Poèmes érotiques, page 3

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Nos derniers poèmes

 

Poème de Loulou

Douce sauvageonne

Mes yeux croisèrent votre regard sur une simple photo, mais ô combien saisissante.
Mon coeur s'arrêta de battre quelques instants, et cette belle sauvageonne sortie de
cette image, tellement je la trouvai belle

Suite... Douce sauvageonne

 

 

Poème de Licorne

Langoureusement sensuelle

J'aime que ta langue douce
Au sortir de ta bouche
Amoureusement glisse
Le long de mon sexe lisse.

Et que tes lèvres humides
Sur ma tête dressée
S'entrouvrent comme un calice
Sur ma peau embuée.

De mouvements lascifs
En caresses secrètes
C'est mon sexe qui durcit
Et c'est moi qui fléchit.

Et je ne sais plus de tes lèvres,
De ta langue ou tes doigts caressants
Le où, le comment de ma fièvre,
De mes cris, de mes gémissements.

Offert comme une femme,
A toi comme un amant,
Car je sais que tu prends
Le plaisir que tu me donnes

Mon amour, mon âme
Puise encore dans mon corps
La source de ta flamme!

**********

Caresses musicales

Laisse-moi égrener
Sur ta peau quelques notes.
Je me sens enjoué
Viens là que je te porte.
Comme ma douce guitare
colle-toi à mon âme.

Que mes doigts sur ton corps
T'enchante et me calme.

Sur le haut de ta nuque,
commençant en contre ut,
Une portée se dessine
Le log de ton échine:
La courbe d'une clé de sol,
L'arrondie d'une ronde.

Puis doucement comme une onde
au travers mes doigts volent
Des accords malhabiles
hésitants et frivoles.

Le do monte d'un ton
Au rythme de mes caresses
pour terminer en ré
au milieu de tes fesses.

Cette note coquine
mérite bien le Majeur...
Mais c'est en fin la quine
Qui reprends le meilleur.

Puis je me laisse emporté,
doucement, les yeux fermés,
Puisant au coeur de ta gamme
Une mélodie , une âme.

Une chanson qui, j'espère,
souvent tu m'offriras.
une passion qui, j'espère,
longtemps t'enchanteras.

lagratte38@yahoo.fr

 

 

Poème de Francine

Insectia

Pleurer comme un pétale,
Je suis une femme fatale.

Une abeille me butine,
Sous ses ailes, je me tartine.

Adieu petit papillon,
Je préfère de loin les bourdons.

Adieu petit oiseau,
Maintenant mon cœur vol en bateau.

 

 

Poème de Sylseasun

Impudeur

Permet que je te dévêtisse
Offre moi ce doux privilège
De faire durer ce pur délice
Que pour rien au monde je n'abrège

Sentir sous le tissu tendu
Le désir qui prend de l'ampleur
Mais avant que de te voir nu
Deviner toute ta saveur

Laisser ma paume nonchalamment
Caresser l'intime indécence
Te sentir devenir gourmand
Que j'admire toute sa prestance

Tu n'aspires plus à autre chose
que de me livrer à l'air libre
Sa superbe impudeur éclose
Pour que j'en apprécie la fibre

Je ne me ferai pas prier
Pour l'envelopper de ma main
Et si tu vois mes yeux briller
Occupe toi de mes deux seins

Il te suffit de me frôler
Pour que je palpite corps et âme
D'espièglement me taquiner
Pour que sous tes lèvres je me pâme

Mise à nue voici que frémit
La généreuse jaillissante
A sa vue tout mon corps gémit
D'envies coquines et frétillantes

Lâchant le frein de mes ardeurs
Tandis que mes sens tu affoles
Je passe la vitesse supérieure
De mon désir qui caracole

Je lisse ce grand bois chéri
De haut en bas de bas en haut
Lustré choyé et tout ravi
Qu'on prenne soin de le faire beau

Le coquin se fait audacieux
Et s'aventure entre mes lèvres
Je sens son élan impérieux
M'envahir d'une douce fièvre

Ma langue autour de lui s'enroule
Alors qu'il sonde mes profondeurs
Et que la tiédeur de deux boules
La pulpe de ma peau effleure

Puis subtilement tu t'introduis
Dans un incandescent fourreau
Je ne peux retenir un cri
Sous la fougue de tes assauts

Je me cambre gémis supplie
Sous tes ravageuses poussées
Différant cet instant béni
Qui aux cieux va me transporter

Soudain tout geste tu suspends
Lové au plus profond de moi
Sans pudeur j'explose et je fend
Le silence de tous mes émois

