Poème sur la mort et poésie de décès

 

 

 

Poèmes sur la mort ou décès



Poème de Isabelle


On n'a pas peur de mourir
on a pas peur de mourir on est juste triste de partir on laissant derrière des souvenirs on ne sait pas où on va on part parce qu'il faut c'est ainsi décidé la mort qui tous nous attriste on a pas peur de mourir parce qu'on ignore son arrivée on est triste son aller de laisser derrière nous tous ceux qu'on aimera toujours et on s'en remet pas on a pas peur de mourir on est juste triste de partir


bellasiempassi@yahoo.fr
 



Poème de Delphine


est tu prêt de moi
est tu prêt de ta petite famille
que tu a commencé a construire
mais tu na que laissé des ruines
il ne manque que toi!
ton petit garçon frétille
et celui que tu a élevé comme ton enfant est la
prés de nous mais pensant a toi
entend tu ce qu'il dit tout bas
a 6 ans on ne comprend pas
il t'appel, l'entend tu
il cri ton prénom
il cri son papa
papa qu'il adoré
et crois qu'il va revenir
tu ne la jamais laissé tomber
et pourtant tu n'est plus la
il avait tant besoin de toi
il pense tellement a toi

ta chérie serai prête a donné son âme au diable
pour que tu revienne prés de nous
et goûter enfin au rôle du papa
le papa qui doit aider ses enfants
entend tu sa colère!!
une présence manque
la tienne!!
 



Poème de La chieuse


Mamie
Tu m'as abandonné
Tu étais ma grand-mère adorée
Pourtant je n'arrive pas à te pardonner.
Tu es parti du jour au lendemain
Sans même un signe de la main.
Je me suis sentie trahit
Tu n'avais pas le droit mamie.
Depuis que tu m'as laissé
Je n'arrive plus à me livrer,
Je fuis l'amour
Pour éviter de souffrir encore un jour.
Ma vie n'est que tristesse
Je ne peux pas crier ma peine
Et de jours en jours grandi ma haine.
Si j'ai si mal dans ma vie,
C'est parce que je t'aime mamie.

Ta petite fille.
 



Poème de Rooj


L'amour est mort
Approche toi. Encor... Viens plus près,
Je veux sentir l'odeur de ton corps
Et de mes doigts caresser ton coup.
N'ai crainte, rapproche toi encor.
Les battements de mon cour secouent
Mes entrailles et mon souffle s'affole.
J'ai besoin de te sentir tout près.
Pour saisir ta chaire de mes mains nues,
Pour regarder dans tes yeux
Pendant que mes mains, sur ton col
Se ressent doucement, calmement.
Sans me presser, c'est à petit feu
Que je compte accomplir mon office.
En pensant à ce que je n'ai vu,
A tout tes sombres agissement,
Une pluie de frissons me transperce
Tes ces aiguilles dans tes iris.
Rouges sont les larmes que je verse
Mais se sont de tes yeux qu'elles coulent.
Tu m'as craché en pleine figure
Sans complexe devant cette foule.
J'ai vu à quel point tu es impure.
La langue qui disait tes mensonges,
J'ai constaté qu'elle s'arrête net
Une foi séparée de ta bouche.
Tu étais la reine de mes songes,
J'espérais que tu serais honnête
Mais c'est la déception qui me touche.
Non, en ce jour je ne suis pas triste
Mais, si mes pensées pour toi sont noires
Pour moi, tant que tu seras sur pied
La page ne peu être tournée.
Je m'en sers car je suis un artiste
Mais tu n'en sortiras pas indemne,
Tu dois récolter se que tu sèmes.


cat_a_kliz@hotmail.fr
 



Poème de Pinpin


Tu n'es que douleur et souffrance,
Tu ne sèmes que révolte et déchirement,
Pour ne laisser que colère et abattement,
Plus rien d'autre que le vide et l'errance.

Violente et méprisante, tu arrives sans crier gare,
Tu effaces sans scrupule les plus beaux sourires,
Tu éteins sans pitié ces tendres regards,
Pour mieux nous amputer au dernier soupir.

