Poèmes sur la nature, page 2

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Nos derniers poèmes sur la nature

 

Poème de Berraha el Houssine

La nature

Tu es splendide
Tu hais le vide
On te fait du tort
Surtout au nord
L'homme ne cesse de polluer l'univers
Et continue à bafouer tout à travers.
Pour ta sauvegarde je me sens rebelle
Pour te voir aussi adorable et belle
Pour toi je mènerais tous les combats
Pour ne pas te voir tomber aussi bas
Contre tous ceux qui exagèrent
Et prennent les choses à la légère
Contre ceux qui agréent et daignent
A voir ton coeur qui saigne
Contre ceux qui veulent engloutir ton charme
Et me laisser pleurer de toutes mes larmes
Ces comportements ont touché mon cour
Lui qui était rempli de tant d'ardeurs
Je les hais autant que je t'aime
Mes présents écrits sont l'emblème.
Sans toi ma belle Nature
Comment sera mon printemps et sa verdure ?
Sans toi, il n'y aura plus du bonheur sur terre
Dans les airs et aussi en mer
Pour toi je lance un signal de détresse
Car tu es notre mère et notre maîtresse
Après tout, si on fait des efforts
C'est toujours pour notre confort

Youssefber_1968@Hotmail.com
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Chicago

Le lac Michigan sa maîtresse
L'enveloppe de tendresse.
Son aveugle, nourrissant amour,
Lui permet de s'affirmer de jour,
De nuit, avec une confiance sereine
Des tribulations continues, des peines.
De surmonter les vents impétueux
La froidure, les hivers rigoureux
De se prélasser sans façon tous les étés
De frémir à la vision des feuilles tombées
Prélude du renouveau des saisons.
Pourtant, elle a failli sans raison
Mourir d'un incendie foudroyant.
Ressuscitée, elle est partie de l'avant
Avec ses diverses ethnies, irlandais,
Noirs, anglo-saxons, italiens, polonais
Sans répit, ses travailleurs acharnés
Avec patience, détermination, volonté,
Sont l'ossature intégrée de sa maturité.
Sûre de son destin, grande dame devenue,
Avec ses parcs, ses musées, ses avenues.
Son architecture variée, ses plans audacieux
La poussent à atteindre d'autres cieux.
Venu d'Irlande, son père nourricier
Le maire Daley lui veut un sort princier.
Joyaux du middle west, cette perle
Encore rêveuse, aimante, fidèle
Le poursuit avec sérénité et passion
Chicago est toute sa motivation
Sa vie, sa raison.

ecmangoubi@aol.com

 

 

Poème de Bateu

L'enfant et l'oiseau

Petit oiseau viens avec moi
Vois, la cage est si bien posée,
Les fruits que j'ai cueillis pour toi,
Et les fleurs humides de roses

Petit enfant, je vis heureux,
Rester libre est ma seule envie,
Mon petit nid me plait bien mieux
Que la prison soit la plus jolie.

Petit oiseau,viens et je te chanterai des chansons
J'irai te décrocher le monde en fleurs
Toi et moi, grandirons à l'unissons
Et éternellement, vivrons dans le bonheur

Petit enfant,j'ai toujours vécu libre
Même si la prison me paraît plus belle
Sans m'envoler serait pour moi ne plus vivre
Car ma liberté c'est cette envolée belle.

pepita.thbehi@laposte.net
 

 

 

Poème de Marbre

Mon arbre

On m'a arraché à mon arbre un jour de pluie
je me suis retrouvée seule, sans aucun ami
c'était l'automne, il faisait grand froid dehors
jamais je n'avais connu un tel cauchemar
puis j'ai cherché, un endroit pour me cacher
j'avais peur, je ne savais plus ou aller
mes frères, mes soeurs, m'avaient laissé partir
et je ne croyais jamais pouvoir y revenir
quand je suis née nous étions des milliers
a nous balancer au vent toute la journée
j'avais constaté, que vieillir me rendait plus légère
pour me retenir à mon arbre j'avais plus de misère
je n'aurais jamais imaginé une pareille aventure
ce soir je suis malade, je suis seule dans la nature
je voudrais tellement revenir au bercail
rentrer chez moi retrouver la marmaille
je n'ai rien fait dont je me sente coupable
j'étais si bien tout là-haut dans mon érable
je me regarde, je ressemble déjà à une écorce
devrai-je finir mes jours dans le compost
ou comme d'autres, finirai-je dans un cercueil
je préfère mourir, moi qui ne suis qu'une pauvre feuille

marbre@videotron.ca
 

 

 

Poème de Annita

Ronde des saisons

Ronde des saisons
Valse de la vie

Bourgeons de bonheur
Eclatement des coeurs
Jeunesse tendre et verte
Nids de promesses
Giboulées de désirs
Bruissements de soupirs
Messages hirondelles
Sourires arc en ciel

