Nos poèmes sur la vie, page 7

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Nos derniers poèmes de vie

 

Poème de Angelmimi99

Divisés

Tous divisés
Pour mieux s'aimer
Ou se tuer
Se faire brûler
Comme ce coeur
Remplit de peur
Et puis d'horreurs
Besoin d'erreurs
Pour tout comprendre
Puis se méprendre
Pleurer de haine
Mourir de peine
Sentir son âme
Percée d'une lame
Et puis souffrir
Et puis mourir
La mort est là
Vous n'êtes pas là
Tous divisés
Pour mieux régner.

missmarine.t@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Tissot

tu m'as donné la vie,
pour un jour me la voler,
tes mains m'ont salis,
et tu m'as tué.
au fond j'étais morte,
pleine de vie,
une jeune ado,
en pleine crise.
j'ai eu envie de mourir,
j'ai fait des tentatives,
mais un homme m'a sauvé,
et aidé a aimé.
des fois je tremble,
cela me hante par moment,
a cause d'images,
mais je veux tourner la page.
j'ai donné la vie,
et j'ai tout enfouis,
je veux pas qu'ils sachent que t'as gâché ma vie,
et que je me croyais fini.
merci a l'amour,la vie,
grâce a mes fils,
et mon mari,j'oubli,
et je peux sourire.
 

 

 

Poème de Benoît Duval

Tu ne peux pas tout comprendre
La vie est tellement grande
Tu ne peux pas t'imaginer
Le chemin que j'ai tracé

Tu peux m'approcher
Je suis comme un inconnu venu de nulle part
La vie est tellement grande

Le cour grand ouvert, ça c'est mon univers

En arrière c'est fini ci je suis mort a leurs yeux
Ça aura au moins été merveilleux
En avant tout est là, le présent aussi

Tu ne peux pas tout comprendre
La vie fut une science profitant de mon innocence
Volant le cour de l'enfant qui dort en moi

J'avais jamais pensé à quel point j'avais besoin de toi
À quel point je peux t'aimer, être bien dans la douceur
Même dans la noirceur mon cour vit le bonheur

T'es un peu toute ma vie, avec toi je souris
J'ouvre les yeux le matin, ta douceur m'enveloppe
Tu es bien, je suis bien... J'appelle ça un beau matin.

Tu peux pas tout comprendre de cette vie qui m'a envahie
Méritant le repos, méritant d'être bien, tu le sais bien c'est toi, qui la découvert
J'ai juste ouvert mes yeux et lus l'histoire de ma vie et tu en fais partie.
Le plus beau cadeau de ma vie ses toi. Que puis-je regretter du passé?

ben.du@videotron.ca
 

 

 

Poème de Youness

La question

Jamais se poser la question
Jamais se poser en obligation
Des gens proches,
Des admis
Une chose qui cloche,
C'est la vie
Connaître la valeur
D'être déçu
Avouer ce malheur
Qu'est reçu
Un arrêt du cour
Il revoie le monde
Un instant, une peur
Et il renvoie ses ondes
Est-ce le cour qui a peur ?
Ou c'est le corps qui a tort ?
Un passé, des souvenirs
Une belle impression
Une pensée, le futur
Une éternelle suppression
Mais si on a cette obligation
On peut se poser la question
Faut-il vivre en mourant ?
Ou périr en vivant ?

rocker_boy111@hotmail.com
 

 

 

Poème de Elfe

L'inertie

L'inertie,
Eclipse de capture instantanée,
Convulsionnée dans la nacre Veloutée des songes
Qui se dresse devant l'arme des braves.

Ombrages d'ellipses clairsemés qui se dandinent,
Magie du "soudain" vermeil émerveillé
Par les Saints des Saints,
Emportés par la farandole de Saint- Guy.

Vallées de grès asséchées de larmes,
Taries par l'épuisement de couler
Comme le khôl vénéneux de tes yeux hébétés,
Le monde souffle à flots, du sang d'étouffement.

Une corde pend du haut de la voûte céleste,
Somnolente et brutale
Comme la jetée d'une marée-tornade
Voilée dans l'étrange abysse phénoménal du Graal.