Jouissant de me voir succomber
Tu reprends ta danse sauvage
Puis tour à tour plus raffinée
C'est comme un enivrant voyage

Propulsée aux plus hauts sommets
Par de prodigieux coups de maître
Je te chevauche usant du fouet
Des mots brûlants que je te prête

Je sens ma monture s'emballer
Et un désir presque furieux
D'encore plus profond m'empaler
Sur ce somptueux totem en feu

J'égare les rennes je perd le nord
Et toute notion de mesure
Voici que bat tempête à bord
Mais le mas garde fière allure

Je sens jaillir l'apothéose
Mettant à vif l'indomptable
Qui soudain à l'air libre explose
D'un sublime bouquet final

sylseasun@hotmail.fr

 

 

Poème de Rémi Levraut

Nature coquine
Douce lumière du soleil,
Ombre et lumière réveille,
Ces deux monts merveille,
Le souffle du vent chaud laisse entrevoir,
Les chemins interdits en un flou aléatoire,
La tête me tourne à ce point de l'histoire,
Les éclairs illuminent faisant paraître un paysage de rêve,
Au loin l'orage gronde la température monte il n'y aura pas de trêve,
Tout tremble maintenant autour du volcan embrasé projetant ses lueurs d'or,
La pluie ne peut altérer en cet unique instant la source chaude inondant ton corps,
Ô Nature Coquine
Chaleur et rosée matinale,
Elle entrouvre ses pétales,
En donnant sans retenue,
Son cour d'ingénue,
Le charme divin,
De ce parfum,
Epicé,

Quand la foudre l'a touchée,
Sa douce corolle épanouit,
Se gorge de la pluie,
Vacille en sa cime,
Ô Nature Coquine !
Une brise la saisie,
Quand le voile de la nuit,
Borde ses rêves assouvis,
La voûte céleste resplendi,
De ses formes arrondies,
De sa beauté épanouie,
Livrant son corps ici,
Sans interdit,
Non-dit
D
e
C
e
t
t
e
P
o
é
s
i
e
Tu ne te faneras pas aujourd'hui
Ô Nature Coquine !

remi@levraut.com

 

 

Poème de Piafenvoyage

Explosions élémentaires

Je tombe
Et te frappes,
Cette terre s'éclate.
A quatre pattes
J'erre
Et dessus ton corps
Je ploie.
Nos Ors
Abrogent les lois
De la différence.
A la naissance
Du calque de ta peau, ah !
J'y suis, c'est moi.
Puis l'océan s'enfuit,
Et revient,
Un effluve passe,
Et lentement s'éteint,
La vague efface
Les traces
Du lien.
Le noeud de ton sexe et du mien
Se resserre,
Les lisses fibres s'enserrent
Et marquent
Les âmes de chacun.
Des grains de sable
Vibrent, explosent,
Et s'ouvre une douce tempête :
Précipité au rythme d'un coeur unique,
Mille grains le fabriquent,
Il frappe sur ses parois,
Et bat, bat à toi, à moi
De toi et de moi mêlé ;
Et rebondit, l'onde
Et plonge vers l'ombre
Des autres effacés.
Mais c'est comme une paroi de verre :
L'effet mer
S'y cloîtrent deux êtres chers
Devenus océan d'une fois,
Par leur attachement d'un temps.

Au balancement des éléments
De la lune,
Seule, il se doit
De faire éclore
L'écume,
Cet océan de tendresse
Mousse comme se trémoussent
Ces fesses
Luisantes et pleines,
S'offrant comme à la lune âme en peine.

Les amants, l'océan,
En ses profondeurs
Evoluent les courants
Qui tantôt froids
Mènent aux frissons
Et tantôt brûlants
Font bouillir l'âme en lave.

De tremblements en ébullition
Le va et vient des frissons
Exprime nos jeux d'unisson.
Elle vibre, la fibre tendue
Qui passe de toi à moi.
Et je saisis
En harmonie de mes pressions
Ton membre de vie ;
Et cette deuxième âme
Au ventre me brûle
Comme une boule de flammes,
Une boule de flammes
Qui crépite en étoile,
Et palpite et s'impose
Et s'étend sur la toile,
Et frappe de ses couleurs
La trame de nos coeurs
Qui gonflent
Au rythme de nos souffles
Accélérés, accélérés
Jusqu'à Tout,
Jusqu'à rien
Jusqu'à toi
Sur qui repose mon souffle
Et là, de l'odeur de ta peau,
De nos sueurs, de nos eaux,
Je lis nos élémentaires complétudes
 

