Poèmes sur la vie, page 8

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Nos derniers poèmes de vie

 

Poème de Denise

Mes bâtons de vie

Un jour la maladie
M'a trouvée sur la rive,
Une grande faiblesse était en moi
Et la maladie m'a dit tu es à moi!

Mes enfants étaient encore jeunes
Mais la maladie n'a pas compris,
Que je voulais épargner mes enfants
Pour qu'ils restent encore enfants!

La vie ne m'a pas épargnée
Je ne le méritais pas,
Mes enfants étaient là
Et ils m'attendaient en bonne santé!

Mais la maladie n'a voulu savoir
Que mes enfants étaient mon bâton de vie!

 

 

Poème de Ghita Khamlichi

Mes sensations

Je trouvais un loisir
Lorsque je faisais plaisir
En aidant les pauvres à fuir
De l'empire des esclavagistes
Qui exploitaient chacun se trouvant sur leur piste
Et leur loi sur la cruauté insiste

A chaque emprise
Je sens qu'une sensation m'épuise
Cette sensation de ne pas être à sa guise

Où sont les promesses des hommes politiques
Que tout le monde critique
Après le jour où nous les avions votés
C'était leur devoir qui ont sauté
Et au lieu de nous sauver des esclavagistes
Ils ne cherchent qu'à ramasser du fric

En fin de compte
Ces hommes mentent
Quelle honte !

ikabdou@menara.ma
 

 

 

Poème de A. F. Prince

Le sida en milieux scolaire

Beaucoup t'appellent le mal du siècle
Impatient de goûter ta débâcle
Jouis bien de ton statut de reine
Car peu l'histoire emportera ton règne
         L'école est une maison d'éducation
         Toi tu n'y sèmes que la désolation
         Malgré tout ce qu'on fait pour t'éviter
         Tu multiplies les risques de te contracter
Veux-tu décimer la génération future ?
Ou avons-nous torts d'être mature ?
Veux-tu faire de ce lieu ta résidence ?
Saches que tu es loin d'être leur providence
         La jeunesse crie, la jeunesse pleure
         Mais tes risques ne font qu'aller de l'ampleur
         Oh ! Super guerrier éloignes-toi du milieu scolaire
         Faits de ta présence une présence temporaire
L'humanité s'inquiète de ton existence
La jeunesse est sur place en raison de ta présence
Vas-y, super guerrier !
Pour que demeure la liberté tant espérée

felix75020@yahoo.fr
 

 

 

Poème de Melissa

J'ai tellement mal
Mais personne ne le voit
Tellement besoin d'eux
Mais il ne sont pas là

Je me retrouve seul
A noyer mon chagrin
Seul dans ma chambre
J'ai peur du lendemain

Peur de ne plus
Avoir la force d'avancer
Peur de ne plus
Avoir envie de continuer

Je suis en manque d'affection
La tête pleine de questions
Le regard vers l'avenir
Peur de ne pas réussir ma vie

Je demande pas beaucoup
Juste un peu d'écoute
juste un peu de bonheur
juste un peu d'amitié et de soutiens de mes amies
juste trouver l'amour d'un mec
qui me fera oublier tout le reste

Qui me rendra heureuse
qui me fera oublier mes soucis
Qui fera tellement de ma vie un paradis
Que je voudrai plus quitter cette vie
Tellement besoin de soutien
Tellement besoin qu'on croit en moi
Tellement besoin qu'on sèche mes larmes
Tellement besoin qu'on me donne de l'espoir
Tellement besoin de mes amies

Mais il n'y a personne près de moi
Pour m'aider, m'écouter,me faire avancer
Je me retrouve tout seul face à mon destin
Je me retrouve seul face à se monde si noir
Dans le quel je me noie
Et j'ai bien peur de trouver personne qui me sauvera
 

 

 

Poème de Denise

Le chêne

Blottie dans les racines du chêne
Je cherche en vain une issue
Pour me délivrer du vent qui se déchaîne
Pour me donner une autre vue.