Déchirure transfigurée,
Une source gèle dans l'enceinte d'une gorge;
Coeur glacé d'un iceberg à la désinvolture du loup chevalier Connu des ténèbres.

Odin est en introspection devant cette marée de cadavres Chanteurs.

Prisonnière de Sekhmêt enfant,
Je me livre à ses crocs affreux,
Elle boit dans son calice à ma douleur,
Brûlure du jeu du Paradis de Dante. Echec et mat !

Ma paume dans ses crocs, je cède à son sacrifice immaculé.
Dame Lilith, souffle de serpent, la langue se brûle,
La bougie consume l'esprit chaste.  

Bouchetsamia@yahoo.fr

 

 

Poème de Marckonuevo

Mots pour maux

Ben ouai ! j'fais des fautes d' ortographes ,
en dicté tout mome j'accumulait les zéros .
Je me souviens , des punitions et des baffes
de ces pages de copie débordantes de mots.
hélas aujourd'hui pour moi c'est le même taf.

peut m' importe les conjugaisons et terminaisons.
les mots sont à chacun, alors à tort ou à raison,
une fois écrit ils entrent dans la danse .
Fait d'amour de haine ou de souffrance.
Ils apaisent, détruisent, donne voie au silence.
les termes et propos du front national
" La France au français "
Ecrit sans faute et pourtant
sur les murs, phrase affichée qui fait mal

Ou bien encore les mots prison, justice horreur
cette phrase ensanglantée " Omar ma tuer "
Tuer inscrit à l'infinitif. Mais la vraie faute est ailleurs.
Coupable idéal. Innocent ,Omar fut condamné .

Alors chauffé moi plus la tête avec la grammaire !
Moi aussi, je veux jouer et jongler avec les vers.
Je m'efforce d'écrire au plus juste et à défaut de plaire.
Les fautes sont en moi, j'vais pas m'les cacher et me taire ,
sur qu'avec le temps, j'en ferai moins , c'est claire .....
Mais en attendant ce jour,
laisser moi la liberté d'écrire et de faire ...........

**********

Un homme assis

Un homme assis, sûrement un peu poète.
La ligne lancé à la nuit et sans bruit
Pêche en eaux trouble, fragile peut-être.
Amour, doute ! Angoisse nocturne j'écris.
Souvent pour fuir ou par peur de ne plus être.
Sans faire de vague et toujours dans l'ombre
Au bagnard je balance et livre les mots clefs
De mes geôles ils fusionnent en surnombre
Évadés apeurés pour une brève liberté
Déferlent alors sur le blanc papier
Malfras et brigands de mes pensés sombres
 

marcko_nuevo@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Lilia

Oh combien de mal !

Oh!combien de mal
Oh!combien de morts  
aurions nous une solution?
Ou est le chemin de la paix?
Ou se cache t'il?
Dans un coin.
Je peux le savoir.
On peux tous le savoir mais pas le voir.
Invisible!
Il se montre quand on nous nous montrons avec les bras ouverts
Avec la force,avec notre force.
On tient le drapeau algérien avec fierté et dignité
Quand le peuple se sentiras courageux et défendras son pays
L'ALGérie.
 

lili-jalil@hotmail.fr

 

 

Poème de Petiteneige68

Ma vie

Elle a griffé mon si  jeune visage
Comme la mer en furie, les rochers
Tourné de ce livre cassé les pages,
Creusé des sillons de larmes salées

Elle m'a mordu, déchiqueté le coeur
Comme un molosse fou et enragé
Un cyclone imprévisible dévastateur
Ravagé ma vie de regrets désespérés

Elle a brisé tous mes rêves d'enfant
Se délectant sans pitié, chaque jour
De ma détresse, de mes tourments
Massacré mon esprit pour toujours

Mon regard se tourne vers le passé
Semblable à un champ de bataille
Les blessés se comptent par milliers
Contre elle j'ai perdu cette bataille

Je vis, je survis sans vraiment exister
Mes parents m'en ont fait ce cadeau
Mais pour moi il fut empoisonné
Par tant de malheurs occultant le beau

bluebird.68@hotmail.fr
 

 

 