Peut-être un jour pourrais-je te bénir
Bien que je n'ai de cesse de te maudire.
Tu sais être si sournoise ou si soudaine;
Mais ta cruauté n'a d'égale que ma haine.
 
Et pourtant dans cette pâle lumière,
Avant l'ombre froide du cimetière,
Je t'ai serrée dans mes bras,
Mes larmes ont coulées sur toi,
Car en cette triste journée de fin d'été,
C'est le visage de mon frère que tu avais...
 



Poème de Calife


Un parfum d'anis
Au coin de cette rue faubourg
Nul saint n'y règne
Tant d'appels au secours
Omis par tes verres qui saignent

Immaculé est ton rire
Ne sachant quelle couleur lui prêter
Excellent !, annonciateur du pire
Narguant le verbe plaisanter

En équilibre tiens-tu tel un voltigeur
Sur le zinc des escarmouches discursives
Ton épée croise celles d'autres amateurs
Proust revient en leitmotiv

Las, tu ratures du bout des lèvres
Un passage bordé de jasmins
Sentier de ta marche funèbre

Repose en paix ...


khelifa@hotmail.de
 



Poème de Youma


Malgré moi
Jeu du destin, fourberie de la belle
Le doute s'ajoute et fout le bordel
Quand l'égoïsme et l'orgueil s'entremêlent
La raison n'est plus une amie à elle.

Sans point de mots et sans aucune larmes,
Il me semble que se ne soit pas un drame
Même si encor ses yeux me désarment,
Elle a perdue le chemin de mon âme.

Pas de temps pour les regrets ou la haine
Inutile de le nier si il saigne
Mon cour déçu est frappé par la peine
Mais toutes les prières seront vaines.

Oui, je suis toujours attaché à son corps
Oui, j'espère entendre sa voix encor
Oui, son départ a détruis mon décors
Oui,.s'en est assez ! J'ai fais trop d'effort.

En ce jour je ne connais ses pensé
Sa conduite m'a quelque peut dépassé
Ses silences qui m'ont tant agacé
C'est mon tendre amour qu'ils ont dépecé.

Je me suis abandonné sans réserve
Sans que les conseils d'autrui ne me serve.
De notre histoire si longue et si brève
Moi, c'est l'amertume que je conserve.

Je ne veux déclencher aucune guerre
Mais juste en parler pour que se soit clair.
Mais si tu veux persister à te taire,
Je ne pourrais t'empêcher de le faire.
 



Poème de Josyta01


ma tendre maman
j'ai tout juste 25 ans
je n'étais pas prête
mais s'était l'heur
et je regrette
ma maman est parti
la mienne, pourquoi?
c'est dur la vie
moi je ne voulais pas
dieu avais besoin d'un ange
je lui en veux un peu
je t'ai vue mourir maman
maman, maman, maman
ce mots mes un insupportable tourment
sur ton lit de mort
j'ai mi ma fille dans tes bras
tu étais trop faible pour la prendre
maman tu me manque tellement, tellement, tellement
 



Poème de Sueño610


Toi qui est partie
Toi qui est partie
Ce jeudi 5 juillet
Restera gravé dans ma mémoire
Toi qui est partie
A l'âge de 78 ans
Tu nous a quittés
Toi qui est partie
Tu étais gravement malade
Mais tu t'es battu contre ta maladie
Toi qui est partie
Tu étais une personne
Généreuse avec les autres
Toi qui est partie
Tu étais une grand mère
Attentionnée envers tes petits enfants
Toi qui est partie
Tu étais une personne
Dynamique et active
Tout au long de cette année
Ou tu as été malade
Toi qui est partie
Ta lumière s'est éteinte
Mais tu es une lumière
Qui restera pour toujours
Dans nos coeurs
Toi qui est partie


mexicaine52@hotmail.fr
 



Poème de Gérard Bricout


La mort est un sommeil
Hier encore, tu étais là, près de moi,
Et je te regardais avec tant d'émoi,
Humant avec amour ton souffle léger
Qui caressait mon visage fatigué.

Puis je me suis endormi, tout apaisé,
Dans les bras de celle que l'on dit être Morphée.
Toutes nos pensées se sont alors éteintes,
Seule subsistait entre nous notre étreinte.