 

 

Poème de Imoto

Sous la douche

J'étais seule sous la douche, les yeux fermés
Lorsque j'entendis la porte s'ouvrir
Et des pas se rapprocher derrière moi
Je sentis des mains se poser sur ma poitrine
Puis les fit descendre délicatement jusqu'à mes hanches,
Les caressa sensuellement
Glissa ses doigts jusqu'à son intimité
Ensuite je fus retournée brutalement
Quand j'ouvris mes yeux,
Je fus étonnée
Par la beauté de cette brune
Elle rapprocha son visage du mien,
Je fermais les yeux.
Et là, je sentis son souffle chaud contre mes lèvres.
Bientôt remplacée par sa langue les caressant.
Ses dents qui s'affairèrent maintenant
Me firent perdre toute résistance,
Mordillèrent mes lèvres rougis par ses morsures
Je laissa échapper un gémissement,
Elle en profita pour infiltrer
Traîtreusement sa langue dans mon antre
Soudain, malgré l'eau qui coulait,
J'entendis un bruit assourdissant
Lorsque j'ouvris mes yeux,
Je me rendis compte que
J'étais toujours seule sous ma douche
Quelqu'un frappait à la porte...
 

 

 

Poème de Imoto

Envie

Envie de sentir ses lèvres contre les miennes
Amplification de cette envie
Intrusion de ma langue dans son antre
Nos deux langues se touchent, s'entremêlent
Envie de parcourir ses courbes
Merveilleusement dessinées
Avec mes lèvres, je prends soigneusement mon temps
De visiter chaque millimètre de son corps
Envie d'approfondir ce voyage
De m'introduire dans son jardin secret
Afin de lui perdre toute maîtrise d'elle même
Je le sais, elle aime cela
Elle laisse échapper de petits gémissements de plaisirs
Nous ne faisons plus qu'un maintenant
Mais cette impression de n'être qu'un seul être
N'était qu'une envie, un beau rêve...
Toujours accompagnée de cette jolie brune
Qui es-tu?
J'ai tellement envie de te connaître
Interruption de mes pensées...
Le téléphone sonne...
 

 

 

Poème de Claude C

Elle ouvre les yeux, se réveille langoureusement
Son regard se tourne vers l'homme, amoureusement
Sur le ventre, il dort sa respiration est lente
Ses épaules nues, offertes, musclées, troublantes
Elle soulève le drap et découvre sa chute de rein
Sa peau à une apparence satinée, attirant sa main
Elle ne résiste pas, et le drap choit sur le sol
Deux fesses ouateuses se découvrent, ça l'affole
Sa main ne peut résister à ces formes attirantes
Ces formes offertes à son regard et si tentantes
Et tel un papillon, sa main se pose délicatement
Elle se pose sur ces globes de chairs lentement
Elle le sent frémir, elle adore cette sensation
Cette zone si sensible chez lui, est une passion
Et elle ne s'en lasse jamais de le faire frémir
En le caressant de lui donner un tel de plaisir
Des épaules à cette zone, si érogène,le caressent
Aphrodite sait qu'il ne dort plus, mais paresse
Et elle imagine sa colonne de chairs se dressant
Il gémis, s'offre à sa main, soumis et obéissant
Elle devine la colonne dressée, ressent l'envie
Son antre brûlant et humide déjà appelle sa vie
Son ventre à elle est en effusion et le réclame
Elle le retourne et est envahie par une flamme
Et, elle enfourche cette colonne de chair dressée
À son tour elle gémit, sentant le plaisir s'élever
Les va et viens, elle les dirige à un rythme lent
Ses mains caressent ses seins affolant ses sens
Le plaisir est dans son ventre brûlant, excitant
ils montent en même temps que le sien,elle le sent
Alors, elle explose et sent qu'il à fait de même
Repue, à ses côtés, s'étend, sûr qu'elle l'aime.
 

