vous dévêtir,
Oh ! Poser sur votre peau mes lèvres brûlantes de désirs...
Hélas ! Je vois bien que vous n'êtes pas prêt à consentir,
Puisque vous me montrez la porte et me priez de sortir !

 

 

Poème de Jbibi

Te rencontrer enfin, naître sous ton regard,
Patienter sur tes lèvres, lutter contre la fièvre

. Premier Ciel .


Ma main se retire, et mon corps hésite,
Mais mon cour palpitant, demande que tu poursuives

. Deuxième Ciel .


On sculpte notre plaisir, sous nos mains nous sommes argile
Et dans l'alcôve scintille le rubis de notre désir

. Troisième Ciel .


De ta langue subtile, tu parcours l'inconnu
Et sous tes caresses divines, mon corps s'émoustille

. Quatrième Ciel .


De tes mains virtuoses, notre danse tu composes
Tout au long de mon corps, qui te chante, vibrato !

. Cinquième Ciel .


L'air se raréfie, torride est l'atmosphère,
Ta chair me défie, mon Dieu, quel Enfer !

. Sixième Ciel .


Mais la raison nous arrête, ô pauvres criminels,
Et dans tes bras je me meurs, de tant de désirs charnels

 

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