Où erraient nos âmes durant ces longues heures,
Aurions-nous pu contrôler notre bonheur,
Ou encore utiliser ce temps perdu,
A quelque réflexion ou travaux ardus ?

Il me semble que cela devienne évident.
Aussi clair que la pureté d'un diamant,
Même si certains riront de moi à tort,
Je vous le dis, le sommeil est une mort !

Une autre évidence traverse mes pensées,
Quitte à passer encore pour un fêlé,
Je vais vous dire une autre rhétorique ;
La mort est un sommeil, n'est-ce pas logique ?


allouag@free.fr
 



Poème de Tiana


Je me morfond de tout mon être,
Je sens la rage en moi naître
Et mes larmes deviennent amères.
L'antipathie s agrandi,
L'agressivité augmente aussi;
Mon répertoire de haine s'élargit.
L'amertume est devenue une coutume
Mais il faut que je m en sorte avant que la vie me fume .
 



Poème de Shanna


À toi pour la vie
A quoi sert-il de croire
Quand tout vous abandonne
A quoi sert-il de voir
Lorsqu'il n'y a plus personne
Croire a la vie
Alors que l'homme survit
Pour pouvoir mieux finir
Alors que l'on ternit
Le verbe "épanouir"
Croire aux hommes
Alors qu'ils voient l'écorce
Sans regarder la sève
Jouent a cueillir les fleures
Comme on oublies les rêves
Croire a l'amour
Alors que ceux qu'on aimes
S'en vont sur quelque jours
Qu'est ce que c'est quelques jours
Sur toute une vie
Pourquoi parler d'amour
Quand vous me l'avez prit
Ne ne dites surtout pas
Qu'il est la prés de moi
Je l'ai chercher partout
Je ne le trouve pas
Déposer quelques fleurs
Sur un morceau de pierre
Avec une pensée
Avec une prière
N'est pas de mon ressort
N'est pas de ma nature
J'ai beau essayer
Je ne vois que se mur
Ou sont ses cheveux châtains
Son si joli sourire
Ou sont ses yeux
Que j'aimais tant voir
J'ai eu un enfant de son sang
Bourgeon de ses racines
C'étais ma fleur
Qui n'avait pas d'épines
Dite moi gentiment
Ou il s'est reloger
Pour que secrètement
Je puisse l'arroser
Dite moi seulement
Qu'il na pas oublier
Trente trois printemps
De joie et de gaieté
Et trente ans de ma vie que j'aurais du
Lui consacrer
Je ne suis pas Prévert
Ni Ronsard
Je suis comme la mer
Qui pleure sa rivière
L'immense et pauvre mer
Qui meurt et se déchire
De ne pouvoir lui dire
Une dernière fois
Des mots comme
Je t'aime
Mon jéjé.


-------sylvie-------


shanna.nounouss23@hotmail.fr
 



Poème de Popsynette


Un vide, un manque, une absence
Je ne te vois pas,
Je ne t'entends pas,
Tu n'es pas là,
Tu n'es plus là.

Je suis désormais confrontée à la réalité,
J'essaye de me l'avouer,
Tu es déjà loin.
Il ne reste plus que des souvenirs.

J'ai une boule à la gorge,
Mon cour serre et se remplit de chagrin,
Et pourtant j'ai toujours l'espoir
De te voir passer dans le couloir.

Mais heures après heures tu n'es toujours pas là.
Le temps passe et tes traces s'effacent.
Pour certains tu n'existes plus,
Mais moi je me rends compte que je t'ai vraiment perdu.

Dors papy, dors
 



Poème de Farade


Elle aimait la vie il aimait la mort
Il aimait la mort, et ses sombres promesses,
Avenir incertain d'un garçon en détresse,
Il voulait mourir, laisser partir sa peine,
Oublier tous ces jours à la même rengaine...

Elle aimait la vie, heureuse d'exister,
Voulait aider les gens et puis grandir en paix,
C'était un don du ciel, toujours souriante,
Fleurs et nature, qu'il pleuve ou qu'il vente...