Bal de fleurs champêtres
Chevelure ondulante des blés
Robes de velours pêche
Rubans de satin cerise
Concert de rouges-queues
Feu d'artifice
Délice
De couleurs et senteurs
Campagne en habit d'Arlequin
Tiédeur des petits matins

Menuet de feuilles princesse
Aux atours d'or et dentelles
Paniers de fruits d'organdi
Dans les vergers en fête attendris
Orchestre de noix castagnettes
Prunes maracas,grelots veloutés
De la treille mordorée
Accordéons de cueilleurs débonnaires
De la manne vendémiaire
Ecole
Farandole
D'enfants aux joues rouge pomme
Sillons nostalgiques
De moissons prolifiques

Atmosphère givrée
De pistes feutrées
Evolutions de couples
Sous un brouillard de doutes
Croassements de solitude
Dans les plaines de platitude
Trouée de lumière
De douces chaumières
Atres fous d'amour
Chaleur noëls blancs
Candeur jour de l'an

Saisons boomerang
Et danse le temps

**********

Le rideau s'ouvre

Le rideau s"ouvre matinal
Sur la scène ocrée couleur fauve
Du petit théâtre automnal

Tu es planté là et déclame
Mille messages chamarrés
De jeux de lumière dorée

Dans un chaleureux monologue
Tu laisses ta joie éclater
Et s"assombrir vers l"épilogue

Les bras ballants et l"âme en peine
Très fatigué tu disparais
Dans les coulisses morte-saison

Mais mon tilleul,tu renaîtras
Dans ton costume à papillon
De nouveau tu enchanteras

 

 

 

Poème de Nathalie Agomeri

L'écho de la montagne

Des cristaux de neige immaculée
Etincellent au soleil vénéré
Du sommet de la plus haute montagne
Se fait entendre une voix diaphane
Une beauté sonore absolue
Aux aigus séraphiques
Avec en filigrane
L'oiseau lyre
Au son nacré
Illuminant les âmes
D'une rare luminosité

nathalie30n7@excite.com
 

 

 

Poème de Ava

Grain d'ombre et de lumière

Je chante une ode à la vie, au temps passé.
Au fond de cette cave mes anciens t'ont oubliée.
Je contemple cette bouteille ; que d'années ont dû passer.
Mais encore belle bouteille que peux-tu me raconter ?

De mes soeurs qui sont parties
Voici ce qu'elles m'ont dit :
"Encore et toujours offre ton grain,
N'aie jamais le coeur chagrin.
De la pluie, du soleil, ou du vent
Résistes toujours aux caprices du temps."

Sillages durcis par les labeurs de tant d'années,
Moult dos courbés ai-je vus pour m'admirer.
Raisins cueillis, raisins pressés,
Par tous ces hommes qui m'ont choyé.

Terre d'ombre et de lumière,
Cépages sinueux d'hier,
Vous parveniez naguère
A réchauffer nos chairs.

Aurais-je cru en me liant
Aux supplices du temps,
Que ma vie d'or ou de pourpre,
Evoquerait encore ce jour
L'esprit voluptueux
Eclatant et délicieux.

Des pluies, du soleil et des vents
Ma vie résista aux caprices du temps.

valerie.maio@orange.fr
 

 

 

Poème de Fofopuce

Ecrasée sous le poids de son cour,
Impossible de prouver sa valeur,
Perdue à une place si hautaine,
Cachée par delà les grands arbres,
Ne peut admirer la plaine,
Ressentir au fond de l'âme,
L'esprit se déchirant au creux,
Brisée par une lame,
Partir vers le haut des cieux,
Laissant au fils du gré,
Mille feu étincelant sa beauté.
Comme le vent dans l'herbe à bison,
Sa place était ici,
Emanant de son corps son esprit,
Laissant au jour une once,
Elle précède le temps d'antan,
Des générations passées gardiennes,
Qui s'arrêtent au-delà de trois printemps,
Achevant le maillon de la chaîne.

la-setoise34@hotmail.fr
 

 

 

Poème de La fièvre

Au-delà des océans

Le sang coule de la chute de l'homme
Soule les pensées des enfants contre la violence
Qui se règle par la guerre et ses engins vulgaires sur terre
Suivant l'ombre des oiseaux métalliques de l'air
Traverse le ciel au-delà des océans,

Observer de l'oeil curieux de dieu patient
Pour ce changement tant attendu
De ceux qui ont cru en cette vertu perdue avec le temps;
Retrouvée avec le sang
Qui nous unis tous par une fin pour un nouveau commencement.


Au-delà des océans,
Mon inspiration et ma raison de vivre s'y trouvent
Assis sur les nuages comme un sofa
Pour son confort et une certaine sécurité d'esprit
Nourrie d'air pur qui respire
Au travers ces murs formés d'hommes habillés de la loi.