Poème de Benoît Duval

Au fond de moi

Au fond de moi, il y a un désir
Celui d'être, ce que je suis
Au fond de moi, il y a la force
Cette force est de changer ce qui dérange ma paix
Au fond de moi, il y a les mots qui me disent où je dois aller
Au fond de moi, il y a cette leçon d'avoir la sagesse dans connaître la différence
Car le passé me dit ou ne pas retourner
Au fond de moi, un bonheur me parle et me guide
Au fond de moi, tout ce que je désire est là
Il me reste une chose à faire
Le sortir de moi, le vivre et sentir ce bonheur d ' un choix qui me remplie de joie
Au fond de moi tout est là, et bien sur après tu en profitera.

ben.du@videotron.ca
 

 

 

Poème de Benoît Duval

La vie est tellement grande

Tu ne peux pas tout comprendre
La vie est tellement grande
Tu ne peux pas t'imaginer
Le chemin que j'ai tracé

Tu peux m'approcher
Je suis comme un inconnue venue de nulle part
Le cour grand ouvert, ça c'est mon univers

En arrière c'est fini ci je suis mort a leurs yeux
Ça aura au moins été merveilleux
En avant tout est là, le présent aussi

Tu ne peux pas tout comprendre
La vie fut une science profitant de mon innocence
Volant le cour de l'enfant qui dort en moi

J'avais jamais pensé a quel point j'avais besoin de toi
A quel point je peux t'aimer, être bien dans la douceur
Même dans la noirceur mon cour vit le bonheur

Té un peut toute ma vie, avec toi je souris
J'ouvre les yeux le matin, ta douceur m'enveloppe
Tu es bien, je suis bien... J'appelle ça un beau matin.

Tu peux pas tout comprendre de cette vie qui ma envahie
Méritant le repos, méritant d'être bien, tu le sais bien c'est toi, qui la découvert
J'ai juste ouvert mes yeux et lus l'histoire de ma vie et tu en fais partie.
Le plus beau cadeau de ma vie ses toi. Que puis-je regretter du passé?

ben.du@videotron.ca
 

 

 

Poème de Benoît Duval

L'épave

L'épave de ta vie on la voit à chaque jour
Ne prenant pas soin de ton père tu frottes toujours ton univers
Profitant de l'innocence de celle qui ta donner naissance
Tu crois encore mériter une récompense
 
La faiblesse de ce que tu es, est un cadre qui a tombé
Ignorer par ceux que tu dis aider, alors qu'ils ne t'ont rien demandé
Quand il te voit venir au loin on les voit changer de chemin
 
L'épave de ta vie on la voit à chaque jour
T'a oublier que ceux qui t'entourent n'ont pas de carte mes de l'amour
Le bleu de ta fierté ne reflète pas dans la couleur sombre de tes yeux
Le gris que tu contemples a pris le centre de ta vie,
Entre les lignes y à pas de lois, l'épave de ta vie tu peux dire l'avoir réussie.
 
Entre toi et ton frère on le voie bien y a juste la guerre alors que vous
oublier votre mère et votre père , vous crier tout haut être fière
laissant croire a tout les innocent que vous avez  réussi votre vie
On le voit, bien l'ange de ta vie sort les vidanges, et lave ton linge aussi
 
Ne vouvoyant pas les gens âgés, le respect, tu la aussi oublier
N'oublie jamais le travail qu'ils on fait pour que tu dormes en paix
Ils ont donné de leur vie pour bâtir ton paradis
A la sueur de leur front ils ne sont pas restés assis à regarder les autres travailler
 
Un jour peut-être tu comprendras, ce jour viendra sois sur de ça
L'épave de ta vie refera surface aussi, fais toi en pas, ça te reviendra
L'épave de ta vie tu la toi-même construit et choisie
Parler des autres es tellement facile pour toi, ça aussi te reviendras
L 'épave de ta vie et ce que tu as fait aux autres aussi.
L'épave de ta vie.

 

ben.du@videotron.ca
 

 

 

Poème de Thao69

I have a dream...

