Poèmes sur la nature

Éditions

Textes

Livres

Projets

Poésie

Citations

Lettres

Cartes

Auteurs

 

Poème de nature, page 2

 

Poèmes

 

Animaux

Confiance

Conscience et être

Désespoir

Douleur et souffrance

Érotique

Espoir et bonheur

Gentillesse

Imagé

Liberté

Mer et océan

Mort et décès

Nature

Poème triste

Solitude

Vie

 

Ami

Poèmes d'amitié

Beau poème d'amour

Amoureux

Romantique

 

 

Nous publions sur internet vos poèmes sur la nature afin de mettre vos textes accessibles au gens et ainsi avoir l'occasion qu'une personne puisse lire votre poème sur la nature.

 

 

 

 

Nos derniers poèmes sur la nature

 

Poème de Pascal S.

Toussaint

Je passais sur les restes des choses passées
des splendeurs déchues au parfum d'aléas
tout ce qu'une saison d'or avait donné
et qui git là dans la tristesse de l'anonymat.

Suite... Toussaint

 

 

Poème de Pascal S.

Ce sang qui vivifie

Le verre tombe et un liquide rouge s'étale
il souille de sa couleur la nappe immaculée
c'est comme un sang qui coule sur la toile
et déchire ainsi la blancheur endimanchée.

Suite... Ce sang qui vivifie

 

 

Poème de Didounet

Le grain de sable

Il roulait, tranquille dans la mer
D’un calme océan aquatique
Parmi les requins, les chimères
Les tilapias pacifiques

Suite... Le grain de sable

 

 

Poème de Sam

Chezine

Tu héberges des vies.
En poissons, batraciens,
En insectes te survolant
En végétations de fonds,

Suite... Chezine

 

 

Poème de Sam

Vapeurs d'étang

Apparence éphémère,
De ce nuage d’étang,
Le vaporeux brouillard,

Suite... Vapeurs d'étang

 

 

Poème de Sam

Les espaces vides

Ce qui participe à la beauté d’un paysage,
Ce sont les vides qui permettent de mettre en évidence,
Les espaces pleins que seuls nous valorisons.

Suite... Les espaces vides

 

 

Poème de Malou

L'eau

L'eau sous toutes ses formes
ton coté destructrice
la noyade un spirale un supplice
tant de fois la foudre est tombé

Suite... L'eau

 

 

Poème de Delcau Roinos

Hommage à la Bretagne

J'essaie de revoir cette terre en son ensemble.
Ses champs, ses landes, ses forêts, ses rivages.
Terre de conquérants, rien ne lui ressemble,
J'aime tant ses côtes sauvages.

Suite... Hommage à la Bretagne

 

 

Poème de Nicolas

Être au sommet

Sous les auspices d'une journée ensoleillée
Parcourant des chemins sublimés
par l'immensité d'une nature sauvegardée
Je respire

Suite... Être au sommet

 

 

Poème de Nicolas

Le See D'Urbès

Un lieu féerique qui élève l'âme
Uniquement fréquenté par quelques quidam,
Où la pensée se perd dans les reflets de l'eau
Et entre deux branchages, un rayon de Soleil,
A nul autre pareil, me fait oublier tout mes maux.

Suite... Le See d'Urbès

 

 

Poème de Slivania

Le vieux sage

Il a traversé les âges
Le vieux sage
Maintenant il est penché
D’en avoir trop vu passé

Suite... Le vieux sage

 

 

Poème de Delcau Roinos

Fleurs

Flore déesse italique de la Végétation,
L'humain est devant toi en admiration.
Eblouis nous de tes mille feux et senteurs,
Unanime, nous sommes tes adorateurs !
Ranimes le printemps et ses splendeurs.
Soulèves en nous de nouvelles ardeurs.

delcau.roinos@neuf.fr

 

 

Poème de Sam

En vase

Les vers tiges,
Ont des têtes,
Colorées,
Pétales nés,

Suite... En vase

 

 

Poème de Sam

Faits de bois

Grand chêne,
Là ! Dressé,
D’un lieu fixe,
Au préfixe,

Suite... Faits de bois

 

 

Poème de Sam

En cours d'eaux

Eau de ru,
Qui serpente,
Pour faire naître,
Source de maître,

Suite... En cours d'eaux

 

 

Poème de Alexandra B

Évasion

Ouvrir les yeux
sur une montagne enneigée

Suite... Évasion

 

 

Poème de Véronique

Nature Béatitude

La nature est enchanteresse
Son prénom est allégresse

Suite... Nature béatitude

 

 

Poème de Yani

Le Sauveur

Qu'il est beau ce firmament,
J'y vois tous les petits enfants.

Quelle belle rose que je vois là-bas!
Viens la sentir au plus vite avec moi!

Merveille, merveille, qu'est la nature.
Je ferai tout pour qu'elle dure.

Si on veut couper un arbre, on me coupera d'abord.
Avant d'écraser une fourmi, on m'écrasera le corps.

Qu'il est beau le petit pinson!
Son chant me rappelle ma maison.

Quelle belle perdrix que je vois là-bas!
Viens écouter son cœur qui bat!

Boom! Boom! Bat la nature!
A jamais je me battrai pour qu'elle dure.

Riez! Riez! Hommes tant que vous voulez.
Avec tout mon amour, la nature, je la sauverai!