L'argent, les offrandes de leur faim d'aujourd'hui
Digèrent bien demain nos heures empilées
Pour payer ce qu'ils reprennent
À chaque paye  c'est toujours la même scène si blême

La routine étant son chemin
Sur un tapis baigné de sang d'enfants suicidaires
Qui coulent au travers les pores de la terre,
Portant la mort d'enfants à travers
Le monde en faiblesse par les promesses d'un meilleur lendemain.

Les pleurs causent des averses de pluies intenses sous un nuage gris,
Le peuple survit, et sourit malgré les envies qui rodent la nuit.
Pour L'amour de cette vie et non pour son prix
Brûlera avec le temps la mémoire des jours gris

Jusqu'au jour ou nous cèderont notre corps
Pour libérer l'esprit...

Au-delà des océans.

danielchery@hotmail.com
 

 

 

Poème de Chabin

Ma fleur

Un matin de plus, rien de nouveau
Mais qu'est ce donc que ce parfum
Un effluve, une senteur, dans son berceau
Crois tu que ce soit le moment importun

Tu la vois, là devant toi, cette fleur.
Celle que tu n'attendais pas, que tu pensais plus revoir
Tu es sous le charme de cette saveur.
Tu voudrais la revoir ce soir

Merveilleuse sensation de peur
Cette intensité qui remonte de son intimité
Tu te rapproche, tu veux être charmeur
Tu l'effleure, et elle se met à perler

Du bout des doigts, tu cherches ses contours
Du bout des lèvres, tu cherches à goûter
Tu te laisse aller, à croire à un retour
Cette sensation bizarre est dupliquée

Oui, elle est ma fleur, celle que j'attendais
Des souvenirs, des émois, tout reviens
Comment ai-je pu croire, que je m'en passerais
Dans son élan de jouissance, je n'ai pas vu le matin.
 

 

 

Poème de Cyan

La lune noire

Je suis la lune noire
Celle que personne ne peut voir
Celle qui existe dans les émotions les plus sombres
Celle qui ne verra jamais le jour

Je suis ton néant et ton présent
L'ombre qui te suit le soir
Et la peur qui t'habite le jour
La vision de tes pires cauchemars

Je suis la lune noire
D'où j'ai tiré ma vie
De ton essence et de ton existence
Je suis l'amagedon

Comme les chevaliers de l'apocalypse
Je m'emploie à te détruire
Et à sucer ton être
De ta sève salvatrice

Je renaîtrai dans toutes les vies
Dans toutes les consciences
Comme un prédateur funeste et cruel
Je reste noir !!

Je reflète les cendres de ma nuit
À travers le temps et les méandres
Où je dévore le repas de mon existence
Je dévore la vie

Je suis l'amant de ta conscience et tes besoins
Je nourris ton âme de mes raisins
Je t'offre la pomme
Mais je cache mes desseins

Je suis la lune noire
Et sauve-toi loin
Cour, cour à en perdre le souffle
Avant que je ne te rattrape

Sinon, je deviendrai le soleil de ton destin
Je suis le funeste loup qui te dévorera
La funeste vie qui te tuera
Le funeste amant qui ne sera pas là
Le funeste espoir qui sombre dans la lune noire

Mais je suis là.
Je survole tes espaces
Je te regarde et je me pose
Comme un oiseau, libre et heureux


Je suis la lune noire
Celle de tous les loups
Celle de tous les esclandres
Je suis la lune noire
La lune noire de ma vie

******************

Là où se trouve la lumière

Le froid à envahi la nuit
Ces pas se perdent en absence
Et, le murmure se porte au loin
Il erre sous la pluie

La nuit à envahi ca vie
Ces odeurs sont les siennes
Cette absence, sa présence
Et le loup le sait bien

Il sent les odeurs, surtout la terre
Humide et fraîche
Elle lui indique le chemin
Et trace. Une voie de lumière

La lune est ronde et tout s'éclaire
Les couleurs valsent dans le ciel
Mais la nuit noire, celle qu'il connaît
Elle n'à que faire de ces regrets
 

pactole07@hotmail.com

 

 

Poème de Letty1908

j'implore clémence aux éléments déchaînés,
Que tous, nous puissions continuer d'exister,
Puisque nos vies déjà peu à peu se consument,
Passant outre les soucis que tous, l'on assume.

Tant de familles brisées, trop de larmes versées.
La mère, affligée, trouve la force de poser
Sur les restes de sa maison anéantie,
Une fleur, pour son fils que la nature lui a pris.

laetigiannesini@hotmail.com
 

 

 

Poème de Amoureuse de la nature

Le vent

le vent souffle
et nous engouffre
tout doucement
dans son sifflement
qui nous hante gentiment dans toute notre vie
gardez le car dans pas ce sera fini
ce bruit sera partit
on continuera notre vie sans lui
un jour il reviendra
nous hantera
mais a chaque fois
il partira
ce sera comme ça
jusqu'au jour ou le soleil le tuera
et laissera dans nos coeur une infinie chaleur

 

thegirl1996@hotmail.fr
 

 

 

 

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