Blottie au creux de la terre
J'attends le bateau pour la mer
Mer tourmentée, agitée, écumante
Mais mer de sécurité et réconfortante.

Sortant de ma torpeur, je vois un ciel
Un ciel étoilé et doux comme le miel
Etoile de sécurité tu m'as été envoyée
Pour que je me sente délivrée.

Chêne trônant au milieu d'un parc
Tu me demandes de déposer mes marques
Pour que tes branches soient mon secours
Pour trouver les mots d'un nouveau retour.

Chêne majestueux au milieu du parc
Déploie tes branches garnies de mots doux
Et fait de moi un nouvel arc
Pour renaître sur une terre de velours.

 

 

 

Poème de Dom

Renouveau

Il est des pluies fertiles dans les pleurs ensablés,
dans les mers déferlantes, aux rythmes affalés,
tous ces peuples aux yeux d'huile, pétrifiés dans la foi,
dont les chants mélodieux, s'harmonisent dans la voix.

Ces larmes de tortures, poignardées dans la fresque,
dans la terre ramifiée, dans les eaux mourantes presque,
s'évacuant lentement, inexorablement,
à fluide bleu vivant, à refrains dans les vents.

J'ai senti tes parures, tes terres du couchant,
dans les cris de naissance, l'autre corps, expirant,
quand la gloire du levant, découvre les chimères,
les yeux de flammes brûlantes, mi-clos, dans la lumière.
 

 

 

Poème de Thao

Apatrides

Je suis un croyant qui ne croit plus en rien
Un être aimant qui n'aime plus vraiment
Une route que plus personne ne veut suivre
La nuit alors qu'il fait encore jour
Le froid bien que l'air soit si chaud
La passion d'avant le désespoir
Le lendemain auquel on croyait hier
La mort bien avant la naissance
Curieux monde qui tourne à l'envers du temps
Tué par les génocides
La misère des uns, la luxure dans laquelle sombrent les autres
la rue dans laquelle on marche
Celle qui mène droit vers un champs de bataille
La pluie d'après la tempête
le soleil qui crame ces déserts sans fin
Le déluge et les tremblements de terre
L'alcool au fond d'un verre givré
Le givre qui pend aux branches en hiver
Le malheur de ces gens déplacés
De place en place jamais rester
Ces fautes d'orthographe à jamais corrigées
Le non-renoncement de ces peuples
L'amnésie de ceux qui massacrent


Moi, je les aime tous ces déplacés,
Tous ces apatrides
Même si je suis un croyant qui ne croit plus en rien
Un être aimant qui n'aime plus vraiment

Même si je suis une route que plus personne ne veut suivre
La nuit alors qu'il fait encore jour
Où êtes-vous ? Qui êtes-vous ?
Erevan, Bérouth, Jérusalem, Bagdad,
Et tant d'autres endroits encore
Tué par la folie,
Par la folie des hommes
Où pouvez vous fuir sous les bombes assassines ?
Où pouvez vous fuir cette fois ci ?
Etre de ce voyage forcé
Etre de ce voyage forcé
Vers quel désir pouvez vous encore aller?
Où êtes-vous ? Qui êtes-vous ?
Erevan, Bérouth, Jérusalem, Bagdad,
ou tant d'autres endroits encore
Pris en otage par la folie,
Par la folie des hommes
Qui êtes-vous sous les bombes assassines ?
Où pouvez vous fuir cette fois ci ?
Etre de ce voyage forcé
Etre de ce voyage forcé.

oulion.christian@wanadoo.fr

 

 