 

 

Poème de Orso

L'abeille

S'ouvrent les yeux, se lève au ciel ;
Le dard aisé, la gueule au capricieux miel.
Vole, lèche le vent, sordide Abeille.

Et court, court poursuivre ce Soleil,
Petite créature à l'aube se réveille,
Et jouit des vies. Parcourt cette Terre
Et le placide et agonisant Ether.

L'odorat aux fragrances bigarrées
Naît dans ce Paradis de fleurs aimées.
Et délaisse sa semence, quelques vers
Aux romantiques donne la rime.

Jeune Abeille, Déesse magnanime
Offre la vie, complice mortelle, 
Et conçoit, ta race n'est pas éternelle.

Mais aux champs du vent,
Laisse couler l'horloge du temps.
J'écris ; Déesse de la Vie
Ton hégémonie aux milles espèces.

Et le crépuscule venu, délaisse l'élégie,
Aspire aux repos des Justes ; la caresse
De l'Abeille et des reines de mort, j'écris.

auvergne35@yahoo.fr
 

 

 

Poème de Orso

Et le Désert s'épanche ; ruisselle l'eau,
De la Terre est ce énième fléau.
L'Etre y vit, l'Etre y meurt
Puisque le Désert broie les heures.

Puissance armée du Soleil aride
Condamne les Mondes aux abîmes vides.
Et les fissures de la Terre déploient cette langue
De braise, de feu, de flamme, de lumière oblongue,
Règne suicidaire des Etres brûlés de sang,
Et le Désert étend Satan.

Météore de cendres liquides ; plainte languissante
Dont l'Echo pénètre l'esprit et l'âme rougeoyante.
Au sommet des Monts, hurle le Cour ;
Les veines brûlantes verse un océan d'ardeur
La lave répand un ciel de Lucifer.

Et le Désert s'étend dans l'Eden des Enfers.
L'Abeille fuit ; l'Echo s'isole ;
La Nature se retire ; les Mondes frôlent
Ce Désert, de sables corrompus.

Et moi ? J'érode de divers vers perdus
Cet Aven de poètes calcinés.
Et l'Echo juste murmuré,
Pleure une moelle consumée.
 

 

 

Poème de El Yaagoubi

Firmament

Les étoiles clignent
Ces lucioles infinies
Concert au firmament
Si enrichis d'ennuis
Le déclin des journées
Un rêve qui s'éteint
Les hommes méprisés
Au bas du ravin
Concert de souffrance
Un oil chargé de haine
Grand souci des âmes
Les horreurs de la guerre
Oppressent l'espérance
Créant le malheur
La paix et la guerre
S'affrontent en ennemis
Et l'amour et la haine
Et les hommes asservis
Tous ces hommes malheureux
Un amour généreux
Beni par le soleil
Si triste et silencieux
Et l'homme de la paix
Jouant de sa flûte
Un concert de souffrance
Accompagné de luth
Exécrables gibets
Impulsions sataniques
D'une grandeur tragique

a.e.y@caramail.com
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Deuil et espérance

Alexandrie, sur la méditerranée
Tu as longtemps rayonnée
Mon coeur est tout en émoi
Qu'est-il advenue de toi?
Des communautés cultivées
Cosmopolites, diversifiées 
De grecs, italiens, français
Arméniens, libanais, anglais
Chrétiens, juifs, musulmans
Sans aucune différence louant
Le même Dieu vivaient en paix
En harmonie ensemble. Mais
Voilà, tu as décidé de changer
Par simple pudeur de te voiler.
Tu as donné le dos à la mer
Le regard tourné vers la terre
Adieu, la tolérance, la diversité
Où est mon Alexandrie bien aimée?
Ce qui faisait ton charme, ta beauté
Est maintenant oublié, enterré.
Les femmes ont mis leurs habits
De deuil pour demeurer amies
Avec le reste du pays. Alexandrie
Tu retrouveras un jour ta véritable
Vocation, ton identité remarquable
Des siècles passés pour redevenir
Cette Aphrodite à la beauté inégalée.
 

 

 

Poème de Dr Elie K Mangoubi

Héliopolis, la bien aimée

Héliopolis de mon enfance,
Je suis parti, il y a cinquante
Ans, heureux de t'avoir connu,
Nos amours un matin interrompu
Tu demeures dans mon esprit.
Souvent mon âme émue,je prie
En pensant à toi qui ma vu naître
Grandir et un jour disparaître.
Le temps s'est vite envolé,
Tous les deux vieillis et séparés,
Je me souviens encore de toi
Calme, paisible et avec émoi
De mon lycée, de ta Basilique
Synagogue, tes minarets, unique,
Tu demeures dans mes pensées
D'une incomparable beauté,
Jeune, ensoleillée, avenante,
Séduisante et émouvante.
Devenue centenaire, te souviens
Tu encore de moi, mes amis? Rien
Qu'un silence glaciale de ta part.
Est-ce de la rancoeur ou de l'oubli.
Tes enfants bannis sont partis
Pour des terres lointaines sans
Donner signes de vie. Maintenant
Septuagénaires et reconnaissants
Nous te disons avec sérénité
Adieu notre ville bien aimée.

 

 

 

Accueil Editions Partenaires Nous rejoindr