 

 

Poème de Mademoiselle Cerise

Nous étions frugalement à Nous embrasser
Nos vêtements se sont mis fortement à fuser
Tes mains sur mes hanches se sont posées
Mes lacets bleus enfin Tu as pu délacer

**

Divin moment sentir cette boucle s'effilocher
Savourer la douce caresse de ce tissus s'envoler
Soupçonner que ces petits cordons se sont libérés
Laisser mon bas-ventre libre d'avoir été attaché

**

Que Tu puisses enfin en Moi venir T'accrocher
Petites boucles bleues venant Ton sexe effleurer
L'hypnotisant sinueux pour venir en Moi l'attirer
Te laisser m'approcher venir lentement me frôler

**

Nos bassins face à face si proches pouvant se humer
De Nos respectives essences pouvoir se respirer
Ne pouvant plus y résister Te laisser en moi glisser
Pour ne plus faire qu'Un seul et de plaisir soupirer

mlle_cerise@hotmail.com
 

 

 

Poème de Mademoiselle Cerise

Quand corps dansent... concordances

Nos esprits se sont croisés, fruit d'une rencontre totalement aléatoire
Fortuite coïncidence qui s'est transformée en total délice de coordination
Joli petit noyau de cerise posé en terre fertile Nous lui avons donné à boire
À juste cadence il a germé libéré ses feuilles jusqu'à sa sublime expansion


Sans jamais n'avoir eu besoin de lui poser un tuteur, du noyau est éclose la plante
De la plante est éclos le tronc,  du tronc éclose la fleur, de la fleur éclos le fruit
L'appétence de nos esprits s'est éparpillée dans notre sang de manière abondante
Inéluctable ramification, Nos âmes telles des petites perles nacrées se sont unies


Délicieux émoi en Nous s'est élevé, jour après jour notre ardeur s'est amplifiée
Dès  la 1ère seconde où Nous nous sommes croisés notre adhérence était probante
Au fil du temps qui s'est écoulé Notre liaison s'est exquisément laissée goûter
Le plaisir s'est assurément confirmé et Nous a entraînés dans une danse envoûtante


Nos mots sont devenus de plus en plus succulents, nos paroles habillés de séduction
Nous nous sommes courtisés de manière enthousiasmante, charmés, invités, aimantés
Ivresse de l'âme, fougue de l'esprit, véhémence du désir, bien délectables sensations
En s'extasiant à chaque moindre seconde, se laissant pénétrer par cette fine sagacité


Nos deux  âmes étaient nées pour se rencontrer elles ne pouvaient que s'accoupler
S'en est découlé une délicate volupté, nos gestes en suprême plaisir se sont animés
Notre langage s'est diversifié, notre souffle à parlé, et c'est un soupir qui nous a régalés
C'est une unique sensualité que nous avons vécue, qui ne pouvait que d'amour palabrer

mlle_cerise@hotmail.com
 

 

 

Poème de Calavero

Missionnaire

Du regard, tu m'invites vers ce corps abandonné sur ta couche.
De tes jambes vers ton antre tu me guides, je m'incline rigide et te goûte.
Ma langue qui s'agite, ton corps qui se voûte.
Images subliminales, moment idéal.
Un coup d'oeil échangé presque gêné. Trouble magistral.
Et tes doigts dans mes cheveux m'incitent à faire mieux.
Je te déguste tel un enragé, désir au zénith.
Nos lèvres se rejoignent, nos langues se mêlent.
Regard salace, sourire en coin, là c'est toi qui me goûte,
Sans aucun doute.
Mon corps glisse sur le tien, nos sexes s'effleurent.
Un cri s'échappe quand mon extrémité tendue en toi s'immisce.
A contre cour, je me retire  juste un peu puis reviens, puis reviens,
Encore et encore. 
Des perles de sueur roulent sur tes seins gonflés,
Qui ondulent sous mes coups de reins.
Etreinte magnifique dans un océan d'effluves animales.
Les mouvements deviennent mécaniques, le rythme hypothétique.
Abandon total, maîtrise de rien.
Tu deviens chienne, le décompte final à commencé.
Enfin je me libère, tes yeux se révulsent et dans une dernière contraction,
Toi aussi tu viens.
Ultime saccade, corps inertes c'est déjà la fin.
 

 

 

Poème de Chatchupa

Sunshine

Mon soleil
Mon sunshine
Mon éclaircie
Tu es tout ça et rien à la fois.

Sensation étrange
D'un inconnu virtuel
Qui dès que je l'entends
Me fais brûler le sang !

Verrais-je enfin le jour
Où ce soleil
Me réchauffera ?

Destiné aux volutes délicieuses,
Pensées aux images capricieuses.
J'aime à entrevoir  tout ce que nous pourrions partager.

Le ciel se couvre
Ton image en moi reste, résiste
Mais de toi n'es que l'image.
Comment faire pour supprimer tous ces parasites ?

Tu es mon soleil
Tu es ma folie
Au creux de tes reins j'aimerais tant passer la nuit.
Pour qu'enfin le jour se lève
Sur mon soleil

envie2menmelee@hotmail.fr
 

 

Érotisme de sons

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