Poème de LaBonneÉtoile

La famille

Étant jeune j'ai appris à respecter les gens
et aussi à apprendre à les écouter
pour mieux garder une complicité
mais quand  est venu le temps
d'apprendre les responsabilités
ce fût une école à apprivoiser
mais j'ai eu la chance d'avoir des parents
qui malgré tout ce qu'ils vivaient étaient toujours présents
même si nous étions plusieurs enfants
ils avaient toujours un temps pour nous écouter
et ce que je retiens le plus du passé
c'est que leur richesse a toujours été nous
car leurs moyens financiers n'étaient pas élevés
mais ils arrivaient toujours à nous donner
ce qui était le plus important de nos besoins
et maintenant aujourd'hui
je suis moi-même parent
et c'est le plus beau rôle de ma vie
je comprends maintenant la richesse de mes parents
et mes enfants sont dans mon coeur
mes plus beaux moments de bonheur
et j'ai même un petit-enfant
qui comble mes heures
alors que maintenant mon père est parti
ses anciennes histoires je m'en ennuie
ma mère est toujours présente
alors j'en profite à mon tour
pour lui parler chaque jour
car jamais je ne pourrais les remercier
de tout le cadeau qu'ils m'ont donné
d'aimer et de comprendre la relation
qu'une famille peut vivre chaque journée
merci à mes parents que j'adore
qui sont aussi mes trésors...

ivie63@hotmail.com

 

 

Poème de Lilou8458

La vie

si j'étais la présidente de la FRANCE
je changerais le cour de cette vie dense
je réveillerais ce qui ne veut pas s'en sortir
je réveillerais ce peuple qui dit vouloir mourir

la vie est un cadeau que l'on nous offre
la vie est faite d'épine de noir de rose
la vie est faite de haine de souffrance de rancoeur
reprenez vous!certes!la vie et parfois dure

mais si cette vie était parfaitement rose
on aurait aucune raison de vivre sur terre
on aurait absolument rien a y apprendre
apprenez! cher peuple a vivre cette vie morose

je hais ce peuple qui se morfond sur son lit!
si ce peuple se réveillerais, la vie serait meilleur
il y aurait moins de haines, de larmes;de révolte
la vie retrouverais tous son sens toute sa douceur

titedemoniaque@hotmail.fr

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

La lucidité

Lucidité fenêtre ouverte
Sur notre monde intérieur
Aussi bien qu'extérieur
Avec la vigilance tu nous
Permets d'éviter tous
Les dangers en recherchant
Avec intégrité et vérifiant
Dans notre conscience
Où loge la connaissance
Du vrai, faux, mal, et bien.
Tu guides notre pensée
Et permets à la vérité
De se montrer sans peur.
Tu nous rends à toute heure
Témoins de la folie, l'injustice
De ce monde, le supplice
De l'humanité, sans pitié
Continuellement sacrifiée
A l'intolérance, le fanatisme
Le racisme, l'antisémitisme.
Ô lucidité, tu dois demeurer
Vigilante et nous aider
A rétablir sur ce monde
Imparfait une paix profonde
Durable nourrie par l'amour.
 

 

 

Poème de  Yaagoubi Abdelaziz

Des gens cultivés

Des gens cultivés mais amoureux de la haine
Des intellectuels,hélas !gens narcissiques
Sont déjà très nombreux et nous causent la peine
Des intellectuels menteurs,c'est très comique

Sont-ils contaminés à ce point par le mal 
Sévissant dans leur société analphabète ?
Manquent-ils d'un gène dès leur age fotal ?
Le gène aimant et non tirant à l'arbalète.

Ils ont appris à être des hommes à l'envers
Ces tyrans ratés,ils sont donc malfaisants
Créant un grand tumulte social et un calvaire
Tous ces mal éduqués,tous ces déplaisants

Cultivés,pensant à la façon des grands-mères
Qui se cachent lorsqu'elles veulent compter leurs sous
Qui se croient savants,juste,mais font tout de travers
Cultivés ainsi,vous ne valez pas un sou

Aimez les vrais intellectuels aimés
Aimez le bonheur des autres,vous chérissez
Ainsi l'homme qui n'en sera oui que charmé
Pensez et montrez-vous tel que vous paraissez

Oui ,un caractère odieux ne nuit qu'à lui même
Et le pauvre esprit reste stérile d'expression
Et ces hommes sont gonflés d'un orgueil extrême
Et veulent voir les défauts à toute version