Mais un beau jour, la chute commença,
Ils tombèrent amoureux, mauvais choix,
Elle aimait la vie et il aimait la mort,
Qui d'entre les deux allait être plus fort ?

Ils s'aimaient tellement, ils auraient tout sacrifié,
Amis et famille, capables de tout renier,
Tout donner pour s'aimer, tel était leur or,
Mais elle aimait la vie et il aimait la mort...
Si différents et pourtant plus proches que tout,
Se comprenant pour protéger un amour fou,
L'un ne rêvait que de mourir et de s'envoler,
L'autre d'une vie avec lui, loin des atrocités...

Fin de l'histoire : obligés de se séparer,
Ils s'étaient promis leur éternelle fidélité...
Aujourd'hui, le garçon torturé vit pour elle,
Puisque la fille, pour lui, a rendu ses ailes...

Il aimait la mort, elle aimait la vie,
Il vivait pour elle, elle est morte pour lui...


xavier.c_du_59@hotmail.fr
 



Poème de Maud


Beaucoup trop de cris ont été poussés par ma faute
Beaucoup trop de larmes ont coulés par ma faute
Sans moi, aucun problème n'aurait existé
Les soucis futurs seraient à oublier
Plus rien ne me retiens ici
Tout ce que je fais, c'est créer des ennuis
Autant que je parte loin d'ici
Et que je sorte, à tous, de voter vie
Oubliez-moi, sa ne sera pas dur
Je ne deviendrai plus que murmure.
Le vie me hais, c'est réciproque
Le bonheur est payant, c'est notre nouvelle époque
Je n'ai pas d'argent pour en profiter
Je ne veux plus exister
Mourir me ferait le plus grand bien
Dans ce monde où les libertés ne sont plus fondamentales
Mourir ne me fera pas de mal
Ne plus vivre, peut-être est-ce ma destinée
Je n'ai chance, mieux vaut essayer
Plutôt que de souffrir sur cette terre
Où vie rime avec misère.


timaud71@hotmail.fr
 



Poème de Angelmimi99


Mamie
J'ai le sourire aux lèvres, mais toi tu n'es pas là.
Certains croient, que tu ne me manques pas,
Tous ces gens ne savent pas que la vérité est au fond de moi
C'est aussi beau que ce que j'éprouve pour toi, crois-moi.
Il fallait que tu partes au paradis,
Là où il n'y a ni cris, ni ennemis,
Pas de haine mais...
Il faut quand même y arriver sans se couper les veines,
Depuis que je suis née,
Tu as toujours déposé,
L'amour que tu avais en toi,
Même quand tu étais loin de moi.
A l'intérieur de mon coeur,
Qui est maintenant en pleurs.
Quand tu es partie, le quinze décembre,
Là-haut au paradis, avec ton visage si tendre,
C'était en deux mille deux,
Ce qui veut dire pas de Noël très heureux.
Quant à mon coeur, il y a du bonheur,
Tu es peut-être loin de moi,
Mais je pense toujours à toi,
Ne vous inquiétez pas pour moi,
Dans mon coeur, il y a plus de pleurs,
Quand je regarde une photo,
Tu es comme mon héros,
Mamie, mamie, mamie
Mamie, tu es gravée dans ma vie...
Mamie, je t'en prie, écoute mes cris.


missmarine.t@hotmail.fr
 



Poème de Pavel


Déjà cinq ans que tu t'es envolé
Cinq ans que nos vie ont changées.
Pour moi, c'est comme si tu étais encore là,
Je ne veux pas croire que tu es aller là-bas.
Tu es parti si vite
Nous on ne voulais pas que tu nous quitte.
Mais c'étais pas à nous d'en décider,
Le destin s'en ai charger.
Si je pouvais choisir,
Sans hésiter je te ferai revenir,
Pour que tu puisse réaliser
Tout tes rêves dont tu m'avais parlé.
C'étais des rêves d'enfants
On se disait qu'on les réaliserai quand on serai grand
Mais toi on ne t'en a pas laisser le temps
Et cette nuit la, c'est avec un ami
Que tu as rejoins le paradis
Et son ciel étoilé
Pour l'éternité