Cette nuit, j'ai pensé à demain,
Je me suis dis que la journée
Qui allait venir, à bon train
Serai une grande journée
Une journée ou je ne ferai rien
Comme d'habitude,
Je ne ferai rien,
Et en toute quiétude.

Non, j'ai pensé à la mort,
A qui je ne voudrais surtout pas faire de tord,
Oui, j'ai pensé à elle,
A celle qui est souvent pas belle,
A celle qui cachée derrière sa faux
S'approche lentement
Ou si brusquement
Pour venir voler les rêves les plus beaux,

Pour les emmener si loin,
de là où jamais personne ne revient
il y fait trop froid
d'après la rumeur,
car personne n'a la droit
d'affirmer quoi que se soit,
sauf ceux, peut-être, qui croit en l'enfer
il y fait si chaud !
Je n'en sais rien, j'ai pensé la mort.
Mais je suis bien vivant
Et compte le rester encore bien longtemps.

oulion.christian@wanadoo.fr
 

 

 

Poème de Mainstorm

Comme quoi

un jour un ange m'as dit petit va décrocher les étoiles
avant de partir il ma donner un mike de la toile
il m'as dit aussi reste toi même car ton ombre n'est pas toi
et surtout n'oublie pas de de pensera moi comme quoi
les apparences nous mentent car le matin j'vais pas de lit a baldaquin
seulement la vie que j'avais à deux heure du matin
donc j'ai pris un stylo et un papier
en suivant les conseils de cet ange qui ma défier
d'etre enfin quelqu'un dans ce monde
c'ets pour ca que maintenant je veux que mes écrits inondent

comme quoi on ne peut croire en rien
comme quoi sans aide on ne peut rien
comme quoi dans ce monde tu n'es rien
et aux yeux du monde tu ne peut rien

mainstorm@hotmail.fr

 

 

Poème de Alicette

Naître, manger, dormir, bafouiller nos premiers mots
Construire, détruire, pleurer pour tout et pour rien
Se questionner, réaliser, se faire gronder
Observer, s'independantiser, comprendre

Aimer, profiter, admirer sans comprendre
Pleurer, être déçu et penser à fuguer
Travailler, rêver, perdre la notion des choses
Se marier, se reproduire, créer une famille

Voyager, apercevoir les premières rides
Philosopher, se cultiver, se retraiter
Vieillir, penser et regretter sa jeunesse
Diminuer, s'apaiser, sourire et partir

À quoi sert la vie si elle nous mène vers la mort ?
La vie est un cadeau du ciel, précieux, unique

alice-bcn@hotmail.com
 

 

 

Poème de Thao69

Vie de nuit

Insomnie,
Insomniaque,
Manie,
Maniaque,
Le plus du superflu,
Jouant les mots
Comme si la nuit
Au fond d'un puits
Ce soit :
Insomnie,
Insomniaque,
Manie,
Maniaque,
Le plus du superflu,
Jouant les notes
Sur la grève
Si près des flots
Si loin des mots
Inutiles.
Comme si la nuit
Au fond d'un puits
Ce soit :
Insomnie,
Insomniaque,
Manie,
Maniaque,
Le plus du superflu,
Jouant les mots
Comme si la nuit
Au fond d'un puits
Ce soit :
Moi, tu sais
Je te raconterai
Milles histoires si différentes
Toutes cherchant le bonheur
toutes selon l'heure
Donneront la clameur
Se disperseront dans des volutes
De chaleur


Et l'air embrumé
Comme gêné,
Disparaît au matin
Caché derrière quelques gouttes de rosée.

Insomnie,
Insomniaque,
Manie,
Maniaque,
Le plus du superflu,
Jouant les mots
Comme si la nuit
Au fond d'un puits
Ce soit :

Un soir comme les autres,
Ni beau, ni laid
Ni triste, ni gai.
Un soir comme les autres !

Un soir comme les autres,
Ni beau, ni laid
Ni triste, ni gai.
Un soir comme les autres !

oulion.christian@wanadoo.fr
 

 

 

Poème de Mela 129

Elle est vachement belle la vie avec mes amies,
       Elle est vachement belle la vie avec ma meilleure amie!
  Elle est vachement belle la vie avec mon petit ami toi mon chéri!!
 

 

 

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