C'est de fort bonne foi que je bannis son zèle
Le mal qu'ils causent par leurs actions odieuses
Nous animent à chercher ainsi l'homme modèle
Un homme probe,aux manière laborieuses

a.e.y@caramail.com

 

 

Poème de Kiari Fatima

L'espoir de la vie

j'ai cru que l'espoir s'était enfuit
j'ai cru que l'amour s'était perdue
j'ai cru que l'espérance m'ai abandonnée
Mais un jour la vie ma réveillée
La foie m'avait sauvé
Et là j'ai compris :
même si le ciel est gris parfois
même si le trouble m'empêchait de voir clair quelques fois
même si je crois en moi que parfois
Je sais que la vie me réserve tant...


      °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°


Je vais certainement être déçue de nouveau
Je vais probablement en souffrir par moment
Il viendra peut être un jour plus dur que d'autres
Mais la vie a ses miracles
Et je continue d'y croire
je continue a espérer


      °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°


espérer trouver la paix de mon esprit
espérer être éblouie encore et encore par la vie
espérer jouir du bonheur qui se présentera de nouveau
Et être sure qu'après la tempête le ciel s'éclaircira de nouveau en moi
 

 

 

Poème de Quicky83

La vie est un miracle
Qui s'est réalisé
Au sein de notre être
Dont le coeur est son maître
L'amour son associé
Et notre corps son habitacle.

La vie est belle et surprenante.
Chaque jour nouveau
Contient son lot de surprise.
On se réveille avec une douce brise
Ce jour qui se lève sera beau
Où régnera une joie ambiante.

La vie est poignante.
Des douleurs lancinantes
Peuvent survenir
Mais grâce aux souvenirs
Ces malheurs s'évanouissent.
La vie et l'amour nous éblouissent.

**********

Oh source de vie
Toi qui nous a enfantée
Aide nous à la protéger
Notre terre source d'envie.

La vie est un don qui nous a été fait
Tous l'ont convoités mais peu l'ont sauvegardés.
Malgré les effets qu'ont eu les siècles
Nous n'avons pas changer les règles.

Notre vie n'est que convoitise,
Nos rêves ne sont que désir.
Malgré le récit des souvenirs
Nous ne cessons de vouloir doubler la mise.

Oh source de vie
Toi qui nous a guider
Aide nous a changer
Et à dresser un nouveau défi.

Oh source de vie
Toi qui nous a enfantée
Aide nous à la protéger
Notre terre source d'envie.

 

 

 

Poème de Yuba le maure

Poème en prose

Les miettes de réflexes rouillées
Les cellules pondant le bas du réel
Tu rétrécies durant tes piètres méditations
Tu moisies par ta bonté parfaitement conçue
Ton corps ne suit plus ton désir de l'oubli
Tu t'efforces au nom de la colline divine

« La lueur prendra part !
Le bord embrassera le vaste de la béatitude.
Je mûrirais, immaculation de l'échec rattrapé.
Volonté fatidique »

nabilbakrim@yahoo.fr

 

 

Poème de Dr. Elie K. Mangoubi

La cocaïne

Il avait presque vingt ans
L' avenir était encore devant
Lui à saisir. Il avait peur
De grandir, privé de bonheur
Troublé, incertain du devenir
Il voulait s'évader, partir
A la recherche de la sérénité
Mais où allait-il la rencontrer?
Il crût trouver la solution
A toutes ses préoccupations
Dans la cocaïne tant vantée
Par ses copains. Il se sentait
Déprimé, la poudre blanche devait
Lui redonner le goût à la vie
Il en prit, vint vite l'euphorie
La rêverie, suivies de la dépression
Il était maintenant sous la pression
D'en prendre plus pour ressentir
Cette plénitude initiale, redécouvrir
Cette sensation qui l'avait quitté
Il devenait irritable, déprimé
La nuit, il se réveillait en sursaut
Il avait plus de bas que de hauts
Et pensait que le monde était
Contre lui, souvent il souhaitait
La fin. Un soir, il essaya d'échapper
A sa misère et se retrouva enfermer
Dans une clinique psychiatrique
Il était terrifié, son psychique
Au plus bas, il n'y avait plus d'espoir
Il prit le temps de réfléchir, l'aide
Etait là, il fallait la saisir, le remède
L'abstinence pour retrouver la paix
Il n'avait pas besoin d'être parfait
L'espoir, le courage,la foi revenus
Il réalisa avec douleur qu'il était devenu
L'esclave de cette drogue qui l'avait
Privée de sa liberté et l'avait amené
A se détruire. Il accepta que le chemin
Serait long pour reconquérir son destin.
 

 

 

Poème de Dr. Elie K. Mangoubi

Rien n'est certain

Plus de cinquante années
Se sont passées
Ma mémoire incertaine
M'entraîne
Par une belle journée
D'automne
Vers cette terre d'ou j'ai
Eté chassé
Des souvenirs fluides
Emergent
Avec des émotions
Réprimées
Je ressens la douleur
Passée
Et revois les pleurs
Desséchés
Pourtant cette terre
N'a pas changé
Je sens les mêmes
Odeurs
Je supporte avec peine
La chaleur
Je respire mieux
A Alexandrie
Je recherche le bonheur
Des étés passes
La corniche toujours
Présente
Notre maison de vacances
A disparu.
Je ressens de nouveau
La douleur
Et le bonheur du passé
Dans le présent.
Ainsi va de la vie
Des émotions
Ressenties au travers
Des temps.
Rien n'est certain
Ou absolu.
 

 

 

Poème de Benoît Duval

Une simple prière

Une simple prière
Pour aller dans la lumière
Une simple Mélodie
Pour réaliser les plus belles choses de la vie
Une simple promesse
Et ne plus être dans la détresse

Une simple prière
Pour un monde ou l'univers
Une douce tendresse
Pour aller te rejoindre

Une simple prière
Pour dire merci, j'en suis fière
Une douce couleur
La couleur de tes yeux

Une simple prière
Une parole un mystère
Pour ne plus vivre de misère
Une simple prière

Une simple prière
Un sourire a mes lèvres
La lumière dans mes yeux
Un chemin pour demain
Une simple prière

ben.du@videotron.ca
 

 

 

Poème de La Beaujoloise

Les grillons

D'un grand-père compositeur
Nous avons appris la chanson,
Que ses enfants fredonnent en coeur
Et qui célèbre les grillons.

Dans la vieille ferme auvergnate,
Des dalles en guise de plancher,
Offraient à ses amis du soir
Des couchettes, là, tout exprès.

Bien des années ont passé
La maison est restée la même ;
On a conservé le pavé
Où peu de sabots se traînent.

Mais les grillons se sont enfuis.
Ils n'ont pas trouvé, c'est dommage,
D'oreilles sensibles à leurs chants
Et vexés en ont pris ombrage.

Un jour les grands-parents s'éteignent
Mais l'Auvergnat dort tranquille ;
L'eau coule toujours à la fontaine            
Pour abreuver sa grande famille.

Qui sait, dans l'univers paisible
D'un Gévaudan encore peuplé,
Si un grillon voyant le champ libre
Ne verra du poète, l'héritier
Et ne viendra alors le charmer.
 

 

 

Poème de Brandon

Trouver sa raison de vivre,
Une partie de plaisir ?
Certain dirons que oui,
Mais moi je me demande à quoi sert la vie,
Si c'est pour être malheureux,
Et se trouver hideux,
Alors je préfère mourir,
Je veux donc partir,
Car je ne supporte plus d'être ainsi,
Préférant vivre la nuit,
Pour ne pas montrer ce que je suis,
Car je doit être puni,
Je ne veux pas continuer à me rigoler,
La vie m'a trop dégoûté,
Cette fois c'est terminer,
Je vais m'en aller.
 

 

 

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